La révolution Blockchain – Transformation digitale

Contenu

INTRODUCTION 2

OUVERTURE ET CONTEXTE 2

MÉTHODOLOGIE 7

Hypothèse 1 : Dans quelle mesure la traçabilité émanant de blockchain et l’IoT améliore la confiance entre les partenaires 11

La dépréciation des anciens outils de traçabilité 13

IoT et agro-alimentaire 14

Sécurité et rappels de marchandise 14

L’apport de L’IoT 15

La blockchain dans les supply chains 16

La blockchain et L’IoT 17

Exemples de projets en cours 18

Hypothèse 2: Dans quelle mesure l’intégration des partenaires de la blockchain peuvent permettre l’harmonisation des processus 18

2.0 Présentation 19

2.1 Les ERPs 20

2.2.1 EDI 21

2.2 Harmonisation des processus 21

2.3. GS1, Un réel acteur au service de l’harmonisation 22

2.4 Comment la blockchain facilite l’harmonisation des processus en intégrant les partenaires 24

2.5 l’IoT au service de l’harmonisation des processus 24

2.6 Comment ensemble L’IoT et la blockchain facilite l’harmonisation des processus: L’exemple d’IBM watson+blockchain 26

2.7 Confrontations de l’hypothèse avec les professionnels 26

Hypothèse 3: En quoi la traçabilité émanant de la blockchain et l’iot peuvent permettre de rendre la supply chain plus intelligente 26

INTRODUCTION

OUVERTURE ET CONTEXTE

“La traçabilité est la possibilité de suivre un produit aux différents stades de sa production, de sa transformation puis de sa commercialisation.

La traçabilité, dans l’industrie agroalimentaire vise à atteindre des objectifs de sécurité sanitaire et à qualifier des produits sur le marché pour avoir une meilleure maîtrise des dangers et à diminuer les risques. La traçabilité est essentielle afin de remonter à la source d’une intoxication alimentaire, une fraude ou une obsolescence hâtive par exemple.

Cette traçabilité est surtout utilisée pour déterminer les responsabilités au niveau de la supply chain et la distribution et identifier les acteurs responsables d’éventuelles source de non-conformité.

Cette traçabilité amène donc davantage d’importance aux échanges de données entre les partenaires commerciaux. Elle est présentée comme une solution miracles face aux crises de sécurité alimentaire.

L’inquiétude auprès des consommateurs après les grandes crises de la sécurité alimentaire comme celle de la ; « vache folle » en 1996, la fièvre aphteuse en 2001, la grippe aviaire en 2004, et en 2017 le scandale Lactalis, ont obligé les industriels agroalimentaires à rassurés les consommateurs. Pour cela les entreprises doivent acquérir de nouveaux

outils plus performants pour la traçabilité. “

Les systèmes de traçabilité reposent fondamentalement sur deux entités:

  • l’Identification physique des lots avec des codes à barres ou puces électroniques qui permet de distinguer les lots dans un atelier ou stock par exemple
  • Ainsi qu’un système d’information, informatique ou papier qui conserve l’historique des enregistrements concernant les lots de produits. Il stocke les informations et les transferts sous forme de messages traçables.

En ce qui concerne la traçabilité il existe plusieurs outils.

Les outils les plus répandu aujourd’hui sont:

– Les étiquettes papiers

– les boucles d’oreilles d’animaux (comme pour les vache par exemple)

– Le marquage de produit (tampon d’identification )

– L’impression sur les cartons ou les palettes

– les étiquettes avec les codes a barre

– Les puces RFID (l’identification par radio fréquence)

Ces outils permettent d’identifier les lots de manière unique grâce à des numéros de lots représentés par des codes qui contiennent des informations tel que : le nom de l’article, des dates de différentes étapes d’enregistrement (production, achat, vente), le conditionnement, les dates limites de consommation, l’adresse du fournisseur, le pays d’origine et le numéro de lot.

Mais les numéros de lots doivent être lisibles de manière harmonisée pour que toutes les parties puissent les comprendre. C’est pourquoi des entreprises comme GS1 créer un langage harmonisé de code à barre pour l’identification de produits, afin que tous les utilisateurs puisse comprendre et traiter les données rendue disponible.

Nous en savons très peu sur la plupart des produits que nous utilisons tous les jours. Même avant d’atteindre le consommateur final, les marchandises transitent par un réseau souvent vaste de détaillants, distributeurs, transporteurs, entrepôts et fournisseurs. Tous participent à la conception, la production, la livraison et la vente des produits.

Tant de choses, d’acteurs et pourtant, dans la quasi-totalité des cas, ces mouvements restent souvent une dimension invisible à nos yeux, consommateurs.

A cela s’ajoute la méconnaissance des impacts que ces activités peuvent avoir sur les ressources naturelles, aggravant les problèmes environnementaux, sociaux et mettant en danger les humains et les écosystèmes. Une supply chain d’autant plus tracée et transparente améliorera considérablement ce point. Les consommateurs sont de plus en plus soucieux de ce point, désirent en connaître davantage sur la provenance des produits qu’ils achètent. En s’en inquiétant ils demandent aux entreprises d’évoluer et démontrer les actions qu’ils peuvent mener pour réduire ses problèmes environnementaux.

Par exemple, un grand nombre d’actions gouvernementales ont pu être menées dans certains pays afin d’inciter les entreprises à réduire leurs activités polluante ou innover, développer des actions afin de contrer ses problèmes.

Il c’est avéré que ce genre d’actions ne sont que passagères et les bénéfices ne se présentent que sur du court terme. C’est pourquoi, apporter et demander un changement en provenance direct de la demande (consommateur) impacterait considérablement les industries car le besoin serait massif et pourrait probablement impacter la rentabilité.

Les supply chains classiques ne sont pas totalement transparente et limite parfois parties prenantes pouvant prévenir les problèmes environnementaux, sociaux, de santé et de sécurité. Souvent les Clients finaux (b2b ou b2c) ne savent pas ce qui se cache derrière les produits et/ou se font avoir par manque de connaissance.

Pouvons-nous vraiment faire confiance à une seule organisation pour la gestion de toutes les données relatives à la chaîne d’approvisionnement?

C’est pourquoi nous avons pensé à des éléments tel que la blockchain afin de faire évoluer le fonctionnement actuel.

C’est un moyen pour un internaute de transférer une propriété numérique unique à un autre internaute tout en étant sûr et sécurisé. Tout le monde sait que le transfert a eu lieu, et personne ne peut contester la légitimité du transfert.

La supply chain évolue vers des systèmes plus collaboratifs, de type réseau, avec des implications pour toutes les parties.

C’est une énorme opportunité pour tirer parti des nouvelles technologies et ainsi améliorer la chaîne d’approvisionnement traditionnelle ainsi que les pratiques de gestion. Nous examinerons comment l’IoT, et la blockchain qui sont intégrées à des systèmes de gestion de réseau d’entreprise peuvent donner forme à la notion d’une entreprise plus intelligente, plus autonome créant une traçabilité parfaite, via la transparence, favorisant la confiance entre les différentes parties de la supply chain. Nous vous présenterons plusieurs cas réalisés par Vingénieurie, une société spécialisé dans l’IOT et que nous avons pu rencontrer lors du Salon International du Transport et de la Logistique (SITL).

Si nous avons une supply chain entièrement connectée au départ, nous allons pouvoir exploiter les bénéfices d’une intégration IoT, blockchain et éventuellement IA pour la traçabilité ainsi que la sécurisation de la blockchain en terme de cryptographie pour surmonter certains challenges auxquels les entreprises font face lors des transactions à travers une supply chain longue et disparate. Toutes les parties doivent être impliquée au sein d’un système collaboratif dans lequel tous les internautes communiquent entre eux, échanges leurs outils et valeurs tel une entité commune. Un législatif et contractuel s’ajoute bien évidemment à ce fonctionnement car les niveaux d’accréditation périmètres d’action varient par rapport à chaque intermédiaire de la chaîne.

Dans l’ère pré-digitale, ces systèmes d’information et de communication étaient cher, complexe et chronophage à produire et maintenir. Ils avaient donc tendance à être relativement statique et linéaire.

En revanche le phénomène moderne de l’inter connectivité mondiale à amener davantage de flexibilité et une plus grande échelle d’opérations, donnant naissance à des écosystèmes plus complexe.

Aujourd’hui les transactions dans la supply chain peuvent être coordonnées à travers de multiples parties et réparties au travers de multiple pays et différentes juridictions. Certaines de ces parties peuvent être des entreprises mais aussi des individus, certains peuvent avoir des systèmes automatisés et d’autres des dispositifs connectés ou autres composants dans l’infrastructure de leur entreprise.

Ils représentent collectivement des clients, fournisseurs, partenaires, régulateurs et autres parties prenantes qui ont chacun des responsabilités dans le marché dans lequel ils opèrent.

Les réseaux d’entreprises sont donc en train d’évoluer vers des écosystèmes digitaux qui se concentrent davantage sur la cocréation ainsi que la collaboration.

Les relations et transactions entre les personnes, systèmes, objets, etc, doivent être gérées de manière efficace et efficiente, ce qui pourrait être très difficile et onéreux à orchestrer, si nous avons uniquement les outils « traditionnels » à notre disposition. Nous avons besoin d’un moyen de redéfinir les supply chains ou les réseaux de supply chain en des écosystèmes plus collaboratifs et pour cela nous avons besoin d’introduire de nouvelles technologies et pratiques qui pourraient faciliter le travail, le rendant plus rapide, plus efficient et à plus grande échelle.

Prenons en compte le voyage que les composants font au travers la supply chain de bout en bout. La donnée tirée de la blockchain pourra nous dire d’où le produit vient, d’où ces composants viennent, par où ils sont passé et qui a effectuer des manutentions, comment ils ont été traités durant le voyage ect… Toutes ces actions et acteurs peuvent être analysés sous forme de données imputées dans une plateforme IoT au sein d’un écosystème blockchain.

Le registre immuable de la blockchain peut fournir la provenance de chaque composant d’un produit ainsi que toutes les informations captées par les récepteurs IoT.

Cette quantité d’information disponible améliore grandement la prise de décisions en ce qui concerne les produits frais et le respect des normes sanitaire grâce à la disponibilité rapide de la donnée dans la blockchain.

C’est donc au travers de nos expérience, nos lectures ainsi que nos interviews professionnels ainsi que nos sondages que nous allons tenter de découvrir en quoi la traçabilité inhérente à L’IoT et la blockchain pourraient être des éléments complément et disruptifs au sein de la supply chain.

MÉTHODOLOGIE

Dans le cadre de ce mémoire de recherche, nous avons décidé d’orienter notre travail vers la Blockchain et l’internet des objets (IOT), de nouvelles technologies apportant et pouvant apporter des changements considérables dans le fonctionnement des industries d’aujourd’hui.

Nous démontrons un intérêt particulier pour les nouvelles technologies et l’innovation grâce, par exemple, à une petite expérience chez Sigfox, leader du réseau Ultra narrow band couvrant le monde entier d’un réseau pour l’internet des objets (IOT). Ceci nous a permis d’en apprendre davantage sur les fonctionnements de L’IOT et avoir une première idée du fonctionnement de celui-ci.

Afin de démontrer ce sujet qui nous intéresse particulièrement, nous avons décidé d’orienter nos recherches sur des axes tel que la transparence et la traçabilité des produits.

Pour cela nous avons commencé à regarder plusieurs solutions tout d’abord grâce à des premières connaissances en supply chain au travers de nos cours mais également grâce à la visite de l’entreprise GS1 qui travaille sur un langage harmonisé et standardisé avec comme par exemple des codes barre afin faciliter les échanges d’informations et les flux de marchandises.

Ensuite nous ai venu l’idée d’associer les nouvelles technologies dont tout le monde parle au travers du bitcoin depuis les 5 dernières années,

Nous nous somme donc lancer dans de premières lectures afin d’en apprendre davantage sur la blockchain et de son application au sein de la supply chain.

Avec les ouvrages suivants : La blockchain: revolution de la confiance de Laurent Leloup/ blockchain et smart contracts: des technologies de la confiance, Annales des mines/ Supply Chain, Traçabilité & Blockchain,Une étude réalisée par Blockchain Partner

Nous avons donc pu découvrir la blockchain et nous avons remarqué que ces ouvrages ne parlaient quasiment pas de son utilisation au niveau du transfert d’information dans le cadre d’une amélioration de la traçabilité (1 page sur 300 dans « la blockchain, revolution de la confiance). La traçabilité étant un enjeu de taille pour les entreprises et leur souhait de satisfaction client mais également un élément clé pour une meilleure optimisation des approvisionnements, un respect des contrats et par conséquent une meilleure gestion de la production continue. Et ce tout en évitant les surplus de stockage. Nous croyons que ces technologies peuvent faciliter les échanges pour améliorer de manière drastique l’efficience au travers de l’écoulement des ressources matérielle et financière.

Nous avons donc tenté d’associer ces trois éléments dans notre problématique pour démontrer que la Traçabilité, la Blockchain et L’IoT peuvent être des éléments disruptifs afin d’améliorer la supply chain.

Afin de démontrer cela, au travers nos lectures et corpus nous en avons retenu 3 hypothèses :

Hypothèse 1: Dans quelle mesure la traçabilité émanant de la Blockchain et l’IoT améliore la confiance entre les partenaires.

La Confiance est un élément clef dans la supply chain, la blockchain, l’IoT ainsi que toutes les technologies déjà existantes dans la traçabilité. Le besoin de transparence est de plus en plus important aujourd’hui entre les partenaires commerciaux. Via l’IoT il est possible de garantir cette transparence car elle se base sur la récupération et la transmission de données en temps réel. Celles-ci sont immédiatement intégrées de façon immuable sur un réseau de consensus partagé qui se nomme la blockchain.

C’est en partie ce fonctionnement, ainsi défini, que nous essayons d’analyser à travers ce mémoire afin de démontrer le potentiel qu’il peut apporter au sein de la supply chain et ainsi garantir une traçabilité des plus transparente et sécurisée.

Dans cette première partie tout comme dans celles à venir, nous présenterons les sujets en débutant par une explication et une définition de chacunes des principales technologies abordées. Au travers de cette première hypothèse, nous définirons ce qu’est la traçabilité, la Blockchain, l’IoT ainsi qu’une présentation d’informations liées à la traçabilité émanant du secteur de l’agro alimentaire.

Nous aborderons ensuite des sujets tel que le rôle de la Blockchain, de l’IoT, en quoi la confiance entre partenaires est utile et essentielle.

Par le biais des interviews nous pourrons appuyer ou non l’hypothèse ainsi que les sujets présentés.

Hypothèse 2: Dans quelle mesure l’intégration des partenaires de la blockchain peuvent permettre l’harmonisation des processus grâce à la traçabilité.

L’intégration des partenaires est aujourd’hui très importante, nous utilisons tous les jours de nombreux outils collaboratifs comme les ERPs et des langages communs comme par exemple celui de GS1 pour améliorer la traçabilité. Mais la blockchain pourrait éventuellement permettre une harmonisation globale des processus et échanges entre les partenaires.

Dans cette partie nous vous présenterons une explication des termes ou technologies suivants: l’harmonisation, les processus dans l’industrie agro alimentaire, les planificateurs de besoins en composants (MRP), les progiciels de gestion intégré (PGI ou encore ERP).

Prenons par exemple l’intégration d’ERP au sein d’une blockchain ou inversement. Cela permet entre autre d’augmenter la fiabilité de la traçabilité au sein d’une chaîne de logistique ou d’approvisionnement et d’améliorer la confiance dans le traitement et l’éventuelle automatisation des transactions et des données.

Nous aborderons ensuite divers axes tel que l’intégration des partenaires au sein de la supply chain, la manière dont la blockchain facilite l’intégration de partenaires et dont l’IoT facilite le partage de données.

Étant des sujets que nous abordons lors des interviews, l’avis d’un expert sera donc intégré dans cette partie afin d’appuyer et ainsi confirmer cette hypothèse.

Hypothèse 3: En quoi la traçabilité émanant de la blockchain et l’IoT peuvent permettre de rendre la supply chain plus intelligente.

L’IoT et les autres technologies de la traçabilité permettent de récupérer une immense quantité d’informations. Leur intégration dans un seul système sous un seul langage pourrait permettre un traitement beaucoup des informations beaucoup plus fluide et sécurisé. C’est pourquoi nous pensons qu’il est fortement possible que les futures supply chain soient bien plus intelligente, elles sauront traiter une immense quantité d’informations. Par le biais d’une blockchain plus intelligente, pourquoi pas régie en partie par une intelligence artificielle. Celle-ci dans deux intérêts, déceler d’éventuelles erreurs et tentatives de maçonnage et ainsi effectuer des actions correctrices ou décision permettant de contrer et renforcer la Blockchain ou encore effectuer des actions correctrices ou décision permettant d’améliorer la supply chain. Dans un but certains d’automatisation.

Nous présenterons cette troisième hypothèse par le biais de plusieurs axes. Afin d’en comprendre son intérêt, nous débuterons de nouveau par une définition des termes essentiels tel que la supply chain intelligente ou bien encore le réseau 5G.

Nous aborderons ensuite le rôle de la blockchain ainsi que l’IoT au travers et pour une supply chain intelligente.

L’arrivée d’un réseau internet international défini 5G, implanté depuis peu en Corée du Sud et déjà en période de test au sein de quelques industries françaises, permettra une transmission rapide et puissante d’informations.

Nous démontrerons aussi par quel moyen la traçabilité, développées par le biais de technologies abordées précédemment, apportera de réels avantages à une supply chain intelligente.

Dans cette dernière hypothèse, les différents interviews viendront de nouveau apporter des éléments complémentaires et vont aiguiller nos recherches de manière expérimentée.

Nous allons donc, au travers de ces trois hypothèses, tenter de répondre à notre problématique qui est la suivante:

En quoi la BlockChain et L’IoT au travers de la traçabilité peuvent-ils être des éléments disruptifs au sein de la Supply Chain ?

Par le biais de nos recherches et échanges avec différents professionnels nous pourrons confirmer ou infirmer certains points, sous-axes émanant des différentes hypothèses.

Ces différentes analyses nous permettront d’apporter une conclusion globale sur la problématique posée.

Hypothèse 1 : Dans quelle mesure la traçabilité émanant de blockchain et l’IoT améliore la confiance entre les partenaires

La supply chain est un domaine ou L’internet des objets montre de grand potentiel. Beaucoup d’entreprises observe leurs supply chain et tente de restructurer les flux de personnes, activité, d’information, de ressources qui se déplace d’un endroit a un autre dans des systèmes complexe. La supply chain a globalement une mission ; de déplacer un produit ou un service d’un fournisseur vers un client. Ce processus résulte d’un réseau de relations commerciales qui cherche à améliorer leurs productivités et efficacité tout en éliminant le travail inutile.

Pour rester concurrentiel sur leurs marchés les entreprises ont besoin de gérer leurs supply chain pour coordonner les processus pour apporter de la valeur, réduire les coûts et atteindre des objectifs stratégiques. Pour faire cela les entreprises ont besoin de mesurer et gérer leurs performances en contrôlant les activités de l’entreprise pour améliorer la satisfaction client et les gains financiers.

Une supply chain est composé de plusieurs unités et la performance d’une unité n’assure pas la performance de toute la supply chain. Au contraire, la coordination et l’harmonisation est la clef pour avoir une supply chain plus performante. L’internet des objets se développe de manière importante et capture des données en temps réel au travers des identifications automatisées et cela pourrait être très utile dans le management de la supply chain car la rapidité de la circulation des informations devient de plus en plus importante afin d’améliorer l’efficacité.

L’internet des objets va changer la manière dont les entreprises gèrent la supply chain de la production jusqu’aux entrepôts. Le principal atout de L’IoT est que cette technologie est capable de fournir des informations plus précise ainsi qu’une meilleure visibilité des matériaux et produits dans la supply chain. Le partage d’information et la collaboration dans la supply chain peut également être amélioré grâce aux objets connectés, mais aussi améliorer l’intégration et l’efficience de la supply chain tout en augmentant la rapidité et la réactivité des opérations.

Son utilisation la plus commune est l’EPC ( Electronic product code), qui est un code représentant une unité, des objets ou des lieux. L’EPC est utilisé pour assurer l’inter-opérabilité de la RFID (radio frequency identification) dans les applications liées à la supply chain. Les capteurs RFID identifient les objets grâce à des puces (tags) RFID qui sont installées à différents endroits dans la supply chain et retrouve les informations stockées dans ces « tags ». Cette technologie peut donc déterminer où sont les produits et pourquoi ils sont à l’endroit où il se trouve.

L’IoT peut être très utile dans dans les supply chain pour de la communication bidirectionnelle via des capteurs. Les données récoltées par ces capteurs peuvent fournir des informations sur site aux techniciens pour améliorer leurs prises de décisions, ce qui améliore l’efficacité ainsi que la qualité de service, et, par conséquent, la satisfaction client. Les données de L’IoT permettent à la supply chain de prendre des décisions et contrôler l’environnement externe.

On peut s’intéresser tout particulièrement à son application dans le domaine du transport, ou la traçabilité émanent de ces technologies auront un rôle vital dans les entreprises de demain. La visibilité des transports sera grandement améliorée à l’aide des technologies comme L’IoT, La RFID et les systèmes GPS sur cloud, cela amènera d’énorme quantité d’informations concernant la traçabilité comme la localisation et l’identification d’un produit au travers la supply chain. Cela amènera davantage de précision dans les informations, ainsi qu’une meilleure qualité de produits car ces technologies permettent également de surveiller d’autres informations comme la température par exemple.

La RFID pourrait également être utile dans la supply chain pour avoir une gestion en temps réel des processus comme l’achat de matière première, le transport, le stockage, la production, la distribution et le service après-vente. On pourrait également imaginer obtenir des informations répondant aux changements liés aux marchés. Un effet positif à cela serait la capacité à avoir quasiment zéro stock vu que les temps de réponses seront seulement de quelques jours.

Qu’est ce que la blockchain ( blockchain vs IOT sécurité)

Selon Matthew sky, le Chief technology officer de IBM watson ; la blockchain n’est pas la solution miracle à toutes les questions en matière de sécurité. La blockchain n’absorbe pas toutes la responsabilité qui incombe les entreprises industrielles en matière de sécurité des objets. La blockchain n’empêchera pas les utilisateurs de créer des mot de passe compliqué et d’éviter toutes les attaques relevant de la piraterie.

Mais la blockchain peut assurer qu’un dispositif ne perturbe pas les processus ou créer de faux enregistrements, cela permet donc, même en cas d’infraction de sécurité, de ne pas perturber les processus.

Définition blockchain

Selon Matthew sky, le Chief technology officer de IBM watson ; la blockchain n’est pas la solution miracle à toutes les questions en matière de sécurité. La blockchain n’absorbe pas toutes la responsabilité qui incombe les entreprises industrielles en matière de sécurité des objets. La blockchain n’empêchera pas les utilisateurs de créer des mot de passe compliqué et d’éviter toutes les attaques relevant de la piraterie.

Mais la blockchain peut assurer qu’un dispositif ne perturbe pas les processus ou créer de faux enregistrements, cela permet donc, même en cas d’infraction de sécurité, de ne pas perturber les processus.

La blockchain est une technologie comportant 4 blocks principaux pouvant améliorer l’efficacité et la réduction de coûts au travers le réseaux d’entreprise.

Le consensus : car toutes les parties doivent accepter les transaction du réseau.

L’immuabilité : car rien ne peut être modifier sur le block.

La Provenance : car tous les enregistrements indique leurs emplacements.

La confidentialité : car toutes les autorisations et identités assure une visibilité des transactions.

Des transactions sécurisées, grâce au grand livre et aux smarts contracts.

Pour Matthew sky, la blockchain n’est pas magique mais a le potentiel de transformer la façon dont nos processus fonctionne, en rendant les transactions plus sécurisés. Mais aussi car la blockchain est comme un livre partagé non modifiable enregistrant les transaction, cela offre de la confiance entre les partenaires, grâce au maintien et la certitude des responsabilités et de la transparence au travers les réseaux d’entreprise tout en harmonisant les processus.

Définitions :

Un « Ledger » ou « grand livre » est le système d’enregistrements des transactions pour une entreprise. En général les entreprises dispose de plusieurs « Ledgers » pour de multiple réseaux d’entreprise.

Une transaction est un transfert d’actif simple ou complexe mise sur le « Ledger » ou retirer du « Ledger ».

Un Smart contract ou « contrat intelligent » permet de mettre les processus papiers sous un format standard pour qu’ils soient exécutable sur la blockchain. Les smarts contracts permet à des règles établie dans un contrat d’être intégrée à la blockchain pour en permettre son exécution en même temps que la transaction concernée par le contrat, le contrat représentant les conditions pour que la transaction est lieu.

Aucun contrôle unique sur les enregistrements

La blockchain est un enregistrement unique et distribuée avec toutes les parties qui ont un intérêt à suivre cet enregistrement. Que ce soit un enregistrement financier, une expédition, une maintenance ou un composant, l’information est distribuée aux acteurs qui ont le droit d’accéder ou de regarder l’information, personne n’a de contrôle totale de l’information car le contrôle est distribué, ce qui veut dire que si une avarie arrive sur le serveur d’un acteur ou sur l’enregistrement, il existera toujours.

Le consensus partagé ; la révolution de la confiance

Le consensus partagé représente la façon dont les enregistrements sont créer : de manière ou tout les acteurs participant a la transaction accepte l’enregistrement. C’est ce consensus distribué qui améliore la confiance et la transparence entre les partenaire.

Schema: https://www.slideshare.net/arafkarsh/blockchain-hyperledger-fabric-internals-claventde couts au travers le réseaux d’entreprise.

Le consensus : car toutes les parties doivent accepter les transaction du réseau.

L’immuabilité : car rien ne peut être modifier sur le block.

La Provenance : car tous les enregistrements indique leurs emplacements.

La confidentialité : car toutes les autorisations et identités assure une visibilité des transactions.

Des transactions sécurisées, grâce au grand livre et aux smarts contracts.

Pour Matthew sky, la blockchain n’est pas magique mais a le potentiel de transformer la façon dont nos processus fonctionne, en rendant les transactions plus sécurisés. Mais aussi car la blockchain est comme un livre partagé non modifiable enregistrant les transaction, cela offre de la confiance entre les partenaires, grâce au maintien et la certitude des responsabilités et de la transparence au travers les reseaux d’entreprise tout en harmonisant les processus.

Définitions :

Un « Ledger » ou « grand livre » est le système d’enregistrements des transactions pour une entreprise. En général les entreprises dispose de plusieurs « Ledgers » pour de multiple réseaux d’entreprise.

Une transaction est un transfert d’actif simple ou complexe mise sur le « Ledger » ou retirer du « Ledger ».

Un Smart contract ou « contrat intelligent » permet de mettre les processus papiers sous un format standard pour qu’ils soient exécutable sur la blockchain. Les smarts contracts permet à des règles établie dans un contrat d’être intégrée à la blockchain pour en permettre son exécution en même temps que la transaction concernée par le contrat, le contrat représentant les conditions pour que la transaction est lieu.

Aucun contrôle unique sur les enregistrements

La blockchain est un enregistrement unique et distribuée avec toutes les parties qui ont un intérêt à suivre cet enregistrement. Que ce soit un enregistrement financier, une expédition, une maintenance ou un composant, l’information est distribuée aux acteurs qui ont le droit d’accéder ou de regarder l’information, personne n’a de contrôle totale de l’information car le contrôle est distribué, ce qui veut dire que si une avarie arrive sur le serveur d’un acteur ou sur l’enregistrement, il existera toujours.

Le consensus partagé ; la révolution de la confiance

Le consensus partagé représente la façon dont les enregistrements sont créer : de manière ou tout les acteurs participant a la transaction accepte l’enregistrement. C’est ce consensus distribué qui améliore la confiance et la transparence entre les partenaire.

Schema: https://www.slideshare.net/arafkarsh/blockchain-hyperledger-fabric-internals-clavent

La dépréciation des anciens outils de traçabilité

Comme nous l’avons expliqué précédemment, la RFID est utilisée avec l’EPC pour identifier les produits dans la supply chain. La RFID capte les données en utilisant des radio fréquence, une puce RFID (dans/sur le produits) et un lecteur. La puce peut stocker des informations sous la forme de d’un EPC. Ces technologies utilisées dans l’IoT sont en train de remplacer des technologies plus anciennes comme le code a barre. Le code à barre a été utilisé pour tracer des produits depuis déjà plus de 50 ans mais ont des contraintes, comme la lecture à très courte distance et une traçabilité non-automatisée. La RFID quant à elle ont des codes uniques d’identification pour chaque produit et peut être lu sur de plus longues distance, mais elle est également plus onéreuse que les codes a barre. Le coût de la RFID provient principalement de la puce qui contient les informations. Mais beaucoup d’investissement sont fait pour que ces puces deviennent de moins en moins couteuse. (preradovic et karmakar, 2012)

IoT et agro-alimentaire

Le meilleur exemple de l’utilité de L’IoT dans la supply chain serait dans le domaine dans l’alimentaire et plus particulièrement pour la gestion de la chaîne du froid. La demande pour les produits alimentaire frais n’a cessé I d’augmenter durant les dernières années, mettant ainsi beaucoup de pression sur les acteurs de la supply chain.

Aujourd’hui dans les supply chain traditionnelle sans les technologies de L’IoT ont trois problèmes majeurs. Le premier est que les clients ont une faible tolérance concernant la dégradation de produits alimentaires, le second est que les produits alimentaires ne sont pas supervisés pendant la totalité du transport jusqu’au marchés, ce qui peut engager la santé des consommateurs finaux. Et le troisième problème est que les coûts opérationnels de la supply chain et l’efficacité opérationnels ont besoin d’être améliorer.

Sécurité et rappels de marchandise

En effet il y a énormément d’entreprises concernées par les rappels de produits alimentaire et cela représente des coûts très importants pour les entreprises, les réglementations stricte et les approvisionnements complexe ne facilite pas la tâche quand il s’agit de traçabilité.

On pourrait utiliser pour exemple du scandale de la salmonelle en 2008, qui à causer le retour de la plupart des tomates présentes dans les magasins aux États-Unis pendant 3 mois, alors que le problème provenait de poivrons et non des tomates. La perte estimée pour ces retours dans l’industrie de la tomate était de plus de 200 millions de dollars.

Un Autre exemple serait lié aux cacahuète qui à provoquer un rappel de tous les produits contenant des cacahuètes, comme les gâteaux, biscuits, glaces, barre chocolatée et autres nourriture pour animaux. La perte pour l’industrie de la cacahuète seulement était de plus 1 milliard de dollars.

Les différents coûts liés à l’inaction par rapport à ces scandales sont énormes:

Les coûts liés retrait du marché.

Les coûts associés à la communication pour prévenir les clients et consommateurs.

Les coûts liés au retour et à la destruction des produits, les coûts liés à la législation en vigueur.

Les coûts d’inspection, de conformité et de tests supplémentaire

Les coûts liés à la perte au niveau de l’image de l’entreprise

Les pertes à long terme de la catégorie de produits

Les coûts marketing pour retrouver les parts de marchés

La majoration des coûts de conformité et légaux

La majoration des coûts d’assurances

De nombreux coûts qui pourrait être éviter grâce à une traçabilité plus efficace.

http://www.cidrap.umn.edu/news-perspective/2008/06/tomatoes-suspected-multistate-salmonella-outbreak

L’apport de L’IoT

Les données en temps réelle apporté par L’IoT peuvent améliorer cela, en effet, les technologies de capteurs IoT peuvent être utilisé pour contrôler l’humidité, la température et d’autres paramètres liés à la qualité des produits durant le transport, comme les chocs par exemple, ce qui permettra d’avoir une traçabilité complète du produit durant tout son cheminement dans la supply chain et faciliter l’exécution de nombreux processus et plus particulièrement améliorer les retours.

En effet les retours grâce aux technologies de la traçabilité citée précédemment permettent de retrouver directement les lots, acteurs et produits liés aux infections et autres dégradations pour éviter le retrait de toutes une catégorie de marchandise ou type de marchandise au lieu d’attendre plusieurs semaines pour trouver la source de la contamination et devoir bloquer tout une industrie pour un lot contaminé concernant un seul fournisseur parmi les milliers impacté par ce manque de traçabilité.

Cela permet également d’être conforme aux législations en vigueur et réduire les pénalités liées au retour, de réduire l’erreur humaine grâce aux données automatiquement enregistrée augmenter la productivité grâce à la diminution des coûts de retours, des campagnes, des litiges et pénalités et d’un point de vu opérationnel, automatisé le juste à temps avec des Kanban, ainsi qu’une amélioration globale de la qualité et de la réactivité des retours et anomalies détectable en quelques secondes.

https://www.infinityautomations.com/traceability-system.php

Chaîne du froid et image de l’entreprise

Selon l’arrêté daté du 21 Décembre 2009, les professionnels des secteurs de l’agroalimentaire ont pour obligation de mettre en place un dispositif permettant de relever au moins deux fois par jours les températures des chambres froides ainsi qu’un respect constant des températures lors du transport.

Concernant les chambres froides, les professionnels ont pour obligation de tenir un cahier sanitaire présentant l’historique des températures. Ceci dans l’optique de pouvoir apporter une réponse et ainsi justifier d’une périodicité de relevé de températures dans le cas d’un contrôle sanitaire.

Tél indique la loi, il est nécessaire de respecter des températures de conservation en fonction de catégories de denrées présentées ci-dessous :

Nous souhaitons aborder ce sujet car il est essentiel de parler de la chaîne du froid lorsqu’on aborde le sujet de la traçabilité et l’amélioration de la confiance entre les partenaires.

Tel indiqué ci-dessus, les professionnels se doivent de tenir un « cahier sanitaire » permettant de prouver certaines informations lors d’un contrôle sanitaire. Nous sommes donc toujours dans un fonctionnement ancien, pour lequel les différents intermédiaires et parties prenante (incluant le consommateur final) n’ont aucune vue. La confiance en est donc limitée.

De plus, il est difficile et long de déterminer la responsabilité d’un parti ou d’un autre à la suite d’un scandale sanitaire par exemple. Il faut savoir qu’aujourd’hui, la seule manière de constater le bon respect des normes par diverses société se fait par le biais de contrôles. Il est impossible d’avoir une vue direct sur ce bon respect des lois et normes.

Prenons l’exemple des laitues contaminées aux USA et ce en début d’année 2018. Ces laitues de variété romaine ont été infectées par une bactérie nommée « escherichia coli ». Après plusieurs cas de maladie constatée, les autorités sanitaires américaines ont décidé de rappeler l’intégralité de cette variété en imposant aux supermarchés de détruire/jeter leur stock et en demandant à l’intégralité des producteurs américains, de ce type de laitues, de bloquer et/ou détruire leur production et stocks.

A ce jour, la responsabilité n’a toujours pas été déterminée précisément. Seule la région d’où proviennent ces salades (Californie) a été ciblée et les conséquences de cette infection sont considérables. Ont compte 5 décès liés à cette bactérie ainsi qu’une quarantaine d’hospitalisations pour des cas tel qu’une infection rénale.

Les points problématiques dans ce dossier sont considérables : le délai de constat de l’infection, un blocage intégral de la production et de la vente de cette variété, une impossibilité de déterminer la responsabilité de manière précise et des coûts considérable (nécessité de remplacer les étales ayant servies dans l’ensemble des points de vente, les assurances afin de dédommager malades et producteurs, etc…)

Nous sommes sur un manque évident de transmission d’informations sur la traçabilité de se produit générant une perte totale de confiance des consommateurs et du gouvernement.

Au niveau supply chain, l’IoT et ses capacités de remontée d’informations aurait permis de recenser des données sur chacune des étapes (production, transport, distribution, vente). Par le biais de la blockchain il aurait été possible, premièrement, de récolter et d’analyser des données dans un intérêt de retraçage des informations pour détection d’anomalies.

L’IoT aurait tout d’abord permis d’avoir des informations sur la provenance des divers stocks. Par la suite, un traçage aurait été possible afin de connaître qu’elle production est distribuée à quelle endroit. Car dans ce cas, des constats d’hospitalisation ont été fait au Canada ainsi qu’aux Etats-Unis. L’historique de l’ensemble de ses informations aurait été essentiels afin, éventuellement dans un premier temps, de limiter la dispersion de ses produits infectés et surtout tel indiqué ci-dessus de retracer précisément le producteur ou le lot de produits infectés ceci dans l’intérêt de déterminer la raison et définir la responsabilité.

En conséquence, l’intégration d’une solution IoT croisé avec une technologie Blockchain aurait généré un gain de temps et d’argent considérable.

Les retours

Il arrive parfois, dans la production d’une voiture qu’il y ai une erreur de fabrication qui donne lieu à des retours des composants. Dans ce cas Le fournisseur prévient le producteur, ensemble il décide qui est responsable de l’erreur; Ensuite ils détermine les produits finis que ce défaut de composant va impacter. Puis une forme de communication doit être envoyé aux clients pour qu’ils puissent effectuer des actions pour faire face à cette avarie, celle-ci est effectuer par mail ou lettre papier.

Cela est très inefficace et vulnérable et pourrait causer des troubles important sur une chaîne de production et/ou sur le niveau de service.

Mais en utilisant la blockchain, avec son système de consensus, quand on mettra un enregistrement sur la blockchain, tout le monde devra accepter le processus. Tout le monde sera donc notifier si il y a des problèmes au niveau des composants, l’évènement sera intégré à la blockchain et pourrait faire parti d’un contrat intelligent qui déterminera les responsables pour qu’ils puissent avoir des actions correctrices immédiates contrairement à sa forme standard

Avec la blockchain, les entreprises peuvent intégrer la confiance dans leurs organisation tout en diminuant les coûts, les délais et les risques.

Les avantages de la confiance entre les partenaires grâce à la blockchain.

La blockchain pourrait permettre des réduire des temps de transactions, passant de traitement de plusieurs jours à du traitement immédiat. Toutes les commandes doivent être signée pour qu’elles soient digitalisée, envoyée a quelqu’un et approuvé. Enlever ces étapes au travers une automatisation serait un gain de temps considérable, mais retirer les erreurs fait gagner encore plus de temps.

Tracer ce qui a causer l’erreur, pourquoi l’erreur est arrivée et qui est responsable ainsi que ce qu’il faut faire pour résoudre cette erreur sont des choses qui prennent beaucoup de temps et peut amener des délais supplémentaire dans la supply chain.

Si on retire également toute les parties prenantes à ces erreurs, comme les auditeurs, les avocats et autres intermédiaires, les couts liés aux erreurs/ litiges serait bien moindre. En intégrant ces mécanismes digitalement dans des contrats intelligent, certains de ces couts pourrait être amené à disparaitre du système.

Tout en réduisant le risque de fraude, d’altération et de cyber criminalité.

Avoir un livre partagé offre bien plus de confiance que les système papiers, cela améliore grandement la mesure dans laquelle on peut trouver quelque chose.

Quand tout le monde peut voir la même plateforme, cela est facile de partager ces intentions et y répondre.

INTERVIEW GS1

Mais pas tout est bon à mettre dans une blockchain. La façon dont les entreprises utilise la blockchain doit être déterminée. Au travers la supply chain il faudra comprendre les enregistrements critiques à mettre sur une blockchain. Comme nous l’a dit Madame Ons durant notre interview avec GS1, Pas toute la donnée collectée des objets connectés devrait être mise sur la blockchain. Il faut rationaliser l’importance des transactions avec les différents partenaires pour se pencher d’avantage sur de l’efficience et de l’automatisation.

CAS IBM: garantir la sécurité des aliments dans la supply chain alimentaire

https://www.youtube.com/watch?v=MMOF0G_2H0A

Ne vous vous êtes jamais demander d’où venait les ingrédients d’un tiramisu acheter dans un supermarché venait ? Comment ils ont voyager et dans quelle condition de la fourche à la fourchette ? La réponse à ces questions réside dans la traçabilité. La traçabilité a toujours été quelque chose qui attise l’intérêt des entreprises, en revanche les efforts concernant la traçabilité non jamais été constant.

La supply chain alimentaire est très compliqué et implique beaucoup d’étapes intermédiaire. Une fois que l’agriculteur a produit, les aliments doivent être transformées puis expédiée vers des centres de distribution. Chaque partie prenante à vu sur l’acteur qui lui précède, mais pas sur la totalité de la supply chain.

Figure: Complexity in the food supply chain

Ce processus utilize des methods très disparate, souvent sur papier, ce qui veut dire que ce n’est pas rapide et les erreures humaines sont plus souvent arrivé et il n’y aucune visibilité sur toute la supply chain.

Il y a eu plusieurs exemple, comme l’Ecoli dans les épinard et les cacahuètes expliquer plus haut

Le temps que les entreprises, comme wallmart prennent pour réagir à une contamination d’épinard par exemple est critique. Cela peut prendre des semaines pour trouver la source du problème. Que ce passerait-il si un des nombreux ingrédients d’un tiramisu est contaminé ? Ou lorsqu’il y a des problèmes dans la supply chain qui font que la marchandise présente un risque pour la santé, il sera très difficile de trouver le fournisseur causant le risque.

Figure: Tiramisu – establishing food provenance in processed foods

Que se passerait il si un lot n’est pas conforme et cause des problèmes de santé ? avec de multiple ingrédients, sourcés de différents fournisseurs,regouper par différents entrepots et distribués au travers un reseau de transport. Être capable de trouver exactement la source du probleme, que ce soit la crème, le chocolat ou la cannelle est critique. Cela n’a pas de sens d’arrêter toute la production des nombreux fournisseurs en attendant de connaitre l’origine du problème, cela pourrait être dévastateur pour les plus petit d’entre eux. Vu que les produits alimentaire son regroupé et produit massivement puis expédié, plus vite la source du problème est identifié, plus vite le problème pourra être résolu avec de moindre impact sur le reste des fournisseurs.

Walmart effectue de grandes avancée pour lutter contre les problèmes lié à la traçabilité alimentaire et l’orgine des produits en utilisant la technologie blockchain pour sa supply chain alimentaire.

En utilisant une combinaison de capteur IoT et de blockchain, le géant de la distribution espère regler ces problèmes de manière radicale tout en améliorant la vitesse et la traçabilité en utilisant un reseau de confiance avec la blockchain. En utilisant la blockchain les problèmes peuvent être relié directement aux fournisseurs responsable du lot defectueux sans que tous les autres soient impactés.

La blockchain dans les supply chains

Les processus papiers sont toujours très commun et les informations à propos de la situation des biens est souvent tenue à distance des acteurs. Le transport concerne 90% du transport mondial aujourd’hui. La complexité pour atteindre les acteurs concernés par le statut de la marchandise ralentit fortement les processus liés à la supply chain au travers tous les transporteurs, transitaires, états, ports, compagnies aériennes, douane, et transporteurs maritimes. Le traitement des informations est estimé à avoir un coût deux fois supérieur à la valeur réelle du transport.

Aujourd’hui les acteurs de la supply chain utilise divers systèmes pour enregistrer les mouvements dans la supply chain, cela implique que les acteurs n’ont pas tous les mêmes informations concernant le statut de leurs marchandises. Les enregistrements peuvent à différents endroits, comme des mails, des sms, des documents papier. Cela rend le système vulnérable car les documents peuvent être perdus ou les personnes peuvent fausser les informations.

La blockchain nous aidera avec cela car tous les acteurs de confiance dans la supply chain auront accès aux mêmes informations au même moment. Toutes les parties peuvent également se mettre d’accord sur le statut actuel de la marchandise et il n’y aura donc plus aucun malentendus et conflits.

La blockchain peut être utilisé dans la supply chain avec son système de consensus distribué, afin d’améliorer la confiance entre toutes les transactions qui peuvent être effectuée. Chaque enregistrement est rattaché à un évènement. Grâce à cela la blockchain offre de nombreux avantages dans la supply chain, comme la visibilité, la traçabilité des produits et l’optimisation de la prévision de la demande. Les personnes autorisées auront accès aux enregistrements de la blockchain, cela veut dire que les enregistrements seront partagés et sécurisés en même temps. (https://www.youtube.com/watch?v=MMOF0G_2H0A&t=1310s

La blockchain et L’IoT

L’internet des objets et la blockchain pourrait fonctionner ensemble dans le sens ou la technologie blockchain pourrait résoudre certains problèmes liés à l’internet des objets. Par exemple la blockchain pourrait être utilisé dans le transport de produits alimentaire. Les objets gérant la chaîne du froid pourraient avoir accès aux données historique et aux données actuelles pour ajuster les températures. Cette interopérabilité et cette confiance est la clef entre les interactions de l’internet des objets et pour que cela soit possible il faudrait utiliser la technologie blockchain. (https://www.ibm.com/blogs/internet-of-things/iot-blockchain-use-cases/)

Un autre exemple de l’intégration de L’IoT dans la blockchain serait d’utiliser une infrastructure cloud pour fournir des informations concernant la traçabilité dans la blockchain. La blockchain pourrait être utilisé pour renforcer la sécurité de L’IoT et a été utilisé pour stocker des informations concernant l’origine des produits, son identité, spécificité et réglementations. Il semblerait que la blockchain pourrait être utilisé avec l’IoT pour la sécurité des informations car les principaux problèmes liés à la sécurité lié aux stockages cloud, pourrait être résolu grâce à la technologie blockchain.

L’objectif est que l’information soit transmise de manière sécurisée au bon endroit et au bon moment sous le bon format. Mais il faut l’aide de smart contracts pour que cela soit possible.

Exemples de projets en cours

Certaines entreprises travaillent déjà sur des solutions qui fonctionnent combinant l’IoT et la blockchain pour la traçabilité :

Comme Chronicled. Qui souhaite offrir une solution ou les partenaires de la supply chain peuvent enregistrer des événements dans la supply chain comme des données provenant des objets connectés dans des blockchains et les smarts contracts pourrait agir en complément pour participer à l’exécution de contrat commercial. Les acteurs de confiance auront accès à un système partagé ou les enregistrements seront immuable et les objets connectés seront utilisé pour tracer, contrôler les évènements liés aux circulations financière et aux conditions environnementales. Cela offre aux acteurs de la supply chain un système de collaboration ou les informations sensible resteront sécurisée et fiable.

Ou Hyperledger, qui est un projet d’association entre Maersk et IBM pour créer une joint-venture digitale en utilisant la technologie blockchain pour améliorer les échanges internationaux et les supply chain digitale. L’objectif est d’offrir une plateforme construite sur une blockchain où tous les acteurs de la supply chain auront accès pour réussir à supprimer les problèmes liés à la visibilité et la documentation.

Hypothèse 2: Dans quelle mesure l’intégration des partenaires de la blockchain peuvent permettre l’harmonisation des processus

Hypothèse 2

2.0 Présentation

Aujourd’hui, Beaucoup d’organisations prennent la route vers une certaine mondialisation. Au vu de cette nouvelle tendance les entreprises adoptent des stratégies d’expansion qui pose un certain nombre de défis concernant le partage des savoirs et l’harmonisation des processus. Dans la plupart de ces entreprises mondialisée, la plupart des équipes sont réparties sur plusieurs lieux et pays.

Les processus sont l’ensemble des compétences et savoirs partagés de l’organisation et sont, par habitude acceptée par les employés comme étant la meilleure façon d’effectuer certaines tâches. Or chacune des entités dans une entreprise mondialisée dispose de ces processus bien spécifiques car les salariés ont des routines organisationnelles, comme l’utilisation et la constitution de dossier papier par exemple.

Nous croyons que l’intégration des partenaires à la blockchain peut permettent l’harmonisation des processus. Pour cela nous allons tenter de comprendre quels sont les éléments existants d’intégration des partenaires, ce qu’est notre vision de l’harmonisation et ce que la blockchain pourrait apporter de plus que tout ces outils.

2.1 Les ERPs

Il existe de nombreux moyens d’intégrer les partenaires dans sa supply chain. Comme les ERP qui sont conçu pour assurer que l’ensemble des étapes de la chaîne de production de la chaîne de production et logistique soit coordonnée pour assurer les meilleurs résultats. Des commandes passées aux fournisseurs jusqu’à la livraison aux clients. C’est donc un outil collaboratif qui solidarise les entreprise et améliorant les opérations entres celles-ci. L’ERP permet également d’avoir une vue d’ensemble sur la supply chain afin de pouvoir visualiser les informations pertinentes afin de prendre de meilleurs décisions. Il pourrait s’agir ici d’état des stocks ou de délais de livraisons prévu par exemple.

Les ERP sont de véritables solutions de performances et permettent aux entreprises d’accélérer leurs productivités notamment grâce aux KPI (Key performance Indicators), Indicateurs clés de performances qui sont aujourd’hui indispensable dans le pilotage d’entreprise. En effet ils permettent de définir clairement la situation présente de l’entreprise par rapport à ces indicateurs afin de la faire progresser. Le fonctionnement des ERP repose majoritairement sur les échanges de données et plus particulièrement à l’aide d’EDI.

2.2.1 EDI

L’harmonisation des processus est un élément essentiel dans le management de la supply chain, cela permet à tous les acteurs de travailler de la même façon et de se comprendre, l’apparition des EDIs par exemple.

Les EDI sont des échanges de données informatisée ( Electronic Data interchange), ce sont des échanges de données sur un format standardisé pour tous les acteurs de la supply chain et cela permet aux entreprises d’envoyer des informations à d’autres électroniquement. Les entreprises qui travaille ensemble sur les mêmes standards EDI pourront être considérer comme des partenaires commerciaux. Énormément de documents peuvent être échangés en utilisant l’EDI, les plus communs étant les factures et les commandes. Mais le réel avantage qu’apporte l’EDI est rapidité du transfert d’information, il remplace les long échanges mails contenant des petites informations variées par un seul document mais surtout l’EDI amènent une standardisation des documents entre les partenaires et permet de traiter un plus grand nombre de transactions dans un temps plus court, ce qui est particulièrement indispensable dans une politique de juste à temps et également pour traiter toutes les données émise lors des commandes et expéditions.

2.2 Harmonisation des processus

Si les entreprises ont des processus interne différents que celles de leurs partenaires commerciaux ou autres services de l’entreprise, on pourrait considérer qu’il y a un manque à gagner assez conséquent en matière d’intégration. S’il n’y a pas de relations spécifiques entre les processus il ne peut pas y avoir une efficacité optimale. En effet les processus ont besoin d’être harmonisé; cela permet de connaître les meilleures alternatives d’amélioration grâce à l’amélioration continue des processus notamment grâce aux statistiques plus facilement réalisable par exemple. Des processus peuvent en intégrer d’autres et cela nécessite une harmonisation, la rapidité de traitement et échanges d’information repose majoritairement sur cette harmonisation. Les échanges d’informations et la fluidité des processus étant un facteur important de productivité, l’harmonisation pourrait permettre une meilleure coordination entre les entités mais aussi un meilleur contrôle de la stratégie d’entreprise en plus d’un alignement des activités. La communication en interne entre les services étant déjà suffisamment difficile, l’harmonisation interne est essentielle avant de penser à une harmonisation externe (avec les différents partenaires commerciaux).

L’harmonisation des processus permet de briser les silos au sein d’une organisation et d’améliorer la transversalité et l’interopérabilité des informations, en particulier lorsqu’elle est présente en grande quantités, ce qui tend à se développer avec l’évolution de nos systèmes. Que ce soit en interne ou en externe avec les différents partenaires, l’harmonisation reste essentielle et malgré le fait qu’il existe des outils pour améliorer cette harmonisation tous les acteurs ne travaille pas encore sur les mêmes modèles (Les documents papiers vs digitaux est un de ces exemples).

Il y a plusieurs facteurs qui font que l’harmonisation se déroule bien aujourd’hui dans une entreprise: des facteurs individuels comme la sollicitation des employés pour engager et partager le savoir et la connaissance, clarifier les rôles et responsabilités en établissant des processus clair et transversaux en expliquant les liens entre la transmissions des savoirs et l’harmonisation des processus afin d’atteindre les objectifs de chacune des parties. Même si beaucoup d’entreprise ont conscience de l’importance de l’harmonisation au sein de la supply chain la blockchain pourrait avoir un rôle important dans ce cadre, à l’aide de GS1 par exemple.

2.3. GS1, Un réel acteur au service de l’harmonisation

GS1 est une entreprise qui facilite les échanges d’informations associés aux produits et assure la fiabilité des référence en interne. Dans une supply chain, il y a de nombreux acteurs cela amènent une nécessité d’alignement, en particulier au niveau des standards de communication. Elle permet grâce à son langage de simplifier et harmoniser les processus au sein d’une supply chain. Cela permet de suivre les opérations en temps réel et améliorer les flux de marchandise.

GS1 est l’abréviation de global Standard 1 et s’occupe en particulier de la normalisation du codage dans la chaîne logistique en établissant des normes et solutions pour améliorer les échanges de marchandises sur l’ensemble de la supply chain.

C’est une entreprise présente sur plus de 150 pays avec 112 organisations membres, 2500 collaborateurs et plus de 1 300 000 entreprises membres dans le monde.

Elle développe un langage commun afin de faciliter l’identification des unités de ventes, lieux et unités logistiques (SKU: stock keeping unit) ainsi que les acteurs, du fournisseur au consommateur final en capturant les données automatiquement pour faciliter la transmission des informations tout en permettant le partage grâce à l’interopérabilité des systèmes.

Cette identification permet d’améliorer la traçabilité dans l’entreprise de façon très importante car elle permet d’identifier des produits à chaque étape de sa production grâce à des codes à barres. Plus spécifiquement l’EPCIS ( Electronic Product code information service, qui permet de suivre complètement le cycle de vie d’un produit, du producteur au consommateur. Toutes les informations relatives à chaque évènement durant le cycle de vie d’un produit sont standardisées sous un format ayant la capacité d’être enregistrée et partagé d’un bout à l’autre de la supply chain, cela permet l’interconnection de base de données de traçabilité indépendante pour connaître les endroits par lesquels le produit est passé à un moment donné. (source: GS1.fr). Cela permet une réduction important des coûts, un meilleur pilotage de l’activité et une meilleure gestion des supply chains complexes et facilite l’interopérabilité due à l’harmonisation des langages par le standard.

Dans le cadre de l’intégration des partenaires, GS1 dispose également d’une solution proposant un accès ouvert et sécurisé aux données pour enregistrer les information de traçabilité, pour assurer la gestion des accès pour permettre aux tiers autorisé de rechercher des informations concernant le cycle de vie d’un produit mais également d’une interface avec des applications pour différents usages de données de traçabilité.

Il s’agit d’une plateforme ou les différents partenaires commerciaux et exploitants enregistrent leurs donnée pour que d’autres puissent y accéder en fonction des droits définis par les titulaires. La plateforme collaborative de traçabilité permet de regrouper toutes les informations, que ce soit des données privée, publiques ou partagées de manière plus restreinte. Cela améliore grandement la collaboration et l’intégration des fournisseurs dans l’organisation ainsi que l’harmonisation des processus vu que l’outil doit être utile et utilisable par l’ensemble des collaborateurs concernés.

2.4 Comment la blockchain facilite l’harmonisation des processus en intégrant les partenaires

La Blockchain permet d’intégrer ces partenaires par des signature cryptographiques uniques qui permet de les identifier de manière sécurisée et sans erreurs possible. Peu importe l’endroit où se trouve l’utilisateur, toutes les informations fournies à la blockchain ne sont acceptées que si ce dernier est authentifié. Cette authentification est fournie sous la forme d’une signature numérique infalsifiable : un mécanisme cryptographique avec une signature numérique sécurisée, permet à une personne de prouver son identité sans permettre à une autre personne de se faire imiter. Donc peu importe votre travail ou vos capacités d’accès, vous ne pouvez tout simplement pas interagir avec la blockchain à moins que vous ne fournissez la clé numérique requise.

Il n’y pas d’entité unique qui gouverne les données sur une blockchain. Au lieu de cela, les données d’une blockchain sont déterminées par consensus, ce qui correspond à une convention définie sur la manière d’exécuter et d’administrer les données. La magie de la blockchain et de la structure d’incitation qui l’entoure est telle que les utilisateurs peuvent ensuite découvrir sans ambiguïté l’état du système (par exemple, le niveau de stock actuel dans un entrepôt, l’état de fabrication, d’acheminement, etc..).

La blockchain en tant que telle oblige les entreprises faisant partie du cercle de consensus à harmoniser leurs processus car ils doivent utiliser le même système et les mêmes langages afin de pouvoir utiliser la blockchain efficacement. Si la blockchain n’est pas comprise par tous, elle peut être utilisées de la mauvaise manière et donc n’aurait pas d’utilité assez conséquente. Mais dans cette harmonisation blockchain au travers la digitalisation des processus apporte énormément de bénéfices en particulier au niveau de la traçabilité mais aussi dans la fluidité des processus et des échanges d’informations

2.5 l’IoT au service de l’harmonisation des processus

Les machines dans l’industrie vont être amenées à changer de manière radicale, en effet leurs exploitation sera complètement modifiée grâce à l’internet des objets.

L’internet des objets pourrait permettre une énorme harmonisation dans l’industrie, en effet, L’industrie a besoin de cette communication entre les machines et leurs utilisateurs. En 1979 Philips désignait « la productique » comme étant l’ensemble des applications et techniques informatiques pour améliorer la production industrielle. L’IoT typiquement fait partie de ces outils productique et pousse encore plus loin l’harmonisation et l’optimisation des processus en mettant directement les machines, objets, systèmes d’information en relation à l’aide de protocoles.https://fr.wikipedia.org/wiki/Productique

Il est certain que cette technologie pourra améliorer la productivité de manière extrêmement conséquente. L’IoT permet de passer à des machines à commande numérique dans l’industrie à de réels robots interconnectés dans la supply chain. En effet la chaîne de production est toujours connectée, tous les acteurs son averti des éventuels changements dans la production en temps réel et ce également dans toute la supply chain. L’IoT permettra éventuellement de faire des réparations sur des objets industriels connecté sous l’ordre d’un autre objet connecté, les hommes seront donc amenés à uniquement superviser la production orchestrée par ces objets « indépendants ».

Mais il n’y a pas seulement les objets industriels qui peuvent être connecté entre eux, la portée des échanges peut être bien plus grande. Les différents centres de productions peuvent être liés entre eux et relié à leurs fournisseurs. C’est donc cette harmonisation émanant de L’IoT qui permettra une meilleure gestion des approvisionnements car les demandes et requêtes d’informations concernant l’état des machines, stocks etc se feront automatiquement, par intercommunication entre les objets. La production sera également harmonisée et pourra répondre en temps réel aux besoins / demande des clients tout en fonctionnant en flux tendus et en minimisant le gaspillage dans un esprit lean et améliorer les marges.

On pourrait également penser qu’a l’avenir les opérateurs pourront également être connectés, avec une installation qui pourrait permettre de suivre l’état de santé des opérateurs, optimiser leurs temps de présence et mieux gérer les planning de production, de manière automatique avec de la maintenance prédictive. Mais nous allons parler d’avantage de l’industrie 4.0 dans l’hypothèse 3.

2.6 Comment ensemble L’IoT et la blockchain facilite l’harmonisation des processus: L’exemple d’IBM watson+blockchain

(Reprendre les infos liées à la traçabilité de la chaine du froid. Prendre l’exemple Metro & VIngénieurie : Capteur dans les frigo, remontant toutes les deux heures des infos sur la température -> utile à dire ici dans le cadre de la traçabilité et du recencement de données obligatoire afin de justifier d’une périodicité de relevé de températures dans le cas d’un audit ou contrôle sanitaire)

2.7 Confrontations de l’hypothèse avec les professionnels

Hypothèse 3: En quoi la traçabilité émanant de la blockchain et l’iot peuvent permettre de rendre la supply chain plus intelligente

Présentation de l’hypothèse 3

Définitions

La supply chain intelligente

Avantages

Inconvénients

Le réseau 5G

Comment la traçabilité peut rendre la supply chain plus intelligente

Le rôle de L’IoT dans la supply chain Intelligente

Le rôle de la blockchain dans la supply chain intelligente

L’arrivée du réseau 5G, un bénéfice dans les compétences de transmission d’informations

Confrontations de l’hypothèse avec les professionnels