A travers ses clauses, la COP 24, reconnait le fait que les pays ont des réalités socio-économiques différentes. Par conséquent, elle définit le cadre selon lequel les pays fourniront des informations concernant leurs contributions au niveau national ainsi que les plans élaborés par chacun d’eux qui évaluent les mesures adoptées en faveur du climat sur leur territoire. Ces informations se composent de mesures d’atténuation et d’adaptation, ainsi que des précisions se rapportant au soutien à l’action climatique dans les pays en voie de développement.
La CDN peut s’expliquer en fonction de la limitation et réduction des émissions de gaz à effet de serre. Ce qui nous ramène à la définir comme l’ensemble des procédures de comptabilité et de transparences liées à l’émission des gaz à effet de serres qui permettent de recenser les actions posées par chaque pays en vue de réduire leurs émissions atmosphériques et de fournir l’ensemble des données sous formes de rapport permettant ainsi de livrer un bilan global ( avec l’ensemble des rapports) après chaque quinquennat.
En plus des mesures d’atténuations qui ont pour but de diminuer les impacts négatifs sur l’environnement par une réduction de l’émission des gaz à effet de serre, il y a les mesures d’adaptations aux répercussions du changement climatique. De son côté, le secrétaire général des Nations Unies, M. Antonio Guterres, lors de sa prise de parole en fin de conférence, exprima sa satisfaction mitigée en ces mots : « Katowice a montré une nouvelle fois la résilience de l’Accord de Paris, notre solide feuille de route pour l’action climatique. L’approbation du programme de travail de l’Accord de Paris constitue le point de départ d’un processus de transformation qui requerra des ambitions revues à la hausse de la part de la communauté internationale.
La science a clairement démontré