Emploi du subjonctif et de l’indicatif

Le choix du sujet a été simple à trouver et précis pour diverses raisons. Tout d’abord, le domaine routier me fascine depuis mon enfance et le souhait de travailler sur des projets dans ce domaine me passionne au fur et à mesure de l’avancement dans ma vie professionnelle. D’autant plus que de voir son projet se réaliser est un accomplissement et une fierté personnel.

Comme cité ci-dessus, depuis mon plus jeune âge ce travail m’intrigue car je me suis rendu sur des chantiers accompagné de mon papa, qui a également, une formation de dessinateur en génie civil. Il a ensuite pris la direction de l’entreprenariat qui m’a amené à effectuer plusieurs visites en sa compagnie tel que la RC177, Aclens – Vufflens-la-Ville – Penthaz, un projet conséquent ainsi que des contrôles de chantiers autoroutiers, de jour ou de nuit.

L’une des réalisations de mon papa, sur l’axe autoroutier entre Rolle et Nyon m’a particulièrement marqué. L’organisation de l’entreprise sur place, les normes sécuritaires et environnementales à respecter ont contribué au choix de mon sujet dont je me permettrais d’approfondir dans mon travail de fin d’apprentissage.

Cette passion qu’il m’a transmise m’a permis de me tourner avec évidence vers ce métier.

Par la suite, je souhaite en apprendre davantage sur ce sujet que je ne maitrise pas dans les détails. Lorsqu’on construit une route, je m’emploie à dessiner le projet via notre logiciel Autocad. Une partie du projet porte sur la calculation et sur des décisions que seul ma hiérarchie peut entreprendre notamment quand il s’agit de définir les objectifs et les coûts avec le maître de l’ouvrage.

Ma motivation est également liée à la technologie, soit le choix des matériaux, la composition de l’enrobé, la taille des granulats, l’ajout d’additifs.

Mon objectif est de montrer que construire une route implique également d’autres réflexions déterminantes.

Dans le cadre de mon TPA, Je vais aborder le développement d’un projet routier mais d’avantage m’axer sur le processus définit pars les phases SIA. Le développement conceptuel selon les lois et les ordonnances sur la circulation routière ainsi les normes VSS qui s’y rapporte sont souvent développer sur une temporalité d’un demi voire une décennie.
je suis parti pour expliquer un projet routier simple qui rentre dans les limites de propriétés du domaine publique d’une commune afin d’éviter le développement d’autre thématique tel qu’une expropriation, surface d’assolement etc.

2 Développement

Dans le cadre du projet d’une nouvelle construction où la revalorisation d’un axe routier il

y a lieu de tenir compte de différents éléments qui fixe le cadre général tel que :

LES FACTEURS INFLUENTS
L’installation d’un habitat résidentiel, un trafic routier, des lignes de bus régionales et les seuils de tolérance au bruit de plus en plus contraignantes (OPB), demande une attention à la gestion des nuisances sonores. Les solutions techniques ont souvent un impact non négligeable sur la qualité des abords.
La solution de la mise en place d’enrobé phono-absorbant ou encore de murs en pierres reprenant les traits patrimoniaux tout en limitant le bruit sont des hypothèses qui sont à investiguer dès le départ.
L’enjeu principal est de traiter les transversalités Nord-Sud en assurant une continuité piétonne et cyclable.

L’AMÉNAGEMENT ROUTIER
L’objectif des différents documents de planifications communales est, en premier lieu, de maîtriser le transit TIM ainsi que de promouvoir les mobilités douces sur la route du Stand. Les intentions émises font remarquer la nécessité de réduire la largeur de la chaussée et d’introduire des seuils modérateurs aux croisements.
Le mandat consiste en un travail pluridisciplinaire à mener absolument d’emblée, soit dès l’affinement et mise au point du cahier des charges, en concertation étroite avec le MO et ses représentants.

En premier lieu, il s’agit d’établir l’avant-projet qui regroupe sur un seul plan l’ensemble des éléments constitutifs : la route et ses voies TIM – Vélos – Trottoirs – Stationnement éventuel ; les carrefours dans leur aménagement correct des points de vue fonctionnel et capacité routière ; les traversée pour la mobilité douce ; la végétation, l’éclairage et autres mobilier urbain. La faisabilité spatiale et de fonctionnement devra à l’évidence être garantie à ce stade de l’étude déjà.
Ensuite, l’établissement du projet définitif deviendra de plus en plus un travail d’ingénieur (situation au 1 : 200, profils en long et en coupe, géométrie de détail, altimétrie, récolte des eaux, etc…), mais toujours avec la collaboration des partenaires œuvrant en multidisciplinarité.
Puis viendront les phases suivantes du projet : dossiers pour soumission puis d’exécution, suivi des travaux, etc… encore et toujours avec le concours des partenaires Architecture-Paysagisme (suivi architectural…), Mobilités (signalisation routière…), Environnement (bruit, gestion des déchets…), Eclairagiste, etc.

LA TECHNIQUE
Il est important dès les premières phases de planification d’anticiper les contraintes techniques et les contraintes foncières. Dès les différentes variantes de profils routiers choisies, notre équipe se chargera de déterminer l’incidence de la nouvelle route et de ses fondations.
Dans le cadre des prestations attribuées pour les phases de projet 31 à 53 de la norme SIA 103, nous mettons l’accent sur la méthodologie à suivre dans les points décrits ci-dessous, afin d’établir des mesures préventives aux risques liés au mandat.
Pour l’analyse et l’appréhension technique du mandat, nous avons étudié les documents mis à disposition dans le dossier d’appel d’offre.
Le chemin critique se trouve dans les travaux de structure, aux travaux d’adaptation de la route à la mobilité douce, ainsi que tous les travaux de génie civil. Il est nécessaire faire spécialement attention aux adaptations demandées dans le cahier des charges concernant les potentiels ouvrages et aux travaux des intervenants des réseaux souterrains.

Méthodologie générale de travail
• Séance de clarification/démarrage entre le MO et HOLINGER, afin de consolider et démarrer les prestations.
1. Méthodologie dans les phases d’étude (32 et 41)
a) Gestion de la circulation dans les études préliminaires (avant-projet) :
• Reprise des charges de trafic : contrôle et validation de la capacité des carrefours.
• Géométrie routière : contrôle et validation de la modélisation du terrain par le géomètre et des nouveaux axes routiers, des profils en travers, des raccordements sur l\’existant et des emprises du projet.
b) Sécurité et confort des usagers de la route le nouveau statut :
• Contrôle des éléments géométriques et du fonctionnement :
 Largeurs des voies de circulation.
 Intégration des arrêts de bus.
 Interaction et intégration des modes doux.
 Sécurité et confort des modes doux: trottoirs mixtes, pistes cyclables bidirectionnelles, bandes cyclables, voies de présélection, etc.
 Géométrie des îlots de protection, position exacte, etc.
• Aménagements spécifiques pour la mobilité douce (piétons et cyclistes).
• Aménagements spécifiques pour les transports publics :
 Situation et dimensionnes des arrêts de bus.
• Exploitation des carrefours :
 Projet de signalisation et marquage.
 Projet d’éclairage public selon le volume nocturne de trafic motorisé, éclairage aux traversées piétonnes et deux-roues,
c) Réseaux souterrains :
• Séance de coordination avec tous les gestionnaires des réseaux souterrains.
• Intégration des intentions dans le projet.
• Planification de l’éclairage public
e) Phasage des travaux et planning intentionnel :
• Étude du phasage des travaux : détecter les points critiques des axes principaux du projet :
 Possibilité de travailler en parallèle avec plusieurs équipes.
 Possibilité de structuré les travaux afin de permettre la circulation et les itinéraires des modes doux pendant toute la durée du chantier:
 Eléments carrefours.
 Axes routiers : travaux par demi-chaussée.
 Regroupement des réseaux souterrains.
• Réflexion et proposition d’un phasage des travaux ainsi que d’un planning intentionnel dans le meilleur rapport qualité, délai et coûts.

2. Méthodologie dans les phases d\’exécution (phases 51 à 53)
a) Phasage des travaux et planning intentionnel
• Contrôle des variantes de phasage des travaux proposées par l’entreprise afin de limiter au maximum :
 L’impact sur les usagers.
 Limiter tant que possible les nuisances dues au chantier.
 Ainsi que s’assurer du respect des règles et directives en matière de protection de l’environnement.
– b) Tâches liés au projet d’exécution concernant les travaux routiers
– Détection et traitement des points critiques (cf. analyse des risques).
– Analyse des variantes d’exécution et des processus de construction.
– Etablissement et validation d’un planning d’exécution définitif.
– Etablissement de tous les plans d’exécution.

LES OUTILS

Pour ne pas exclure des variantes de projet qui serait profitable pour le paysage et l’aménagement, l’architecte-paysagiste doit fournir un diagnostic approfondi en s’appuyant sur une analyse territoriale (histoire, planifications, topographie, atmosphères, usages, perceptions, etc.) ainsi qu’un plan de synthèse permettant d’identifier rapidement l’ensemble des contraintes et de définir très rapidement les limites de certaines variantes de projet.

Conception

Dans le cadre d’un projet, l’enchevêtrement des problèmes techniques, économiques, écologiques et sociaux revêt une importance croissante.

La définition du projet, produit par le mandant (maître de l’ouvrage) décrit les principaux objectifs et conditions-cadres.

L’utilisation et le fonctionnement des ouvrages constitue des paramètres déterminant pour leur conception.

A cet effet l’étude et la conduite d’un projet, par exemple routière, suit une structure logique ou les prestations attendues, par le maître d’ouvrage, de son mandataire sont décrites dans les règlements SIA « Société suisse des ingénieurs et des architectes » et par l’application des directives des lois (LCR) et normes.

Ci-dessous je vais vous développer les phases d’un projet selon le règlement SIA.

2.1.1 (phase 1) Définition objectifs :
Dans la définition des objectifs, on entend la formulation de la problématique et des besoins.

Une fois les besoins définis, on aborde les conditions-cadres et une approche méthodologique.
Dans le cadre de la définition des objectifs cela inclut une approche ou un développement de plusieurs thématiques :

• L’organisation :
– L’organisation c’est la clarification des objectifs principaux et des conditions-cadres.
• La description et la représentation
– Définition des approches méthodologiques avec l’évaluation de ces diverses solutions.
• Le coût et son financement
– Estimations des coûts des différentes approches et comparer celle-ci
• Les délais
– Définition de la durée nécessaire pour les différentes approches et l’établissement d’un échéancier (planning).

2.1.2 (Phase 2) étude préliminaire :

Dans le cadre de cette phase nous reprenons les mêmes domaines de prestations que dans la phase 1, mais qui peuvent être développer pars un nouveau mandataire.
• L’organisation :
– Il faut valider les objectifs définis dans la phase précédente puis décider pour l’organisation du projet l’équipe de mandataires.
De plus il y l’établissement du cahier des charges du projet.
• La description et la représentation
– Les conditions-cadres définies, le mandataire doit en évaluer et analyser le choix de propositions de solutions souvent présentée sous forme de croquis afin d’en vérifier la faisabilité au niveau constructifs (impact sur l’environnement, géologie, etc..).

Figure 17 : Vue en plan de l’arrêt et de la signalétique

• Le coût et son financement
– Confirmer l’estimation des coûts afin de déterminer si ceux-ci rentrent dans le cadre de la planification financière définit dans la phase 1.
• Les délais
– Approuver les délais probables pour les études et la réalisation du projet.

2.1.3 (Phase 3) étude du projet :
L’objectifs de l’étude de projet est de valider une solution optimisée tant du point de vue de la conception que de l’aspect financier.

2.1.3.1 (Phase 31) Avant-projet :
• L’organisation :
– Dans le cadre de l’organisation il faut en premier lieu mettre à jour le cahier des charges ainsi que l’organisation du projet comprenant le concept du management et de l’information.
• La description et la représentation
– Dans le cadre de la description il y a lieu de définir l’aménagement urbain, de paysagisme, de sécurité, d’écologie, etc.
A cet effet, des plans représentatifs des variantes possible avec un rapport d’étude d’avant-projet qui transcris les justificatifs des choix sur les domaines tel que les emprises, l’impact sur l’environnement etc.
• Le coût et son financement
– Une estimation des coûts est établie par le mandataire avec une précision de plus au moins 20 %
• Les délais
– Il y a lieu d’affiner les objectifs quant aux délais attendus.

La clôture de cette phase quant à décider sur la variante du projet à retenir.

2.1.3.2 (Phase 32) Projet d’ouvrage :
L’objectif du projet de l’ouvrage est de valider la phase précédente avec une consultation préalable des autorités compétentes. En sus, il y a lieu d’optimiser les coûts et les délais définis.
On doit aussi établir une liste des contraintes comme par exemple le trafic, les magasins etc.
Préparation du dossier PO (dimensionnement collecteurs, justification du système d’assainissement),

• L’organisation :
– Il y lieu de mettre à jour le cahier des charges du projet.
• La description et la représentation
– Il y a lieu de compléter le projet avec la disposition et les documents existant tel que plan cadastrale, étude de trafic, etc.
Dans cette phase d’étude il y a lieu de produire tous les plans et rapport nécessaire à la variante retenue.
• Le coût et son financement
– Il y a lieu d’affiner l’estimations des coûts avec une précisions de plus ou moins 10 %
• Les délais
– Réalisation d’un planning axer sur les phases à suivre, notamment le programme de réalisation des travaux.

2.1.3.3 (Phase 33) dossier de mise à l’enquête / Demande d’autorisation :
Les objectifs de cette phase sont d’obtenir les autorisations de construire qui seront issues de la mise en consultation préalable du projet d’ouvrage.
• L’organisation :
– Il y lieu de présenter le projet au travers de relation publique et autres activités de communication.
• La description et la représentation
– L’attente pour le mandant est que le projet soit apte à être autoriser

2.1.4 (Phase 4) Appel d’offre :
L’objectif de cette phase est souvent pour des mandants de conforter l’estimation des coûts établis par son mandataire, pars la rentrée des offres basées sur une série de prix comprenant des articles soumis au CAN(le catalogue des articles normalisé), cette série de prix doit pouvoir permettre au prestataire indigène ou d’autres pays de la communauté européenne de pouvoir répondre à ces appels d’offre qui eux-mêmes sont soumis aux accords internationaux qui définissent les seuils des choix de procédure selon la lois des marchés publiques.
Etablissement du formulaire « 71 – Evacuations Déchets »
Faire avant-métré
• L’organisation :
– Etablissement d’une liste des marchés à passer, de définir des procédures d’appel d’offre et d’un concept de mise en soumission et d’organiser des publications dans des feuilles d’avis officielles et/ou des plateformes informatique dédiée.
• La description et la représentation
– Il y a lieu de définir les exigences liées au document d’appel d’offre tel que les conditions générales, les conditions particulières ainsi que de présenter les critères d’adjudication avec les pondérations s’y rapportant.
Dès le retour des offres, il y a lieu d’établir un procès-verbal des montants déposer par des potentiels prestataires, d’établir les notations basées sur les critères d’adjudications et enfin d’établir un rapport avec l’évaluation des offres et une proposition d’adjudication pour le mandant.
• Le coût et son financement
– Le montant définis pars le retour de l’offre du prestataire pressenti permet au mandant de soumettre une demande de crédit au conseil communale
• Les délais
– Cette phase de délais est souvent variable selon le type de procédure choisis qui elle-même est définie selon les seuils des accords internationaux des marchés publiques et entre autres au niveau national, selon les cantons.

Réalisation

2.1.5 (Phase 5) Réalisation :

2.1.5.1 (Phase 51) Projet d’exécution :
L’objectif c’est que le projet doit être prêt pour la réalisation des travaux. Préalablement, cette phase est réalisée après avoir obtenu au préalable les autorisations de construire, ainsi que l’approbation de la demande de crédit.
• L’organisation :
– Dans le cadre de l’organisation il y a lieu d’actualiser l’analyse des risques lié au projet
• La description et la représentation
– Il y a lieu d’actualiser les bases du projet ainsi que de définir tous les détails constructifs notamment, sur le choix définitif des matériaux. A cet effet il y a lieu d’établir des plans généraux et de détails. Ainsi qu’un rapport de projet d’exécution avec ou sans une convention d’utilisation.
Etablissement des plans de réseaux (Eaux usées, Eaux clairs, téléréseau etc.)

2.1.5.2 (Phase 52) Exécution de l’ouvrage :
Les objectifs de cette phase sont de réaliser conformément au cahier des charges un ouvrage qui répond au terme attendu tel que les coûts, les délais, la qualité et la sécurité.
• L’organisation :
– Il y a lieu d’établir les plans d’assurance qualité du suivi des travaux avec des réunions de chantier qui seront transcrites au travers des procès-verbaux contenant diverses thématiques, notamment les problèmes rencontrer, le suivis du planning et la qualité.
• La description et la représentation
– A
• Le coût et son financement
– A
• Les délais
– A

2.1.5.3 (Phase 53) Mise en service/ Achèvement :
L’objectif de la phase « mise ne service/ achèvement, consiste de réceptionner l’ouvrage de défaut éliminer et d’établir des plans et dossier d’exécutions mis à jour.
• L’organisation :
– Remise de l’ouvrage au propriétaire
• La description et la représentation
– A
• Le coût et son financement
– Etablissement d’un décompte final pour l’ensemble de l’ouvrage
– D’une mise en regard de celui-ci sur les devis préalablement établis dans les autres phases et de fournir au mandant les garanties et/ou les cautionnement solidaire régis sous le règlement de La SIA numéro 118
• Les délais
– A

Dans toutes ces phases, moi, je participe que à la réalisation des plans comme par exemple les plans pour l’avant-projet, mais surtout les plans d’exécution parce que ce n’a pas moi en tant qu’apprenti qui va prendre toute les décisions au niveau du chantier. Je peux leur conseiller de faire différemment certaines choses mais c’est vraiment l’ingénieur et le chef de projet qui décide ce qu’il y aura dans le projet.

Environnement
L’environnement est plus que présent de notre vie de tous les jours. Prôné par les écologistes dans le passé, cette facette devient un effet contagieux mondial.

Cette nouvelle ère a fait prendre conscience à la population, aux politiciens, aux jeunes d’aujourd’hui, l’importance de notre environnement dans lequel nous vivons, pour être plus clair, notre oxygène et nos ressources. Ainsi, je pense primordiale de vous parler du côté environnemental, qui cesse d’accroître dans les métiers d’aujourd’hui mais qui n’est pas connu par la population du point de vue extérieur.

L’exemple que je vous présente est un projet que mon bureau, l’Etat de Vaud, a réalisé en collaboration avec la confédération, les communes avoisinantes et le canton du Valais. Il s’agit du tracé de la H144, appelée plus communément la route
trans-chablaisienne situé dans le district de la commune d’Aigle. Mes collègues et
moi-même en avons longuement discuté, d’ailleurs, j’ai pu participer à ce projet en élaborant des plans conforme pour celle-ci.

Ce projet mérite d’être mis en valeur car, en effet, les maîtres d’ouvrage ont montré un intérêt important de faire de ce projet un exemple à suivre sur le plan environnemental. A travers la Plaine du Rhône, il a fallu conjuguer avec les contraintes dans les domaines de l’agriculture, de la géologie, de la nature et de son environnement. Le succès rencontré lors de la réalisation de cet ouvrage a été tel, que l’Etat de Vaud a décidé de renouveler l’expérience avec la RC 177 dont je vous ai parlé dans mon introduction.

Le tracé de la H144 épargne les milieux dit « irremplaçable ». Pour adoucir ces dérangements, des mesures intégrées aux ouvrages d’art du tracé. Des passages à petite et grande faune sont repartis homogènement tout au long de la route. Des parois antibruit ont été édifiées localement pour alléger les oreilles des riverains.

L’exploit de cette route a été de réaliser quatre ouvrages d’art tout en préservant l’environnement et une route en remblais.

– La route en remblais
– Le viaduc sur l’A9
– La galerie couverte de Crebelley
– Le pont sur le grand canal
– Le viaduc sur le Rhône

En premier lieu, la route en remblais. Par définition, une route en remblais permet de surélever celle qui est existante sans excavation. Il est important de le préciser, car les champs dans les alentours et la faune n’ont pas été impacté. Il a fallu également que celle-ci s’intègre au paysage du site.

Grâce à cette méthode, un tilleul de haute tige a pu être préservé en construisant un enrochement. La terre végétale récupérée à permis de remettre en état des parcelles agricoles et de créer des talus de type naturel. Ces talus sont équipés d’un système de drainage menant les eaux de ruissellement vers les cours d’eau.

Deuxièmement, le viaduc sur l’A9. Il a été imaginé afin de pouvoir récolter les eaux de chaussée

Ensuite, le troisième ouvrage est la galerie couverte de Crebelley qui a été récompensée par le jury. C’est d’une prouesse architectural remarquable. Celui-ci se fond dans le paysage comme le montre l’image ci-après. Il permet un passage pour la faune, à l’armature d’une colline et réduit également l’impact visuel en créant un effet d’optique surprenant.

Pour terminer, le pont sur le grand canal et le viaduc sur le Rhône sont, peint d’une couleur qui intègre ces éléments en béton dans le paysage. Lors de la construction du deuxième viaduc, les ingénieurs ont caché dans la structure plusieurs nichoirs pour les chauves-souris.

Ils ont intégré un passage a grande faune pour éviter des effets de coupure sur le corridor biologique qui est d’une importance nationale, ils ont dû maintenir un espace libre de 4 mètres de haut sur une longueur de minimum 100 mètres sous le viaduc du Rhône sur la rive droite et ont dû végétaliser le dessous du viaduc et aussi fait des abaissements du terrain pour que ca soit naturel. Ils ont fait un passage pour les amphibiens sur le tracé du canal de « sous-les-bois » y.c. les mammifères de taille relativement moyenne donc les castors, blaireau.

Ils ont fait des passages pour tous les types d’animaux de la région en prenant les mesures qu’il fallait pour les adapter à leur type donc pour les petite, moyenne et grande faune.

Mesure de sécurité
Sur les chantiers, il y a beaucoup de risques de blessures peu grave mais aussi très grave pouvant même aller jusqu’à la mort. C’est pour cela que les entreprises dont l’état de Vaud prennent de plus en plus de mesures au niveau de la sécurité pour les ouvriers.

Il y a beaucoup de mesures sur l’équipements, ceux-ci ont été fortement améliorer et il y a énormément de restrictions. L’état a donné à chaque personne ayant la nécessité un nouvel équipement qui est orange avec des nuances de bleu pour vraiment que l’ont nous voit quand nous sommes au bord de la route. Nous ne pouvons en aucun cas retrousser les manches de notre t-shirt ou pantalon car il peut y avoir des risques pour nous, par exemple ; quand les ouvriers doivent couper l’herbe il peut y avoir des mythes ou des irritations sur nos jambes c’est pour cela qu’il y a plus de sécurités.

Il nous donne des chaussures de sécurité renforcée pour protéger nos pieds, nos donne des gants de protection et surtout des lunettes de protection car les yeux c’est vraiment un organe précieux.

Quand nous travaillons sur un chantier routier à route ouverte nous mettons énormément de signalisations pour que les conducteurs soient prévenus et voient que nous sommes au bord de la route pour qu’ils ralentissent et fasses attention.

Quand je parle de signalisations, il y a tout ce qui est panneau d’avertissement, véhicule avertisseur mais il y a aussi tous les radars que la police met en place en accord ou sur la demande de l’état de Vaud pour faire ralentir les usagés routier.

L’état de Vaud est en train de tester et de mettre en place plusieurs type de bouchons d’oreilles car avec le bruit qu’il y a sur les chantiers, les ouvriers commence à avoir des défaillances auditives à partir d’un certains temps passé sur le chantier. Chaque personne à des sensibilité différentes pour ce genre de problèmes c’est pour cela que l’état de Vaud fourni des appareil électroniques spéciaux pour chaque cas différent.

L’état met à disposition ou parfois oblige une certaine formation pour l’utilisation des machines de chantier ou même des petits appareils tel qu’une débroussailleuse. Ils proposent ça car il y a eu beaucoup d’accident avec les machines qu’utilise les ouvriers et veulent les minimiser au maximum.

Toutes ces mesures sont prises pour protéger les ouvriers des éventuels accidents qui peuvent arriver à tout moment sur un chantier qui est fermé ou ouvert à la circulation.

Conclusion

3 Bilan Personnel

Pour ce TPA le gros problème que j’ai rencontré était m’a gestion du temps pour avancer dans ce projet qui est une étape importante dans ma 4ème année d’apprentissage, donc j’ai dû faire mon TPA dans un temps un peu plus restreint que les délais donnés par les cours professionnel.
Ce travail m’a appris beaucoup de chose surtout sur le côté environnemental, c’est un sujet que m’intéresse fortement, peut-être parce que je vis dans une génération « d’écolo » mais c’est vraiment une chose que toutes les entreprises de construction devraient faire plus attention et aussi la population qui peuple notre terre. Ces mesures ont des certains coûts mais elles en valent la peine d’être prises pour le bien de notre planète. Le résultat de ce TPA était à peu près l’idée que je m’étais fais sauf vraiment pour le côté environnemental car toutes les autres phases je connaissais déjà, du moins dans les grandes lignes pour certaines phases de construction.

Je suis à peu près content du résultat car je pense que si j’avais mieux géré mon organisation pour ce TPA j’aurais pu plus approfondir certains sujet ou thème de celui-ci ou même en rajouter. Mais pour le travail que j’ai fourni je suis content du résultat tout de même.

Pour toutes mes recherches de documents, je n’ai pas fait tout le canton pour les avoirs, je les ais eu par le biais de mon entreprise donc l’état de Vaud (DGMR) ou même des informations que j’ai retenues aux séances dont j’ai participé. Mon papa m’a aussi beaucoup aidé pour ce qui ai documentation pour toutes les phases ou image pour les exemples fourni ci-dessus.

COMPéTENCES

Comme je l’ai dit au-dessus, je dois vraiment faire un effort sur mon organisation, toute mes années scolaires j’ai vraiment eu de la peine pour tout ce qui est organisation et gestion du temps pour mes cours et aussi pour tout ce qui est de ma vie privé. L’enseignement que je dois tirer sur ce point, est que, je dois mieux gérer mon temps et me faire une organisation autrement je n’arrive pas a me discipliner dans ce que je fais.

J’ai eu un peu de peine pour rédiger tous les textes car je ne suis pas le plus fort en français mais ce TPA m’aide pour la suite de mon avenir car je vois mieux comment formuler des phrases par exemple dans une présentation.