Grand-Bassam

Résumé

Les mers et les océans représentent plus de 71% de la surface entourant la terre. En effet, les mers et les océans constituent des sources de matières et d’énergies. Ils sont aussi in dispensables à la vie sur terre. Points forts de la biodiversité pour la grande richesse qu’elle offre à la terre. En réalité, ces milieux abriteraient 80 % de la biomasse mondiale et 90 % de la biodiversité (Viel, 2013). Malgré leur importance dans le monde, ces écosystèmes et éléments naturels subissent de plus en plus les agressions de l’homme (La pêche industrielle, le réchauffement climatique, la pollution…etc.). Effectivement, les impacts sur l’environnement et ce qui la constitue se sont vus multipliés, avec les nouveaux modes d’exploitation et de productions inappropriées qui ont vu le jour.
C’est en fonction de ces études menée sur la pollution des plages, spécialement sur la plage de Bassam que je vais analyser cette question « Dans quelle mesure l’insalubrité sur les plages de Bassam peuvent-elles influencer sa population et ses activités »
En effet, la pollution sur la plage de Grand-Bassam n’est pas survenu par un coup de tête ou par une rébellion de la population. C’est l’Etat, par sa négligence qui a livré la commune de Bassam à son propre sort, Bassam qui est la ville représentant l’époque coloniale. Une ville abritant et accueillant les touristes, c’est vu se décomposer à cause des déchets et des moisissures qui jonche les rues et la plage.
Ainsi, l’impact des déchets sur la plage de Bassam sont assez grandes. Ils touchent la population et tout ce qui l’entoure. A partir de cette pollution, la nappe phréatique prend un coup, la mer n’a plus d’attirance pour les touristes et se balader sur le sable chaud de cette plage n’est plus encourageant.

Mots : 295

Généralités

“La Côte d\’Ivoire est un pays membre de l’Union africaine. D’une superficie de 322 462 km2. Elle est située dans l\’hémisphère nord entre le Tropique du Cancer et l\’Equateur et donne sur l\’Atlantique dans le Golfe de Guinée. Plus précisément, ses coordonnées sont comprises entre 10° et 4° de latitude nord et 10° et 0° de longitude ouest’’. La Côte d’Ivoire a pour capitale politique et administrative Yamoussoukro, Abidjan est son principal centre économique. En effet, Grand-Bassam était la première capitale de ce pays. Avec ses bâtiments datant du 19e siècle, la ville historique de Grand-Bassam a su garder son charme et son authenticité, elle constitue

aussi une richesse pour la côte d’ivoire. « Le tourisme local représente \”62% de l’économie de la Côte d’Ivoire en matière de services\”, avec plus 700.000 touristes ivoiriens depuis 2015 ». Grand-Bassam, haut lieu du tourisme en Côte d’Ivoire et classé au Patrimoine mondial de l’Unesco pour ses vestiges coloniaux, est prisé par les Ivoiriens et les expatriés. Tous les week-ends, ils sont nombreux à s’y rendre pour passer du temps entre amis ou en famille. Ces rencontres sont parfois sources de pollution. Où l’on peut retrouver de nombreux déchets très néfastes pour l’homme, ce qui constitue en effet un frein au développement économique et aussi touristique de la ville de Bassam et aussi pour le pays entier.

Introduction

La plage est un lieu de loisir le plus prisé par les touristes. Les hommes ont toujours aimé aller vers les pays contenant les réseaux maritimes, lagunaire. Les pays où le temps n’est ni trop chaud et ni trop froid, aussi où l’air est plus frais et où l’eau est agréable. C’est pourquoi les pays comportant des plages sont les pays les plus bondé de touristes.
Grand Bassam est l’une des villes balnéaires ivoiriennes les plus appréciées des touristes locaux et internationaux. Notamment à cause de son accessibilité (située non loin de la capitale Abidjan et du principal aéroport du pays). Inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2012, la ville historique de Grand Bassam est la première capitale économique de la Côte d’Ivoire. Ainsi, Le tourisme local représente 62% de l’économie de la Côte d’Ivoire en matière de services\”, avec plus 700.000 touristes ivoiriens depuis 2015. Une belle ville qui allie à la fois modernité et tradition. Cependant, malgré sa renommée nationale et sous régionale, Grand-Bassam présente de nombreuses faiblesses qui constituent un réel frein au développement de son tourisme. L’une des faiblesses les plus importantes est la sécurité sur les plages bassamoises . La ville enregistre une effervescence de toutes les couches sociales du pays, les week-ends et pendant les vacances.
Par ailleurs, nous avons certains hôtels et restaurants qui présentent une mauvaise hygiène, l’image de la destination Grand Bassam est ternie par l’insalubrité, au centre-ville et même sur les plages. Avec sur quelques bandes côtières des déchets que les touristes jettent, ou les marchands faisant la plupart du temps leur commerce de noix de coco ou autres. Plusieurs rues sont jonchées d’ordures et les bâtiments délabrés donnent une image de vieillesse à la ville. Ce qui me conduis à cette analyse : « dans quelle mesure l’insalubrité sur les plages de Bassam peuvent-elles influencer la commune de Grand-Bassam ».
Cette question a lieu d’être analyser puisqu’elle s’intéresse aux différents intérêts de la ville et aussi du pays. Aussi du fait de la renommé de Grand Bassam à travers les touristes il est nécessaire de mieux traiter cette question. Cette question nous permettra aussi en quelque sorte de trouver quelques solutions contre ce problème. C’est pourquoi dans ce travail j’énumèrerez les types d’activités humaines qui ont un lien avec l’insalubrité sur les plages, les différents déchets rencontrés sur les plages, les causes, les conséquences et enfin quelques solutions à apporter.

I. Les types d’activités humaines sur les plages de grand-Bassam

Les océans sont dorénavant envahis par des déchets, principalement plastiques, qui se concentrent sous l\’effet des courants océaniques. Le plastique qui est le déchet le plus observé sur le littoral des plages ivoirienne et salissent les plages. Ils sont à l\’origine d\’une catastrophe environnementale pour les écosystèmes marins, mais aussi pour notre santé en tant que consommateur de produits marins et enfin économique parce qu’il baisse le revenu de l’Etat et cause aussi des pertes à l’Etat.
Une quantité importante et non quantifiable de déchets plastiques entre dans la mer à travers les déchets, les décharges mal gérées, les activités touristiques, la pêche et les activités des riverains. Certaines de ces matériaux coulent au fond de l\’océan, alors que d\’autres flottent à la surface et peuvent traverser de grandes distances via les courants océaniques : ils s\’échouent alors sur les littoraux et s\’accumulent dans les fameux gyres océaniques.

1. Le commerce (vente, tourisme, artisanat)

Après étude dans la localité de Grand-Bassam j’ai remarqué que le commerce est l’activité la plus observée dans cette commune. Elle est très bénéfique pour cette commune et pour le pays. Le commerce est une activité qui rémunère pour les personnes n’ayant pas assez de moyens. Le commerce en réalité présente des sous-branches : la vente, l’artisanat, les restaurant et bar etc. en effet, le commerce exerce une très grande place dans la société ivoirienne, tout le monde peut faire le commerce. Souvent sur les plages de Bassam, nous pouvons observer des jeunes filles qui se prête à ces ventes, pour pouvoir se faire de l’argent. Spécialement en vendant des cigarettes, des arachides, des cocos, d’autres marchandise qui peut impacter la plage. Le commerce en effet est très bénéfique pour les personnes en difficultés et aussi pour les personnes visitant la plage, mais ça reste quand même néfaste pour la plage parce que les emballages ou autres déchets comme les déchets domestiques venant des restaurants sont déversé dans le sable ou dans la mer. Alors après analyse j’ai pu constater que le commerce est une activité pouvant impacter la plage spécialement la plage de grand-Bassam.
2. La pêche
La pêche en côte d’ivoire fait partie du secteur primaire et elle est une activité très rémunérant à Bassam. Dans la région de Grand-Bassam, la pêche en lagune a constitué l\’activité économique principale des peuples Abouré Ehè et Ossouhon. On peut l’observer dans les villes qui sont situées près de l’océan atlantique. Grand-Bassam en effet fait parties des villes qui pratiques la pêche. La pêche en effet est une activité qui présente des risques. On a les filets qui prennent en piège certains poissons ou autres espèces marines. Aussi, nous avons les pêcheurs qui parfois urine dans la mer en pêchant, ou certains pêcheurs qui déverse leurs déchets au milieu de la plage. La pêche en réalité est une action qui participe à l’insalubrité sur la plage. Elle a aussi les mêmes répercussions comme le commerce, parce qu’en plus d’être enrichissante, elle attaque la plage et la pille et aussi pille ces habitants. La pêche attaque en quelque sorte le commerce à Bassam et aussi à Abidjan, en pillant les produits disposés à la consommation.

3. L’agriculture

L’agriculture à Bassam n’est pas très élevée du fait qu’elle prône plus les activités maritimes. L’élément le plus cultivés sur les plages de Bassam sont la noix de coco. Cette activité de cultivées les noix de coco, rapporte beaucoup à la population Bassamoise parce que la noix de coco est le plus achetés sur la plage de Bassam. La noix de coco ne pollue pas directement la plage de Bassam, c’est l’homme qui, à partie de cette noix de coco salie la plage. Ainsi, nous pouvons dire que l’agriculture n’a pas un grand impacte sur la pollution de la plage de Bassam contrairement à la pêche et au commerce.
II. Les déchets rencontrés sur les côtes des plages de grand-Bassam (diagramme).
La plupart des déchets d\’origine humaine trouvés en mer, en tant qu\’altéragènes physiques, chimiques ou biologiques sont une pollution.
En effet, la salubrité des côtes de la plage de Grand Bassam est aussi déplorable. « Les plages sont sales. Tous les déchets rejetés dans nos plages se décomposent, fournissent et enrichissent le milieu en micro-organismes (bactéries, virus, etc.), dont certains sont responsables de maladies infectieuses et font que la baignade à la plage est compromise », a expliqué le sous-directeur du CIAPOL . En réalité les propos énoncés plus haut sont les causes et aussi le résultat de l’insalubrité à Bassam, parce que l’ensemble de ces bactéries, virus et infection attaquant la mer et la côte sont très dangereuses pour la population riveraine et les touristes.
Pr Ossey Bernard Yapo a ajouté que des défécations à l’air libre dans les sols sablonneux contaminent les sous-sols. Avec la montée des vagues, cette contamination infecte les eaux des nappes et les puits situés à proximité de l’océan et des bordures des plages.

Aussi, nous avons les pêcheurs, qui en tirant leurs filets de pêche à même les rivages, aggravent la contamination des produits de pêche. Ces produits de pêche (poissons, crustacés etc.) qui constituent la consommation de la population Bassamoises et la population ivoirienne.
Ces déchets en en effet, sur la plage de Grand-Bassam viennent des vendeuses, des artisans, des touristes et des riverains. De même que ces déchets sont rencontrés dans le monde entier ils sont aussi rencontrés sur les plages de Grand-Bassam et constituent un très grand danger pour l’être humain lui-même et aussi son entourage naturel.
 Mégots de cigarettes
Le tabac tue plus de sept millions de personnes chaque année dans le monde. Il est également à l\’origine d\’une importante pollution. Un mégot de cigarette en effet pollue, à lui seul, 500 litres d\’eau. Car il contient les résidus de près de 4.000 substances chimiques que renferme une cigarette. Qui ont pour temps de détérioration 2 ans. Les mégots de cigarettes à Grand-Bassam sont dus par les touristes et les personnes bondant où rencontrant la plage. Les mégots de cigarettes sont souvent rencontrés dans le sable quand l’on exerce forte recherche dans le sable. Les mégots de cigarettes font aussi parties des déchets bordant les plages de Grand-Bassam, et se retrouve parfois dans l’eau et aussi parfois dans le sable.

 Les mouchoirs
Les mouchoirs sont aussi très rencontrés dans les plages de Bassam parce qu’ils sont utilisés pour recouvrir la nourriture et ils sont aussi utilisés aussi pour se nettoyer le corps, le visage ou autres.
D\’un point de vue écologique, il serait préférable d\’utiliser un mouchoir en tissu réutilisable car un mouchoir de cellulose, si jeté dans la nature, met près de trois mois à disparaître, créant une pollution. Aussi, fabriquer un tel mouchoir nécessite du papier, donc du bois ; le papier recyclé est moins soyeux, moins vendable. Le mouchoir, sur les plages de Bassam, ne sont pas rencontrés fréquemment. On peut rencontrés ces mouchoirs dans des restaurants très insalubre et les maquis de plage ne comportant pas de poubelle.
 Ordure ménagère (peuple riverain)
Les ordures ménagères sont plus observées chez les populations habitant autour des plages leur ordures sont particulièrement les restes de nourritures, les noix jetés après ouvertures, les bouteilles etc. ces ordures ménagères font parties des déchets rencontrés sur le bord des plages ou dans l’eau. La moitié des déchets à la plage sont les déchets des riverains. Ces riverains en effet, sont ceux-là qui font aussi la pêche. Alors les riverains sont responsables de cette insalubrité à Bassam. Les ordures ménagères en réalité sont parfois observés en tas, parfois sont enterrés dans le sable et surtout rencontrés dans la mer.
 Matière fécale (animale et humaine)
Les matières fécales portent différents noms, tels que les excréments, les fèces ou les selles. Ce sont les déchets provenant des aliments après leur digestion dans l\’appareil digestif. Les matières fécales sont parfois rencontrées sur les plages de Bassam. Elles sont souvent inévitables et les personnes ayant se problème sont obligés de le faire dans l’eau. Ces personnes en réalité, sont les personnes fréquentant la plage. Mais en faisant ça ils ne savent pas que l’eau rapporte ces selles sur le bord et l’on sans faire exprès peut les piétiner et cela n’est pas salubre. Ces selles sont très dangereuses pour la santé des personnes fréquentant les plages. Cela peut aussi ternir l’image esthétique de cette plage de Bassam.
 Gros-industrie
Ce sont les bateaux qui traversent la mer. Ces bateaux en passant déversent aussi leurs déchets dans l’eau, aussi les gaz à effets de serres qui sont très mauvais pour la population. Ils polluent non seulement l’eau mais également l’air. Ces bateaux en déversant aussi leurs déchets tuent les poissons polluent l’eau, les touristes venant à la plage et les populations riverains.
 Les algues
Les algues sont des organismes capables de pratiquer la photosynthèse et vivant majoritairement dans un milieu aquatique (marin ou dulcicole), ce sont donc des végétaux. Elles sont dépourvues de tige, de racine, de feuille ou de fleur. Les algues présentes sur les plages de Bassam sont de teintures noires. Elles polluent non seulement l’eau mais elle encombre la plage et la salissent. Et ces algues en contacte de la peau sont très néfaste.

 Les sachets et bouteilles plastiques

Les sachets plastiques sont très utiles pour l’homme, elles sont utilisées comme emballage de nourriture et autres objets. Les sachets sont très perçus sur le bord des plages puisque les touristes ou la population après des pique-niques ou autres ils déversent ces sachets dans la nature et non dans les poubelles. De même que les sachets plastiques les bouteilles plastiques font parties du grand nombre de déchets rencontrés sur la plage Bassamoise. Le plastique de synthèse, comme les sachets plastique, les bouteilles en plastique ou d\’autres produits plastique sont des produits recyclables mais qui sont tellement habituelles et rependus dans tout le monde entier, qu\’il n\’est pas possible de tout recycler, c\’est ainsi que l\’on trouve l\’état de déchets plastique alors que ces produits ne sont pas biodégradables (c’est-à-dire qu\’ils ne se dégradent pas dans le sol). Ils resteront environ 500 ans sur la terre avant de se décomposer entièrement. En effet, les sachets plastiques peuvent obstruer l\’appareil digestif de l\’animal qui les a avalés. Les sacs en plastique peuvent provoquer la mort par famine de l\’animal qui en avalant un peut limiter la circulation des aliments dans son tube digestif ou entretenir une sensation de satiété par le fait que l\’estomac reste plein d\’un volume non dégradable. M. Adou Bamba a expliqué que chaque année, le monde utilise 500 milliards de sacs en plastique majoritairement à usage unique ou jetable. « Au moins huit millions de tonnes de plastique finissent dans les océans, l’équivalent d’un camion à ordures complet à chaque minute, causant la mort d’un million d’oiseaux de mer et de 100 000 mammifères marins », a-t-il relevé.
 Les chewing-gums
Les chewing-gums, ne sont pas très visibles à la plage de Bassam, généralement dans le sable. On remarque ces éléments parfois, après des recherches approfondies dans le sable. En effet, la venue des chewing-gums dans le sable ou la côte de Bassam est due au tourisme et au personnes fréquentant ces plages. De même que les sachets plastiques, ces déchets sont dangereux pour le sol de la plage de Bassam. En réalité la durée de vie du chewing-gum dans le sol est de 5 ans ce qui est très long, sans compter les autres déchets repérer sur la plage de Bassam.
Ces déchets cités ne sont pas les seules, nous pouvons en compter encore d’autres qui influence la plage de Bassam. Les déchets énumérés plus haut sont en effet, l’acharnement de l’homme envers mère nature. Cette nature qui assure tout notre bien-être. L’homme est en effet, coupable de la destruction de cette ressource naturelle.

II. L’impact de l’insalubrité sur les populations et aussi les étrangers

Après de nombreuses études sur la plage de Bassam, et de nombreux documentaire, nous pouvons voir que la pollution à la plage de Grand-Bassam est en une partie causée par les riverains, par les touristes et aussi par les restaurants qui bondent ses côtes. Les riverains qui sont en partie ceux qui fréquente plus les côtes du fait de leur proximité de la plage. En effet, ces riverains sont coupables parce qu’ils s’adonnent à de mauvaises pratiques sur la plage et ses alentours. Les principales actions menées par les riverains contre la plage et sa côte sont : les urines, excréments et les déchets plastiques. Les déchets plastiques qui sont très dangereuses pour la côte maritime et aussi pour les êtres vivants habitant la mer. Ces riverains sont aussi, ceux-là qui en plus de leurs activités ménagères menaçant la plage, pratique la vente sur la plage. La vente sur la plage n’est pas mauvaise dans le sens où elle n’impacte pas la plage, la côte maritimes et les personnes fréquentant la plage. En réalité, sur les plages de Grand-Bassam, les objets vendus sur la plage sont la plupart du temps transportés dans des bouteilles, et parfois des sachets. Le fruit le plus vendu sur la plage de Bassam est la noix de coco, la noix de coco est en effet, une ressource essentielle à Bassam, mais les vendeuses et les acheteurs après utilisation ou consommation laissent la noix trainée sur la côte ce qui constitue l’un des déchets sur la plage et empêche parfois de s’aventurer dans le sable de la plage de peur de se heurter les pieds.
Ainsi, les riverains et la population Bassamoise ayant accès à la plage, sont la cause de sa pollution.
De plus, nous avons les restaurants et leurs gérants qui sont aussi l’une des causes de la pollution sur les plages de Bassam. En effet, Après plusieurs observations faites sur la plage de Bassam, nous pouvons observer des restaurants ne respectant la norme de propreté. Ils sont insalubres et n’entretiennent pas leurs espaces ce qui influence la plage de Bassam. Ces restaurants font parties de ces éléments abîmant la plage et sa côte maritime.
Alors, nous pouvons dire qu’à partir de ces éléments la plage de Bassam cours à sa perte et aussi risques d’être moins fréquenté ce qui pourrait avoir un impacte sur la commune de Bassam, qui est réputé pour cette façade maritime qu’elle a proche de la capitale Ivoirienne.

Ces différents éléments cités plus haut exerce une certaine pression sur la plage de Gand-Bassam. Ainsi, les impacts générés par ces mauvaises habitudes se situe au niveau économique et socio-écologique.
 Au niveau économique
Au niveau de l’économie nous observons au fur et à mesure des baisses au niveau du touriste. Le touriste qui compose 62% de l’économie ivoirienne. La ville de Bassam, constitue un pilier dans l’économie de la Côte d’ivoire du fait de ses ressources Historiques et aussi de sa proximité de la plage. Alors, si cette ville et sa plage sont infect, elle ne pourra attirer la population extérieures et intérieures. On a aussi le PIB du pays qui risque de baisser du fait de la baisse du touriste. Aussi, la ville Bassamoise perdra de sa notoriété et observera des pertes en permettant cette pollution. En réalité, La demande de personne voulant de personnes voulant aller à la plage diminuera ce qui impacte les offreurs qui ne pourront offrir leur produit et leur service, il y aura une mauvaise allocation des ressources.

Sur ce graphique nous pouvons observer la demande de services à la plage de Bassam baisser. Les touristes et les citoyens fréquentant cette plage, en fonction de l’état de la plage, son insalubrité et sa mauvaise qualité seront obligés de déserter cette plage et de ne plus la côtoyer. A la suite de la baisse de la demande, les offreurs (ce qui offre leurs services : restaurants etc.) seront obligés de baisser leur prix par manque de clientèle, ce qui forme un nouvel équilibre.
En effet, cette baisse atteint la population Bassamoise et son économie, en plus de l’économie ivoirienne, qui verra son taux de tourisme au niveau des plages baisser.

 Au niveau socio-écologique
Au niveau socio-écologique, nous avons comme cité plus haut la côte de la plage de Grand-Bassam qui perdra sa couleur et le sable ne sera plus accessible pour les marches. L’eau et ses habitants seront contaminés. En réalité, il existe un lien entre les animaux et les hommes. Ce lien s’observe par le fait que ces animaux sont mangés par l’homme. La contamination de ces espèces attaque directement l’homme et sa santé. Alors, au niveau Socio-écologique, ce sont la santé, et les relations qui sont remises en cause. L’homme est exposé aux maladies comme : la diarrhée sous toutes ses formes, le choléra, la fièvre typhoïde et la poliomyélite. Ces déchets n’attaquent pas seulement la santé de l’homme, mais trouble les liens entre les pays pour le commerce et les investissements

III. Les solutions (comment mieux gérer cette plage).
Pour la ministre de la Salubrité de côte d’ivoire, Anne Désirée Ouloto, c’est grâce à une dynamique d’ensemble que l’on parviendra à lutter et éliminer la pollution hors des villes africaines. « Ni le Gouvernement, ni la BAD, ni l’ONU, n’arriveront seuls à agir contre la pollution. C’est ensemble que nous sommes condamnés à gagner ce combat contre la pollution de l’environnement », a-t-elle indiqué.
En effet, ces déchets dans le fond marin ou sur la plage compromette la vie des animaux. Les animaux qui se nourrissent de nos déchets plastiques et par la même occasion contracte des virus et bactéries, qui ont des retombés sur nous et notre santé.
Pour ce fait, le ministre de la salubrité Anne Ouloto a souhaité la pérennisation de cette activité de nettoyage, engageant la communauté à ne plus utiliser le plastique à usage unique.
Elle invité l’ensemble de ses concitoyens, notamment les industriels, à s’approprier le décret n° 2013-327 du 22 mai 2013 mettant fin à la fabrication locale, l’importation, la commercialisation et l’utilisation des emballages plastiques qui composent, à ce jour, 12% de l’ensemble des déchets collectés quotidiennement à Abidjan.
Pour ce travail, nous pouvons en quelques sorte adopter les propos du ministre de la salubrité, en diminuant nos utilisations d’emballages plastiques sur les plages et en créant des poubelles accessibles à toutes les personnes voulant se débarrasser d’un déchet. Aussi, le décret pollueur payeur pour les maquis logeant sur les côtes de plage, dans le but de limiter le nombre de déchets les abritant.
Il faut aussi, diriger les personnes habitant sur les côtes vers d’autres lieux moins dangereux et propice pour eux pour la salubrité de la plage.
En limitant ces déchets, Grand Bassam pourra assurer la santé de sa population et aussi relever le nombre de tourisme et cela donnera son esthétique à la plage.

Conclusion

L’impact des pollutions par les déchets sur les plages de Grand-Bassam sont très nombreuses, et se situent au niveau de plusieurs point. En effet, cette influence néfaste qu’elle à eu sur la plage de Bassam a développé de nombreux jugement et de nombreuse révolte. Après étude sur le territoire de Bassam, j’ai réussi à déterminé les causes et d’où cette pollution prenait forme. Une pollution qui venait des différentes activités menées sur cette plage.
Aussi, l’économie qui est la plus impacter, parce qu’elle est la seule qui représente un pays au niveau mondial et aussi parce que une économie en baisse est défavorable pour la population et le pays lui-même.

La pollution dans les lieux de loisirs, est un fait qui est assez camouflés par l’Etat dans le but de pouvoir garder sa notoriété. En effet, cette pollution sur les plages constitue un frein dans le développement du tourisme et le développement de l’économie. En traitant ce sujet, nous pouvons voir que les déchets sont assez présents sur les plages de Grand Bassam, ce qui est très dangereux pour la population et les touristes. Pour un environnement sain l’on doit se débarrasser de toute mauvaise habitude et promouvoir la propreté sur la plage de Bassam.

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Image
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http://bassamnews.com/wp-content/uploads/2015/12/IMG_20151206_130748-520×245.jpg 20 novembre 2018
https://p1.storage.canalblog.com/15/29/248301/82630102_o.jpg 20 novembre 2018
Graphique : courbe montrant le déplacement de la courbe de demande de biens et services des touristes sur les plages de Bassam.