Relations entre la Chine et le Viêt Nam (guerre sino Vietnamienne)

le Vietnam est une république socialiste qui a une population comprenons plusieurs ethnies dont les khmers, les thaïs et notamment les chinois. Elle a été divisée en deux partie entre 1960 et 1980, le Vietnam du nord et le Vietnam du sud. Bien que cette dernière est été en contact avec les occidentaux tel que les français, la Chine a toujours eut un pied à terre dans cette dernière, ce qui automatiquement nous laisse assimiler le Vietnam à la Chine, car historiquement cette dernière avait déjà été colonisé par celle-ci en 34 après J-C, puis à plusieurs reprises ce qui a donné le nom de « milles an de domination chinoise».

Les vietnamiens revendiquent des terres, plus principalement les archipels des Spratly et des Paracelse, cependant elles sont aussi revendiquées par les autres États riverains. Cette zone est une source de conflit entre la Chine et le Vietnam mais pas uniquement. La mer de Chine méridionale est «revendiquées en totalité ou en partie par la République populaire de Chine, la République de Chine, le Viêt Nam, les Philippines, la Malaisie et Brunei. Il s’agit des îles Spratleys, des îles Paracels, des îles Pratas, du récif de Scarborough et du banc Macclesfield» Cette zone maritime est non seulement l’une des voies les plus fréquentée mais aussi la quatrième zone de pêche mondiale par rapport à son importante réserve. De plus, elle est aussi une réserve de pétrole ce qui explique l’engouement des États envers ces zones. C’est donc une source halieutique pour la pêche et économique en ce qui concerne le pétrole. En outre, les îles peuvent être envisager dans un but militaire, en effet les îles peuvent être potentiellement être utiliser comme base militaire.

Elle est donc une zone stratégique économique et politique et c’est pour ses raisons qu’elle est au centre des conflits des zones économiques exclusives. D’ailleurs, elle est l’une des principales raisons pour lesquelles le Vietnam et la Chine sont en désaccord. Ces deux pays utilisent l’aspect historique, géographique et juridique.

L’aspect historique occupe une place très importante dans les arguments du Vietnam, cependant ses deux derniers ont un passé qui demeure un important point pour comprendre leurs relations entre ses deux pays.

En effet, la proximité géographique de ses deux pays engendre logiquement une histoire commune, avec 1 281km de frontière commune. Le Vietnam et la Chine ont en outre, des liens culturels fort ce qui engendre un sentiment de crainte de la part des vietnamiens envers leurs voisins qui leurs fait ressentir une présence encombrante. «Plusieurs conflits armés ont indubitablement renforcé la méfiance séculaire des dirigeants vietnamiens à l’égard de leur voisin». Cependant, leurs relations est importante pour le Vietnam qui a besoin du soutient économique de la Chine et que pour cette dernière il est important d’avoir un partenaire et favorable à se intérêt, c’est donc pour ses raisons que des réunions de hauts rangs ont lieu régulièrement entre la République socialiste du Vietnam et la République communiste de la Chine. «Cependant, ces rencontres, qui ont lieu principalement en mandarin, irritent de très nombreux officiels vietnamiens qui supportent de moins en moins cette relation bilatérale politico-confucéenne d’ainé à cadet». En effet, les rassemblements se font en mandarin, cette remarque peut sous-entendre un rapport de puissance inégale en faveur de la Chine sur cette dernière. Or cet aspect économique, la redéfinition des zones frontalière et plus principalement dans les zones maritimes occupe une place très importante dans la relation sino-vietnamienne.

Les relations internationales entre le Vietnam et la Chine sont entre la République populaire de Chine et la République socialiste du Vietnam. Le Parti communiste Vietnamien tien leurs discours avec des arguments portant sur des faits historique, géographique et juridique. Il faut savoir que le conflit en mer de Chine méridionale a connu un rebondissement en mai 2014, qui a été causé par un forage d’exploration pétrolier chinois près des îles Paracels cependant elle a été faite à l’intérieur de la ZEE revendiquée par le Vietnam. Cette action a entrainé des mouvements importants au Vietnam notamment comme par exemple des mouvements antichinois. Les relations entre ses deux pays ont toujours été tendues de part de leurs histoire historique mais aussi à cause de conflit de la mer de Chine méridionale qui est par ailleurs connue aussi sous d’autres noms, la Chine l’appelle la «mer du Sud», le Vietnam la «mer Orientale» et les Philippines la « mer des Philippines occidentales». En 2018, un groupe de réflexion américain spécialisé en Asie a découvert une plateforme chinoise dans les eaux qui sont mise au centre des conflits, en novembre de cette même année un porte-parole du ministère des Affaires étrangères vietnamien a confirmé que la construction de cette nouvelle plateforme était inconvenable. Il explique par la suite que ce geste constitue : « … une violation grave de la souveraineté du Vietnam sur les îles, allant à l\’encontre des perspectives communes auxquelles sont parvenus les hauts dirigeants des deux pays… ».
Cependant, en 2017 la Chine et le Vietnam avaient signé un accord ne spéculent qu’aucun d’entre ses deux pays ne devait prendre quelconque initiative qui potentiellement pourrait apporter plus de difficulté à ce conflit. Mais la Chine revendique sa souveraineté sur près de 90% de la mer de Chine avec comme argument portant sur les plans historiques et politiques qu’elle considère d’une totale légitimité et que par conséquent cette zone maritime lui revient de pleins droits. La mer de Chine selon cette dernière relève en grande partie de son autorité, de plus, nous pouvons retrouver ses dires dans les déclarations faites par les autorités Sur le plan historique, le Vietnam affirme que dans leurs cultures ils ont toujours pêché dans cette zone et que de ce fait ces terres les revient de droit. Hanoi l’affirmait dans les iles des Paracels. Outre cela, une note diplomatique qui a été écrite par Pham Van Dong le 14 septembre 1958, à souvent été utilisé par les chinois avec uniquement des interprétations qui viennent selon eux, reconnaitre et approuver la déclaration sur la mer territoriale qui affirmait donc la propriété des chinois.

«Cette déclaration chinoise statuait que la largeur des eaux territoriales devait être de douze milles marins et indiquait que cette disposition concernait tout le territoire de la RPC, y compris les îles Xisha (appellation chinoise des Paracels) ». Cette interprétation est fortement contestée par le Vietnam qui argumente en « prétextant qu’elle portait uniquement sur la reconnaissance des eaux territoriales chinoises, mais en aucun cas sur la souveraineté de la Chine sur quelque territoire que ce soit»
En ce qui concerne le plan géographique, il utilise l’argument de proximité qui est par ailleurs aussi utilisé par les 6 autres états. Située à environ «un tiers de la distance entre les Philippines et le Vietnam», Hanoï réclame les îles Spratleys sur la base de proximité géographique.» Cependant, les iles Paracels sont à distance égales entre avec la Chine et le Vietnam ce qui engendre encore plus de tensions entre ses deux pays.

Sur le plan juridique, la république socialiste du Vietnam utilise la convention des Nations Unies qui est sur le droit de la mer en 1982 qui a été approuvé par cette dernière qu’en juillet 1994 alors que la Chine y a consenti qu’à partir de juin 1996. Ces deux pays ont un but en commun, ils veulent étendre leurs zones économiques exclusive. Néanmoins la Chine et le Vietnam ne revendique aucunement une démarcation exacte ce qui laisse les accords des zones géographique pas précise. En faisons cela, ils peuvent réclamer une zone plus étendue dans la mer de Chine méridionale. En contrepartie, en ce qui concerne les iles Paracels, les tensions entre les pêcheurs vietnamien et la marine chinoise est quasi continuelle, la tension est de ce fait permanente.

En conclusion, en quoi est-ce que la mer de la Chine méridionale est-elle une source de conflit entre la Chine et le Vietnam?

La Chine et le Vietnam partages des visions totalement opposées sur les enjeux de cette dernière. La mer de la Chine méridionale est une source de conflit non pas uniquement entre la Chine et le Vietnam mais aussi avec tous les pays qui l’entoure, étant une zone maritime internationalement fréquenté, elle représente un atout majeur pour celui qui la détient. Elle reste tout de même la principale source de tension entre ces deux derniers. Elle représente un atout économique surtout pour un pays tel que le Vietnam qui rencontre des difficultés économiques, c’est par ailleurs l’une des raisons pour laquelle cette dernière ne se voit pas refuser l’aide financière de la Chine.

En d’autres thermes, même si ses deux pays sont en constante et perpétuelles tensions, le Vietnam d’une part n’est pas totalement indépendant car elle dépend toujours d’une aide financière de la Chine. De plus, même si les relations entre les deux voisins sont enchevêtrées, et occasionnellement antagonistes, les solutions aux questions du règlement frontalière terrestre et maritime ont été nombreuses.

«Depuis 2012, les signaux envoyés par la Chine sont contradictoires, avec d’une part une politique diplomatique bilatérale qui développe des échanges amicaux (et économiques, surtout) avec le Vietnam sur la base des Cinq principes de coexistence pacifique, et d’autre part une attitude souvent perçue comme particulièrement agressive, particulièrement sur la question des territoires maritimes en mer de Chine méridionale et des îles Spratleys et Paracels. Ce tournant dans les relations entre la Chine et le Vietnam se caractérise par une multiplication des démonstrations de puissance, des revendications territoriales et parfois des provocations. Sans pour autant envisager, du moins jusqu’ici, l’utilisation de moyens militaires qui pourraient conduire à une escalade et un affrontement, nous assistons bien à une stratégie d’affirmation et de tension. S’agit-il d’un véritable tournant dans les relations de la Chine avec le Vietnam, ou d’une dérive passagère?»