Derniers jours d’Adolf Hitler

Hitler est-il vraiment mort en avril 1945 ?

Derniers jours d’Adolf Hitler Adolf Hitler vécut ses derniers jours à Berlin, plus précisément au Führerbunker. Lieu ou il avait pris ses quartiers en Janvier 1945. Il finira par se suicider à l’aide d’une balle le 30 avril 1945, accompagné par son épouse Eva Braun qui s’était empoissonnée au cyanure.

Führerbunker Malgré la mort du Führer, les circonstances et l’identification de sa dépouille restent controversés. « Moi et ma femme choisissons la mort pour échapper à la honte de la déposition ou de la capitulation. Notre désir est d’être brûlés immédiatement sur les lieux où j’ai fourni la plus grande partie de mon travail quotidien pendant les douze années passées au service de mon peuple » Extrait du testament privé d’Adolf Hitler. Même avec cet extrait les doutes subsistent. Les dépouilles sont déposées dans les jardins de la chancellerie, et elles sont aspergées d’essence et brulées. Le 2 mai 1945, un détachement de l’armée soviétique cherche à retrouver la dépouille du Fürher. Ils tombèrent sur deux cadavres « si calcinés qu\’ils s\’étaient rétrécis et ressemblaient à des marionnettes », les corps sont rapidement identifiés comme étant ceux des époux Goebbels. Plusieurs théories du complot émergèrent après ces évènements.

Le mensonge de Staline Staline donne une version inconcevable lors de la conférence de Potsdam : Hitler n’est pas mort, et il ne s’est pas suicidé dans son bunker. Il aurait rejoint Hambourg et de là se serait enfuit du côté du Japon en voyageant en sous-marin. Avant de rejoindre l’Amérique du sud. La CIA et MI6 l’ont cherché pendant des années. Le MI6 imaginaient depuis longtemps une fuite possible, il avait même fait un portrait d’Hitler. Il est représenté comme étant chauve, sans moustache, barbu, et forcément des gens comme le journaliste Jacques Robert affirme qu’Hitler s’est évadé.

L’Amérique du sud.
L’Amérique du sud a toujours été au centre des théories. Des milliers de nazis, mais aussi des Croates et des fascistes italiens se sont installés dans les années 1940 et 1950. Plus précisément en Argentine, où ils avaient la bénédiction du président de l’époque, le général Juan Peron. Ante Pavelic, fondateur du mouvement oustachi croate, pro-nazi, et le criminel de guerre nazi Adolf Eichmann avaient notamment été accueillis dans ce pays sud-américain. Eichmann a été reconnu pour être l’un des responsables de la logistique de la « solution finale » qui a causé la mort de six

millions de juifs durant la Seconde Guerre mondiale.

Plus récemment, une Brésilienne portant le nom de Simone Guerreiro aurait affirmé en 2014 qu’Hitler serait mort en 1984 au Brésil. L’antarctique Une des théories du complot le plus farfelue reste la théorie d’une base secrète cachée sous l’antarctique. L’Allemagne nazie avait revendiquée une zone de l’antarctique d’une superficie de 600\’000 Km2 .

Plusieurs mythes sont donc apparus. Le premier mythe qui ne concerne pas vraiment Hitler, il parle d’ovnis fabriquaient par le IIIe Reich. Plusieurs noms sont donnés : mythe des ovnis du IIIe Reich, mythe des ovnis nazis ou encore la légende du V7. Un mythe ufologique selon lequel des ovnis auraient été construits en secret durant la période du Troisième Reich en Allemagne ou par la suite dans des bases secrètes, en particulier en Antarctique. Dans les années 1960, Michael X. Barton publie une série de livres maintenant l’idée qu’Hitler s’est réfugié en Argentine et que les ingénieurs nazis continuaient à développer la technologie des soucoupes volantes en Amérique du Sud, en Afrique du Sud et en Antarctique.

Le deuxième mythe concerne le Führer, Le mythe plonge ses racines dans la croyance d’une survie d’Hitler après la défaite de Berlin et dans sa fuite et son refuge en Antarctique.

Il se serait réfugié dans la base crée dans la zone de la Nouvelle-Souabe.
La mort confirmée du Führer Le médecin légiste Philippe Charlier expert en analyse de corps de personnage historique, il a déjà eu l’occasion d’étudier les reliques de Saint Louis. Richard Cœur de Lion ou D’Henri 4.

“Les circonstances de la mort d’Adolf Hitler sont particulièrement suspectes. Alors, le travail de la médecine légale, le travail de l’anthropologie, est justement de démêler le vrai du faux : d’abord vérifier l’authenticité des restes (travailler vraiment sur les restes authentiques) et ensuite fournir des conclusions qui sont, on l’espère, définitives dans l’état actuel de la science.”
Extrait d’un documentaire sur l’incroyable enquête scientifique, historique, géopolitique… Pour connaître le fin mot de l’affaire : Le mystère de la mort d’Hitler. Toutes les théories ont volé en éclat en 2017. Philippe Charlier a pu analyser les restes d’Hitler en Russie. Ses conclusions sont sans appel : il n’y a plus de place pour le doute : Hitler est mort le 30 avril 1945.

En revanche, son rapport nous apprend qu’Hitler ne s’est pas tiré une balle dans la bouche puisqu’aucune trace de poudre ou de gaz de combustion n’a été trouvé sur la mâchoire. Hitler est mort d’une balle dans la tête.