D\’autres théories font références à Zoroastre\”, «prêtre» pendant l\’aire babylonienne (-1800 à -144 av. J.-C.) créateur du Mazdéisme (la religion des Mages).
La magie, ancêtre de la médecine moderne
L\’homme préhistorique (la préhistoire s\’entend environ de -20 000 à -2 000 avant J.-C.) considérait la maladie comme une sanction affligée par les dieux, les mauvais esprits ou les démons. La première médecine fut faite de démonologie empirique. Devant de telles croyances, il en découlait naturellement que le moyen de guérir incluait une pratique magique pour apaiser les esprits. Seules les personnes ayant le pouvoir d\’entrer en contact avec les puissances surnaturelles étaient à même de soigner la maladie. Il s\’agissait là de mages, prêtres, devins ou encore sorciers. C\’est d\’ailleurs ces derniers qui préconisaient la trépanation du crâne pour en faire sortir les mauvais esprits. Les prêtres se servaient plutôt d\’incantations, de rites ou de prières pour intercéder auprès des dieux.
Principes de la Magie Blanche
La Magie Blanche se base sur la notion de respect de la nature et, bien sûr, respect de l\’Homme. Elle regroupe aussi bien les rituels, les invocations, les techniques de méditation et même les Arts Divinatoires.
On pourrait en retenir trois principes, quelque peu basiques, mais tout de même fondamentaux:
Il
N\’utilisez pas la magie pour contrôler les autres ou pour assouvir votre vengeance.
Et la plus importante, remerciez pour tout ce que vous recevez.
Le triple choc en retour
On entend souvent parler du triple choc en retour, qui, pour faire simple, nous apprend que le Bien fait nous reviendra par 3 fois et le Mal fait également. « Ne Jais pas aux autres ce que tu ne veux pas qu\’on te Jasse».
ous nous trouvons là face à un aspect qui renvoie indéniablement à la mention de Karma, mention que l\’on retrouve également dans les 3 lois de la Magie Blanche, qui prêtent elles aussi à contreverse. Déjà, préférons le mot « principe » au mot « loi », car la Magie Blanche n\’est pas régie par des lois, mais plutôt par l\’éthique personnelle du pratiquant.
Magie Blanche et Magie Noire (ou petit traité sur les couleurs en magie)
Il serait un peu incongru de parler d\’une force sans citer son« opposé ». Nous entendons souvent vulgairement dire cela : « La Magie Blanche sert à faire le Bien, la Magie Noire à faire le Mal ». Mais si tout cela allait bien au-delà des visions de Bien ou de Mal ? Les intentions et les émotions du pratiquant pourraient déterminer le «type» de magie utilisée. On pourrait considérer la Magie Blanche comme un « coup de pouce»; alors qu\’Elie vise à servir le Destin, la Magie Noire ira dans l\’optique de nous servir, sans l\’accord du Destin au préalable. Elle est parfois utilisée à des fins personnelles (cela m\’est dû), à des actes de vengeance, mais on y trouve également des sorts de guérison ou de protection.
Les entités invoquées sont différentes, la Magie Noire tirant sa source de la démonologie. Souvent, l\’énergie utilisée ne vient pas de celui qui la pratique, mais bel et bien de l\’entité appelée. Mais tout est relatif. Certains diront que ces deux pratiques s\’opposent radicalement (dans l\’intention du moins) et qu\’elles se situent forcément dans un contexte de« ou tout noir ou tout blanc».
D\’autres, par contre, trouveront un équilibre à jongler avec ces deux puissances.
Il ne s\’agit pas là de faire l\’apologie de qui à tort ou qui a raison, mais bel et bien de respecter les croyances de chacun.