Qu’est ce qu’un ERP ? – Définition d’un logiciel ERP

Comme je l’avais présenté dans la première partie, un ERP est un progiciel qui propose de collecter les données afin d’optimiser la production d’une entreprise sur différents domaines: les RH, finances, production, gestion de projet… Il fait partie des web services qui proposent de déployer une gestion de contenu en mode Saas, pour une externalisation des données.

Par contre le BPM, il modélise le processus métier et donne des pistes d’amélioration pour aboutir au même résultat.

On peut également combiner ERP et BPM, deux solutions complémentaires pour un système informatique transverse et une meilleure évolutivité. D’un côté, le BPM rationalise la répartition des activités et le rôle de chacun des acteurs, de l’autre l’ERP vous donne en temps réel des informations sur vos stocks et vos ressources humaines. C’est une façon pragmatique d’orienter l’entreprise vers la transformation digitale et l’amélioration continue.

Le but de ces outils informatique est d’accompagner tous les utilisateurs sur une plateforme intuitive, ergonomique et conviviale. Iterop pourrait être une solution idéale en cela car il bénéficie d’une version simplifiée de la norme BPMN 2.0, pour une meilleure expérience client.

Depuis quelques années, certains PGI s’appuient sur des modèles de processus métiers de référence, représentant les « bonnes pratiques ». La plupart offrent toutefois des possibilités d’assemblage et de paramétrages pouvant s’éloigner du modèle de référence. Ainsi SAP comprend cinq vues de l’entreprise, modélisées avec le système ARIS1 , ce qui autorise des adaptations : une vue des données, une vue des fonctions couvertes, une vue des processus métier, une vue de la structure de l’entreprise et une vue des entrées et sorties du progiciel. Baan a intégré outil de modélisation, DEM2 , qui comporte notamment une bibliothèque de modèles génériques correspondant à des fonctions de gestion ou à des processus propres à un secteur (automobile, fabrication en continu, électronique…). La tendance est d’offrir une ouverture accrue pour permettre aux entreprises de chercher leur propre optimisation dans la logique de l’alignement stratégique qui domine aujourd’hui. La démarche d’installation d’un PGI qui est généralement préconisée recommande de partir d’une analyse des processus visés par l’entreprise. Par exemple, J. L. Tomas3 propose les étapes