Les analyses sociologiques de la structure sociale

Les problèmes majeurs dans les classes sociales ainsi que les inégalités existent depuis l’utilisation de la monnaie. De nos jours, les plus riches (~1%) s’enrichissent et le reste de la planète (~99%) entière s’appauvrit. Le revenu total des riches en 2015 équivaut à 110 000 milliards de dollars. C’est plus que 60 fois la richesse totale de la moitié plus pauvre de la population mondiale! La pauvreté est un concept complexe à définir. C’est le produit mondial brut qui a plus que quadruplé depuis les années 1980 (de 15000 milliards de dollars à 70000 milliards à présent. (Beaudet, introduction 2018) Depuis les années 1980, au Canada, les 20% plus riches ont vus une augmentation de 16,4% de leurs revenus alors que le 20% des plus pauvres du pays ont vu leurs diminuer de plus de 20%. (Beaudet, introduction 2018) La protection des employés dans le marché du travail (syndicalisme) ainsi que les droits et plus d’ouverture vers les groupes de la société sont les désirs les plus demandés ici au Canada. Ces statistiques prouvent que l’argent domine partout au monde et l’écart est gigantesque. Les revendications des sociétés ne sont pas nécessairement les façons les plus efficaces pour obtenir ce qu’elles veulent. Un exemple de celui-ci est les mouvements du Forums alternatifs Européens. Une des hypothèses sur l’altermondialisme, un sujet traité dans ce rapport de recherche vient appuyer les mouvements sociaux : «Le processus des forums sociaux mondiaux participe à la construction des bases sociales du mouvement altermondialiste» La contre-offensive a prouvé que la droitisation des positions n’est pas la seule solution. Grâce à la contre-offensive, les opinions et courant fascistes, d’extrême droite sont sensibles et à éviter d’être partagé avec le public. (Massiah 2015) Une autre hypothèse vient solidifier son argument : «Le mouvement altermondialiste est défini par la convergence des mouvements sociaux et citoyens qui luttent contre les conséquences de la logique dominante. » La logique dominante touche le mouvement GLBT (gay, lesbiennes, bisexuelles, transgenres), la discrimination raciale encore présente par le gouvernement et les autorités, des grèves chez les travailleurs mal payés ou ayant de mauvaises conditions de travail et voir même des protestations contre certains gouvernements et leurs idées, décisions politiques. (Estrada 2011) Ces mouvements se passent presque partout dans le monde depuis une décennie après le 21ème siècle, alors ces revendications prouvent quand même que c’est un phénomène qui touche plusieurs sociétés et que la
mentalité générale de la population a changé drastiquement depuis le dernier siècle. L’auteur explique aussi que l’entrée des nouvelles générations et nouvelles façons de penser chez les jeunes transforme notre société. (Massiah 2015) Au moment où les sociologues discutent de classe sociale, ils font allusion à un rassemblement de personnes qui impliquent une position comparative dans le dispositif monétaire de la création. À l\’intérieur de ce cadre, l\’occupation est essentielle étant donné qu\’elle offre des valeurs, une stabilité et des avantages liés. Ils tiennent à obtenir des données (signaux) par type d\’emploi, quartier, vêtements, véhicules, etc. (Beaudet introduction 2018) La classe sociale de l’haute société, voir les élites, parlent à l\’initiative institutionnelle, aux responsables de partenariats mondiaux, aux établissements, aux collèges, conseil des industriels. Ils sont propriétaires de terrains, d’actions, d’obligations et de différentes ressources, ils s’enrichissent de ce qu’ils possèdent. La classe moyenne, plus haute, parle à des apprentissages logiques et spécialisés, les membres de cette classe sont habituellement des ingénieurs, des comptables, des conseillers juridiques, des planificateurs, un membre du personnel des collèges, des administrateurs et des dirigeants d\’associations publiques et privées. Ces personnes ont des moyens de subsistance élevés et une notoriété sociale élevée, accomplie. (Camfield 2007) Il est difficile de caractériser une «classe de cols blancs » (qui désigne centre supérieur, centre et centre inférieur). Cette classe sociale est probablement le groupe le plus important aux Canada, vu que la classe ouvrière est plus qu\’un simple salaire, des modes de vie et des actions. Par contre, il ne contient pas le plus de membres canadiens dans cette classe sociale. Ensuite, il y a la classe moyenne plus basse. Celle-ci comprend les commis administratif, ils participent aux collectes de données. Ces membres sont des cols bleus de métiers spécialisés, des caissiers de banques, associés aux ventes et ils fournissent des soutiens aux professionnels. Plus bas, il y a la classe ouvrière, dont des artisans, travailleurs dans les usines, restaurants, maisons de retraites, garages, services de livraisons et réparations font tous partis. Dernier et le moindre est la classe des pauvres. Les membres de cette classe travaillent à temps plein pour des salaires insuffisants et plus bas que le minimum. Habituellement, ils sont associés aux services sociaux et font partis de la sous-classe. Les classes sociales sont le sujets les plus intéressants à examiner et les plus abordés par les sociologues. (Beaudet, introduction 2018) D’abord, la pertinence des mouvements de libération nationale sera abordée. Ensuite, aborder le syndicalisme en temps qu’un processus de transformation, la place des luttes et revendications des autochtones dans les mouvements sociaux ainsi que la décortication du terme d’altermondialisme. C’est grâce à tous ces sujets abordés que les classes sociaux et les mouvements sociaux d’aujourd’hui existent.

Première question
Les mouvements de libération nationale sont-ils encore pertinents à notre époque ?

L’œuvre de Fanon joue un rôle important dans la libération nationale. Il y a aussi d’autres sociologues dont Ben Barka (Maroc), Nkrumah (Ghana) et Patrice Lumumba (Congo) qui ont abordés la libération nationale. Depuis cinquante ans, l’initiative est passée dans le sud où prolifèrent les luttes et les mouvements préoccupés par l’inégalité et les droits sociaux. L’exemple vient du sud, quitte à «migrer» vers le nord. C’est un nouveau «langage», à découvrir pour comprendre ce qui se passe et aussi, éventuellement, pour agir et travailler dans ce domaine.

Karl Marx

Les deux sociologues les plus intéressants à comparer sont Max Weber et Karl Marx. Selon le sociologue juif Karl Marx, la situation de classe définit la place des personnes: elle est l’essentiel dans l’étude de la société. La société est polarisée par deux classes majeures définies par leur position dans les analyses de production face aux exploiteurs et les exploités. Les classes sociales n’existent seulement durant les conflits, c’est la lutte des classes, qui est le «moteur de l’histoire.». Karl Marx estime d’ailleurs que le facteur économique n’explique pas tout, que la longue gestation culturelle qui modifie les sociétés en profondeur, qui ainsi, force la sociologie à observer à l’extérieur des sentiers déjà explorés. (Beaudet, Classes et luttes de classes avec Marx 2018) En dépit du fait que Marx parlait majoritairement de deux classes incroyables, propriétaires et spécialistes, il connaissait également une troisième classification qu’il surnommait la petite bourgeoisie, une véritable petite classe moyenne, qui était propriétaire d’entreprises privées. Trouver un lieu pour ce rassemblement était gênant au motif que les membres de cette classe créée par Marx manquaient de pouvoirs si les propriétaires avaient une autorité sur leur travail et sur leurs salaires, contrairement aux ouvriers. Selon Marx, ils ont parfois eu des contacts avec les propriétaires et parfois avec des spécialistes. (Beaudet, classes et luttes avec Marx 2018) Les mouvements sociaux ont poursuivi une longue démarche politique, pratique et théorique pour représenter un projet réaliste, qui pendant des années était sous le nom de «socialiste». Il y avait une vision optimiste que l’histoire allait avancer jusqu’à la libération des gens. Par contre, une partie du problème était la séparation entre les États-Unis impérialistes et États-Unis colonisés. (Beaudet, les mouvements de libération 2018)

Max Weber

Weber, lui, a affirmé que les classes sociales faisaient allusion aux intérêts monétaires. C\’était une position monétaire quantifiable, des grappes qui partagent un arrangement typique et de conditions. Weber a en discuté du statut, de l’éminence, le rôle essentiel était la familiarité avec son estime. (Beaudet, classes et modernité avec Weber 2018) Max Weber a également discuté de la réunion, en associant fondamentalement les intérêts de la classe avec l’énergie. Marx considère le capitalisme de façon plutôt négative, comme destructeur (source de conflit de classes), Weber le considère comme naturel et permanent, le meilleur moyen au fil du temps d\’atteindre des objectifs rationnels. (Beaudet, classes et luttes avec Marx 2018)

La motion Zapatiste

Un exemple qui peut supporter les thèses des deux sociologues abordés précédemment est la motion Zapatiste. (Baschet 2014) Visible de l’Europe, elle est régulièrement reliée à quelques grands épisodes, mais circonscrite dans le temps: le «ya ya basta!» du 1er janvier 1994. C’est une renaissance du souhait qui a brisé la proclamation vaniteuse de la fin de l’histoire; l’assemblée pour l’humanité et le néolibéralisme, au cours de l’été de 1996, érigée en raison de l’antécédent du cycle de mobilisations antimondialistes inauguré à Seattle; la marche de la dignité autochtone, en printemps 2001. (Baschet 2014) La grande force des médias confère une confiance absolue, ce qui a rendu la compréhension de l\’absence de résultat tangible. L\’expérience éducative Zapatiste n\’est pas épargnée par un phénomène de reproduction ou d’appropriation du modèle éducatif traditionnel et conservateur. Par contre, l’analyse mène à la conclusion qu\’il le subvertit profondément. (Baschet 2014) La transformation du statut des enseignants est sans aucun doute l’un des motivations majeures de cette subversion, ils ne sont pas institués en tant que professionnels de l’éducation et que leur fardeau n’implique qu\’un processus de spécialisation limité dont les effets sont encadrés par le maintien d\’un mode de formation. Le zapatisme est à la fois un soulèvement autochtone pour une dignité et une autonomie renouvelées, une guerre de libération à l\’échelle nationale visant à convertir le Mexique, un rebelle pour l\’humanité et en opposition au néolibéralisme. (Beaudet, les mouvements de libération 2018) Ce mouvement mélange soigneusement les perspectives intranationales, nationales et mondiales. Les zapatistes semblent appliquer un système inhabituel: ils veulent en quelque sorte être plus grand d\’eux-mêmes et plus grand les uns des autres. (Baschet 2014) En fait, il n\’y a pas d’opposition entre ces deux aspirations et tout l\’aveuglement doit provenir de catégories conçues de manière trop rigide pour s\’accorder avec le fait que l\’affirmation culturelle aboutit au rejet de l\’autre ou que l\’ouverture de la planète exige le détachement de tout mode de vie spécifique. (Camfield 2007)

Deuxième question
Le syndicalisme est-il encore porteur d’un processus de transformation ?

Les mouvements de libération nationale étaient très présents durant le 20ième siècle. Après 1945, ils sont devenus des acteurs de premier plan sous le phénomène de la décolonisation, de la souveraineté et du développement international. Il y a tout un mélange des théories et des concepts. Le socialisme (plutôt européen) a été interpellé où on jugeait les indices de colonialisme et de racisme. (Beaudet, syndicats et mouvements, 2018)

Les conséquences du syndicalisme

Les pressions sont fortes pour marginaliser les syndicats ainsi que de les déstabiliser. Les délocalisations sont des conséquences qui font peur. Les employeurs se concentrent sur les fonds de pensions et aux journées de congés payés. Le tremblement de terre fondamental engendré par la mondialisation, la baisse des prestations et les solutions néolibérales qui ont accéléré le profond repli du milieu des années 80, le moindre du milieu des années 2000, et la grande récession de 2008 ont résulté un grand nombre de métiers de création. (Camfield 2007) Les associations qui peuvent gagner du terrain en répondant aux besoins interconnectés d\’élargir le gouvernement majoritaire de l\’association et de créer la capacité de prendre part à la contestation le long des obstacles du contrôle et de gagner et protéger solide, juridiquement contraignant l’assurance de la privatisation sera de plus en plus appropriée pour détourner les préoccupations des spécialistes vers l’activisme associatif. Cela leur permettra de mieux faire face aux demandes de concessions et au fonctionnement d\’un État maigre.

Le néolibéralisme

Les associations qui ne cherchent pas à s\’opposer au «changement» néolibéral des personnes dans le segment général rateront des occasions impératives de démontrer leur importance aux yeux des préoccupations essentielles des individus et de propulser de plus grandes quantités de soutien et de devoir. (Beaudet, syndicats et mouvements 2018) L’efficacité accrue de la majeure partie de cette période, conséquence de l’augmentation du travail et de l’innovation, garantissait que lorsqu’une nouvelle génération reprenait entre deux subventions, il n’y avait pratiquement pas de nouveaux emplois dans l’assemblage. Malgré le fait que le néolibéralisme soit une réalité qui transcende les conceptions canadiennes, il existe des variétés critiques dans sa formation. (Camfield 2007) Les confrontations les plus graves avec les associations de parties ouvertes cherchent régulièrement à se substituer à un gouvernement néo-démocrate par un gouvernement encore plus conservateur, comme ce fut le cas en Ontario après la course des conservateurs en 1995 et en Colombie-Britannique après le triomphe des libéraux. (Camfield 2007) Quoi qu’il en soit, le développement de l’état maigre est une composante nécessaire du néolibéralisme. Le rythme et l\’ampleur de cette procédure au Canada ne peuvent pas être anticipé, mais augmentera très probablement lorsque les effets monétaires structurés suivants le ralentissement économique pèse sur les revenus du gouvernement. (Camfield 2007) Au Québec, dans les années 1930, il y avait une lutte difficile. Après la guerre et le compromis keynésien, les syndicats se sont impliqués dans les systèmes de relations industrielles. Au Canada et aux États-Unis, ceci se nommait le syndicalisme «d’affaires». Le véritable effort du néolibéralisme a été de protéger les avantages des industries. La reconstruction a peut-être été différente selon les pays mais la structure de la stratégie néolibérale comprenait notamment la privatisation, l\’avancement et la flexibilisation du travail, une diminution considérable de l\’utilisation de l\’aide sociale par l’État. (Camfield 2007) Considérés avec le statut de reconstruction et avec le statut de gouvernement pour utiliser les pouvoirs autoritaires contre les associations, certains travailleurs ont eu la capacité de se protéger efficacement ou même d’acquérir de petits gains. Les dissensions politiques de masse dans lesquelles les associations de segments ouverts ont assumé un rôle principal, telles que les Journées d’action en Ontario et la Journée du trouble au Québec en décembre 2003, ainsi que d’autres projections de grande envergure, n’ont pas contraint les néolibéraux à se manifester auprès du gouvernements à changer, même s’ils ont modéré le rythme de la reconstruction. (Camfield 2007) L\’expérience universelle recommande que les associations ayant une praxis syndicale pour le développement social soient les mieux à même de contester les mesures de reconstruction. Au moment où les associations décrivent les demandes des dirigeants et les «changements» néolibéraux par opposition aux intérêts des associations et des clients des administrations ouvertes, elles sont obligées d\’inspirer une aide plus large que lorsque la restriction est formulée en termes plus simples. (Beaudet, syndicats et mouvements 2018) Les associations précédentes de groupes et les réunions de réseaux seront renforcées par des associations plus anciennes, ce qui les rendra inévitablement au service de la solidarité. Une telle solidarité ne peut qu’être transformée en une activité puissante au sein de laquelle des associations s’efforcent depuis peu de fabriquer un développement social expansif avec des associations en réseau. Afin d\’éliminer l\’indemnisation et les différents avantages des travailleurs, les privilèges des employés, y compris leur droit d\’association et de négociation globale, les conditions de vie des citoyens ordinaires et leurs droits à la majorité, ont été sérieusement attaqués. La meilleure façon que les syndicats peuvent s’internationaliser davantage, apporter des réponses à propos des enjeux mondiaux, il faut qu’ils s’appliquent dans l’altermondialisme. (Beaudet, syndicats et mouvements 2018)

Quatrième question

Quel est la place des luttes et des revendications autochtones dans les mouvements sociaux contemporains ?
Depuis l’arrivée des Européens en Amérique du Nord, il a eu d’innombrables changements géographiques, économiques, sociaux à travers le pays. Depuis 10000 à 11000 ans, les premiers occupants du pays se situent à l’est du Canada; ils sont autochtones. Un territoire autochtone, qui peut aussi prendre le nom de territoire traditionnel, signifie les connections ancestrales et modernes qui existent entre les Autochtones et un endroit géographique. Les territoires s’identifient et ressortent en fonction de liens de parenté, d’occupation des terres, des routes saisonnières qui les traversent, de routes d’échanges commerciaux, de la gestion des ressources, de certains liens culturels et les langues parlées dans les lieux. (Hanson 2009) Les zones autochtones sont en changement constant, (tout comme la Loi des Indiens) que ce soit avec la justice canadienne, que ce soit celui des familles autochtones (ancêtres) et des relations entre les groupes autochtones. À présent, les personnes indigènes se déplacent à travers le pays pour se rapprocher de leur famille, surtout si un membre de leur famille ou bande a un haut statut. Les mouvements des jeunes Autochtones à travers le pays peuvent aussi être basés sur leur avenir, revenus salarial, éducation et carrières. Beaucoup de jeunes quittent les réserves pour aller vivre en ville parce que la vie dans les réserves est insupportable.

La Loi des Indiens

La loi a été modifiée nombreuse fois, notamment en 1951 et en 1985, avec des modifications visant majoritairement à éliminer des dispositions particulièrement discriminatoires. (Hanson 2009) La Loi sur les Indiens n’affecte que les membres des Premières nations, pas les Métis ni les Inuits. Les Inuits et les Métis tentent plus de vivre dans des régions qui sont gouverné par des accords d’un gouvernement autonome. Avec l’Acte Constitutionnel de 1867, les Autochtones ont droits à leur territoire sous l’autorisation législative du gouvernement canadien. Selon la Loi des Indiens, les terres de la réserve ne seront pas saisies légalement, pas plus que les effets non-publics d\’une bande ou d\’un membre du groupe autochtone vivant dans une réserve ne peuvent «évaluer, nantir, hypothéquer, saisir, percevoir, saisir, détourner ou exécuter en faveur ou à l’exemple» de tout homme ou femme hormis d’une personne indigène ou un groupe. (Hanson 2009) Les règlements ne s’exécutent que dans les limites de la réserve, bien que la plupart des lois provinciales s’appliquent aux habitants de la réserve. Les lois provinciales ou territoriales régissent généralement tous les résidents de cette province ou de ce territoire, dans les réserves ou à l’extérieur de la réserve, bien qu’ils disposent de certains pouvoirs. La révolte des Métis en 1869 au Manitoba avait pour but d’obtenir un gouvernement majoritairement métis et contrôler par un métis. Il s’agit de la nation des peoples Cri et Assiniboine, Saulteux avec des Canadiens français et d’autres immigrants de l’Europe. Ce mélange de peuple s’opposent contre l’accaparement de leurs territoires. Ceci a causé la pendaison de Louis Riel en 1885. (Beaudet, mouvements autochtones 2018) L’intégration au système économique des Autochtones a causé un grand choc culturel (impositions de stratégies de commerce). Les Autochtones au Québec participaient entièrement au commerce, tandis que ceux au Nord étaient plus réservés et se sont distancés du capitalisme. (Trudel 2017) Pour faire face à la résistance, le gouvernement a changé la loi pour empêcher et avoir le contrôle sur la religion et certaines activités politiques qui se passaient. La Loi des Indiens, qui est un document incohérent, est en constante évolution et c’est un document incompréhensible, qui a provoqué des traumatismes, des violations des droits de la personne et des bouleversements sociaux et culturels chez des générations de peuples des Premières Nations. Ces citadins se retrouvent confrontés à l\’international anonyme et méprisant des Blancs. Dans le même temps, ils apprennent à parler et à réaffirmer leur identité. (Trudel 2017) La Loi sur les Indiens est essentielle et légitimement critique pour les groupes autochtones. Elle reconnaît et confirme l\’unique relation enregistrée et établie entre les groupes de peuples autochtones et le Canada. Les Autochtones méritent plus. 60% des terres anciennement autochtones (de 100 ans ou moins), n’appartiennent plus aux Autochtones et ne sont plus des réserves. Il y a tellement de lois contre eux, que s’ils désirent prendre possession de certains établissements sociaux (écoles, hôpitaux, stations de police, etc.), ils ne peuvent pas, vu qu’il manque une autonomie gouvernementale. (Trudel 2017) Trudeau devrait absolument se relancer dans les travaux de la Commission royale de 1995 les Autochtones méritent encore aujourd’hui beaucoup plus de droits.

Protection pour les femmes Autochtones

À chaque année, à travers le pays, des milliers de femmes sont disparues, violées et tuées. Il y a le groupe de FAQ (Femmes Autochtones du Québec) qui a été fondé en 1974 pour venir protéger ce groupe. Il y a le Centre des femmes de Montréal qui a collaboré avec ce groupe en 2003 pour venir aider les femmes autochtones des façons suivantes: d’éviter la discrimination des femmes autochtones, offrir des cours sur la sensibilisation et la prévention des attaques (comment se protéger, cherche de l’aide, etc.), offrir de l’aide judiciaire et du support alimentaire, vestimentaire. (Halseth 2013)

Cinquième question
L’altermondialisme, ça sert à quoi ?

L\’altermondialisme ou altermondialisation se caractérise par un développement social confronté à une logique de revendications de mondialisation libérales dynamiques et à des avancées telles que le gouvernement à la majorité, l\’équité financière, la garantie de la nature et des droits de l\’homme, ainsi qu\’une mondialisation contrôlée et solidaire. Une des hypothèses abordées par Gustave Massiah est la suivante : «Le mouvement altermondialiste est le mouvement anti-systémique de la phase actuelle de la mondialisation capitaliste, la phase néolibérale. » Celle-ci défini la crise structurelle d côté économique, sociale, inégalités et précarisation. C’est une thèse complexe. (Massiah 2015) C’est d’ailleurs un développement social qui, malgré la logique d\’une globalisation libérale insensée, revendique et met en place des valeurs telles que le gouvernement à la majorité, l\’équité financière, le bouclier de la terre, les droits de l\’homme dans une perspective de mondialisation contrôlée et de solidarité. (Turner et al., 2018) Exceptionnellement hétérogène et constitué d\’un grand nombre d\’affiliations, de développements de divers horizons, d\’associations non administratives, l\’altermondialisme se manifeste par des positions allant du réformisme au l’effondrement. Pour créer des énergies de coopération entre les divers développements qui l’influencent, l’altermondialisme s’efforce de créer des systèmes mondiaux. (Massiah 2015) Apparu en 1994, ce nouveau type de protection contre la mondialisation échappe au contrôle des rassemblements politiques et des États. (Beaudet, altermondialismes 2018) Ceci vient solidifier la prochaine hypothèse sur l’altermondialisme de Massiah : «Comme tout mouvement historique d’émancipation, le mouvement altermondialiste est un mouvement historique qui prolonge et renouvelle les mouvements historiques des périodes précédentes.» L’histoire de l’altermondialisme est composée d’un rassemblement d’affiliations, d’associations et d’ONG combattant contre une progression exorbitante. L\’expression «antiglobalisation» est le mot principal utilisé pour assigner le développement au défi. (Massiah 2015) Une hypothèse par le même auteur traite du sujet des défis : « Le mouvement altermondialiste doit identifier et préciser les défis auxquels il doit faire face aujourd’hui.» Le mouvement altermondialiste était, au tout départ contre le néolibéralisme et à affronté le capitalisme à plusieurs reprises. En 1999, après le poids appliqué par les activistes, le terme de début d\’altermondialisme a été introduit dans le monde francophone et est devenu l\’articulation typique. Depuis 2011, des actions massives, presque insurrectionnelles, ont montré l\’exaspération des peuples. Les révoltes des peuples ont une base commune pour comprendre la situation mondiale depuis 2008. Ces mouvements apportent une réponse globale à laquelle chaque état des États-Unis d’Amérique réfléchit, en tenant compte des spécificités nationales. Ils montrent que les sociétés se sont modifiées et qu\’une nouvelle technologie est recherchée dans l\’espace public. (Massiah 2015) Ce n\’est pas toujours beaucoup les jeunes définis comme un groupe d\’âge, mais approximativement une ère culturelle qui s’introduit parfaitement dans un scénario et le transforme. L’éducation des sociétés se traduit d\’une part par la fuite de l\’esprit, d\’autre part par l\’aide de diplômés au chômage. Le mouvement altermondialiste se bâtit dans la convergence des mouvements autour de quelques principes: la diversité et de la légitimité de toutes les manifestations contre l’oppression, de l’orientation stratégique, de l’accord des droits pour tous et de l’égalité des droits, d’une nouvelle culture politique qui rassemble l’implication, l’individualité et la collectivité. (Beaudet, Altermondialismes, 2018) Une toute nouvelle gouvernance cherche à rétablir «l’ordre» et à limiter le mécontentement. C\’est une attaque contre les leçons intermédiaires, courantes et leurs entreprises traditionnelles, principalement les syndicats de change et les partis sociaux-démocrates. (Massiah 2015) Les partis proches de mouvements célèbres intériorisent les valeurs néolibérales (austérité, privatisation, dérégulation, etc.). Les développements bien connus « attrapent » une partie du pouvoir avant même les décisions. Contrairement au «vieux» communisme, la centralité des développements peuvent être observés (le MST au Brésil est un exemple). C\’est à cet endroit que le besoin de nouveaux appareils augmente.

Le Forum

Pendant plusieurs années, le Forum est un évènement politique, culturel et célébrant. (Massiah 2015) Il est soutenu par la «vague rose». L’internationalisation via les Forums régionaux et nationaux produit des conséquences inégales et illogiques. Ce fait vient confirmer une hypothèse additionnelle de Gustave Massiah : «Les Forums sociaux mondiaux sont ouverts à tous les courants politiques des mouvements qui composent le mouvement altermondialiste et qui acceptent les orientations de la Charte des principes.» (Massiah 2015) Il y a beaucoup de difficultés d’accepter les mouvements sociaux aux endroits qui sont faibles économiquement et sous-développés (en Afrique, en Europe de l’Est, en Asie de l’Est). C’est loin la réinvention de la démocratie qui est au cœur des modifications et des questions. La démocratie économique et sociale reste un préalable, elle est un inventeur. Il est évident que la démocratie ne résume pas le marché, mais il apparaît également que le pays ne suffit pas pour définir le marché et garantir la démocratie. La démocratie culturelle et la politique sont toujours recherchées et évoluent avec le temps.

Pour conclure, il y a plusieurs événements sociaux à travers l’histoire qui ont construit les classes sociales. Depuis le début de l’économie, les individus ont été catégorisés par leur richesse et leurs revenus. Avec les riches qui s’enrichissent et les pauvres qui s’appauvrissent, les mouvements et les revendications des sociétés partout dans l’Amérique du Nord et en Europe. (Beaudet, introduction 2018) De plus en plus, les sociétés sont au courants que la richesse est inégale et que la pauvreté est un problème qui ne sera jamais réglé. Le développement social, à peu près trié mais toujours au service d\’un objectif social, consiste soit régulièrement en exécution, soit en action compensatrice d\’un ajustement de la structure ou des qualités du public. Bien que les évolutions sociales varient en taille, elles sont généralement globales. (Turner et al., 2018) En d’autres mots, elles résultent d’une rencontre, sans contraintes, d’individus dont les relations ne sont pas caractérisées par des normes et des méthodes, mais qui offrent uniquement un point de vue typique de la société. Vers la fin du 20ième siècle, les communautés Latino-Américaines ont réussies à se faire entendre socialement par des manifestations, révolution, demandes et mécontentement général, mais ils ne sont pas les seuls. (Estrada 2011) Dans les pays plus développés et plus avancés, la liberté et l’égalité entre tous est pourchassé par la société. Depuis le début du 21ième siècle, le Mexique est devenu plus démocratique. Les sociétés Latino-Américaines s’expriment plus uniquement en tant qu’individu depuis les années 80, vu que les sociétés ne sont plus homogénéisantes. (Estrada 2011) Il est clair qu’avec l’avancement des temps, les humains s’acceptent comme qu’ils sont et ils sont plus acceptés par les autres membres de la société, mais le racisme, discrimination, préjugés et stéréotypes envers les orientations sexuelles, races, nationalités, sexes sont encore très présents. Massiah avait conclut que plusieurs mouvements et revendications tombent à l’eau par le manque d’organisation et stratégie. Plus que des gens participent à des mouvements et revendications, plus que leur voix va se faire entendre et plus que les chances d’avoir un sérieux impact sur les demandes de la société sont élevées. La variété des groupes sociaux aussi peut jouer un grand rôle dans les mouvements sociaux. (Massiah 2015) L’altermondialisme est la solution aux classes sociales et inégalités. C’est de penser autrement, de voir le future d’une façon positive pour les générations futures, ainsi que de construire un meilleur avenir. L’hypothèse sur l’altermondialisme suivante vient appuyer ce point : «Le mouvement altermondialiste est porteur d’une nouvelle culture politique» (Massiah 2015) Il faut que la communauté agisse de façons stratégiques pour attirer l’attention du public, du gouvernement et de passer le message clairement. Sinon, il faut proposer des alternatives pour soutenir les problèmes de manière organisée et structurée, ce qui est une autre hypothèse de l’altermondialisme : «Le mouvement altermondialiste est porteur d’une ortientation stratégique, celle de l’accès aux droits et de l’égalité des droits; il est porteur d’une nouvelle génération des droits.» Les défis de l’altermondialisme sont de découvrir et construire de nouvelles relations entre l’Humain et la Nature ainsi que le remodelage de la démocratie et de la décolonisation. Ce sont des gros pas vers le futur qui demanderont beaucoup de travail de la planète entière, mais plusieurs sociologues disent que c’est possible. (Massiah 2015) Le pouvoir économique et le pouvoir politique dépend fortement de la société et leur idéologie. Par contre, il reste beaucoup de chemin à faire…