Le personnage de panglos dans candide

L’optimisme à mener à plusieurs contradictions éprouvé par plusieurs philosophe, en particulier l’oeuvre “Candide” publie en 1759 par Voltaire. Il s’agit d’une satire philosophique, qui a soulevé des réflexion par rapport à la notion que le mal existe pour faire triompher le bien, mis en évidence à travers le personnage Pangloss. Il démontre à travers ses actions, la philosophie Leibniz pour démontrer une contradiction émis par Voltaire. Il présente sa conception du monde à travers son roman d’apprentissage pour être capable d’aboutir à une réflexion émouvante durant la lecture. La critique concernant l’optimisme serait mise en évidence en examinant l’oisiveté de l’homme en Eldorado, la théorie religieuses de Pangloss et les illogismes des personnages dans le roman.

En premier lieu, le pays d’Eldorado est une représentation visuelle de la philosophie de Pangloss et de la pensée de Voltaire à quoi ressemble une société idéale Contrairement aux six premiers endroits où Candide a visité, Eldorado, qu’il soit une société idéale ou non est une utopie. C’est une terre de richesse où règne un statut d’égalité dans les droits, convictions et opportunités, donc, aucune souffrance est présenter. Par contre, Eldorado capte également l’attention du lecteur en approfondissant leur connaissance sur les réalités du mal, qui se déroule dans tous les parties du monde ; flagellations, viols, exécution injuste, l’esclavage et la trahison. Chaque aspect est présent grâce au personnage de Pangloss et mets en évidence le mal qui parvient des divisions entre les différentes croyances religieuses et les effets négatifs de l’évolution en Europe. L’Eldorado apporte plusieurs réflexions en ce qui concerne le lecteur en lui laissant stupéfait à la notion que Candide a décidé de quitter ce monde parfait : « Si nous restons ici, nous n’y serons que comme les autres ; au lieu que si nous retournons dans notre monde, seulement avec douze moutons chargés de cailloux d’Eldorado, nous serons plus riches que tous les rois ensembles. ». Candide n’a pas pu comprendre l’importance attribuée à un manque de biens. C’est une société avec une manque de compréhension envers la réalisation que dans un monde parfait, une main d’œuvre y nécessite. Il était impossible pour Candide d’obtenir une satisfaction des richesses et du pouvoir acquis durant son temps dans cette utopie. Pour les habitants d’Eldorado, ce n’était pas de la richesse; leurs minéraux rares tels que l’or et le diamant n’était que des roches, et

un mot comme « pouvoir » n’était pas un mot souvent utilisé. Aucune importance est attribuée aux matériel et la négligence des habitants évoque une prise de conscience pour Candide et ses propres valeurs. Cela démontre l’oisiveté de l’homme en Eldorado, personne ne doit travailler fort pour atteindre leurs réalisations. Alors, comme société, ils ne peuvent pas avancer. Candide prend du temps pour comprendre la valeur du travail, on peut dire que Eldorado contribue à cette réalisation future. Il a décidé de prendre leur ressource pour le retour de son voyage en Europe et les utilisent à son avantage. L’or et le diamant tient une grande valeur et apporte un aspect de pouvoir. Bref, ils possèdent le bien, qui est représentés par les minéraux précieux. La société normalise la pauvreté et le mal. Candide présente des qualités inaccessibles aux habitants durant ce temps, qui pousse une notion de supériorité avec ses biens obtenus. Il pense que c’est bon pour lui, mais plus tard il se sentira mal qu’il n’a pas vraiment gagner sa fortune. Ceci est clairement lié à la théorie de Pangloss de manière que, par la vision de Candide sur le monde qui change rapidement, cela mène à la séparation de Pangloss et sa théorie sur le bien et le mal.

Dans Candide, Voltaire met en scène les antivaleurs de la religion. Le roman commence avec une référence à la religion, qui, en fin de compte va contre ses valeurs. Il y a une allusion de l’exil d’Adam et Ève du Jardin d’Éden pour faire comparaison à l’exil de Candide lorsqu’il a commis un acte défavorable, en embrassant Cunégonde. Pour maintenir une bonne relation avec Dieu, ils ont dû subir des conséquences en admettant leur péché. La religion depuis des siècles, est parmi un des sujets les plus controversé à cause de son manque de faits. Voltaire critique la gratuité de la violence du trafic d’humain et de l’esclavage durant le 18e siècle. Il explique que cette intolérance religieuse est ce qui cause le mal. L’idéologie de Pangloss explique que ce mal d’intolérance religieuse est ultimement pour le bien. Il croit que si nous pouvions voir la répercussion possible d’un monde sans mal, ce ne serait pas plausible. Au cours du roman, Pangloss explique sa vision de Dieu et du monde qui l’entoure. Son importance accordée à Dieu et sa croyance rassemble largement à celle du Philosophe Leibniz. Leibniz soutient que «puisque le monde a été créé par Dieu et que son esprit est l’esprit le plus bienveillant et le meilleur imaginable alors que le monde doit être le meilleur des mondes imaginables » . C’est là où Pangloss tire sa philosophie. Il semble que les croyances de Pangloss fait référence au livre de la genèse où Dieu planta l’arbre de la connaissance. Tout comme Adam et Ève, cette liberté laisse au personnages le choix entre le mal et le bien. En tant qu’être humain, certaines tentations poussent les gens à choisir le mal. Adam et Ève ont condamné les humains au péché inévitable, qui renforce la perspective philosophique de cause à effet, ainsi que le mal et bien de Leibniz. Également, il existe de nombreux contextes historiques qui soutient leurs idéologies, telle que Jésus qui est mort sur la croix pour nos péchés afin que le bien soit triomphant. Ses contextes historique et religieux ne prouvent pas la raison pour le mal, mais plutôt que le mal parvient de la religion et ses conflits. Pangloss croit qu’Il y a toujours une raison valable pour lesquelles les choses se passent. Une prise de conscience qui met en valeur que dans la vie, rien n’arrive sans raison. S’il n’y avait pas de guerres; le monde serait surpeuplé, s’il n’y avait pas d’esclavage; il aurait une chute économique, qui, explique l’origine de tout mal dans le monde ; la religion. Pangloss a gardé des idéologies optimistes pour prouver que Dieu était parfait et a créé un monde parfait avec des raisonnements au-delà de notre contrôle. Par contre Voltaire ajoute ses notions comme preuves des antivaleurs de la religion.

Les illogismes des personnages les rendent à croire que le mal triomphe le bien. Jusqu’à la fin du livre, les personnages pensent de façon illogique. Personne leur explique la valeur du bon, mal et à quoi croire. Surtout Candide, un jeune homme naïf, désespéré, écoutent à Pangloss et sa philosophie sur le monde et ses mauvaises habitudes. L’inquiétude y parvient durant le progressement de la lecture et est critiqué par Voltaire car Pangloss n’a aucun fait pour prouver cette idée. Candide était le protagoniste principal et le plus grand enthousiaste de Pangloss, il prend un long voyage spirituel où il peut acquérir plusieurs expérience de différent pays, cultures et personnes. Le mal est représenté de différentes façons selon les cultures, et qui aident Candide à créer sa propre interprétation après le déroulement de la « mort » supposée de Pangloss à Lisbon. Cependant s’il a pu penser logiquement, il aura pu comprendre le mal du monde et trouver le bonheur à partir de là. Voltaire met en scène leurs illogismes à l’aide du jardin. Grâce à les expériences de Candide durant son voyage, il apprend de ses horreurs, a pu avoir un progressement personnelle et réalisation de soi-même. Conscient de ce qu’il fait, Candide prend s’est propres décisions et devient indépendant. Une grande notion de ce détachement dans le roman est lorsqu’il coupe la parole de Pangloss lorsqu’il parle. « si vous n’aviez pas donner un bon coup d’épée au baron, si vous n’aviez pas perdu tous vos moutons du bon pays d’Eldorado, vous ne mangeriez pas ici des cédrats conflits et des pistaches. —Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin. » Au début du livre, plus optimiste, Candide écoutait à Pangloss, peu importe à quel point ces notions étaient ridicules. Tandis que, maintenant Candide est capable de se déconnecter de Pangloss, qui, n’est plus respecté par aucun des personnages. Sa quête pour le bonheur commence. A la fin du roman, c’est évident que Candide est la version fictive de Voltaire. Ses vues optimistes extrêmes disparaissent. Il peut finalement trouver la paix dans son jardin.

Le roman met en évidence l’absurdité de la théorie Leibnizienne éprouvé par Pangloss. « Le mal, la douleur, l’inquiétude, autant de conditions du bien, autant de raccourcis vers une plus grande perfection ». Le romancier permet de soulever des réflexions par rapport à la notion que le mal existe pour faire triompher le bien, mis en évidence à travers le personnage Pangloss. C’est également l’oisiveté de l’homme à Eldorado, la contradiction des théories religieuses de Pangloss et les illogismes des personnages dans le roman qui aboutit à une réflexion émouvante du bien et du mal.