Le bonheur au travail, est-il naturel ?

Bien-être en économie

Depuis longtemps la recherche du bonheur est un facteur guidant tout comportement humain « comment profiter ou gagner, comment se protéger contre un risque, comment trouver le bonheur est en fait le facteur secret de comportement de tous les gens (james 1902,p76), en suit l’économie est (ou devrait être ) au service du bonheur individuel précisément la question de la relation susceptible exister entre la croissance économique, le chômage,l’inflation ou aussi les facteur institutionnels en l’occurrence la gouvernance sur le bien être des individuel.

Les activités économiques en tant que telle n’ont aucune fin en soi, elles n’ont de valeurs que dans la mesure où elles contribuent aux améliorations de niveau de bonheur humain En fait , les spécialistes en particulier les économistes ne sont pas encore convaincus d’étudier directement le niveau du bonheur individuel, ils avancent aussi que les mesures cardinales menées traditionnellement sont des taches discrétionnaires pour analyser la manière par laquelle les gens se comportent suit aux changement des prix relatifs ; la question sur les jugement de bien-être sociale peuvent être discuter sous la logique du critère d’optimum au sens de Pareto où la comparaison entre les individus en terme de niveau du bonheur ressenti ne sera pas possible ,cependant aujourd’hui on constate une défaite dramatique par rapport à la pensée économique traditionnelle.

Plusieurs travaux menés par de nombreux psychologues pendant les décennies (les derniers travaux menés sont : (diener et al 1999 ;kehneman at al 1999),la quantification de l’utilité a connue des avancements, actuellement cette mesure d’utilité devient de plus en plus possible grâce aux enquêtes en administrant un questionnaire afin de donner aux gens la possibilité de juger eux même (autoevaluation) leur bien-être , cette évaluation s’exprime par un score de mesure et que derrière ce score il y’a une évaluation cognitive de la qualité de vie globale de manière favorable (vennhoven1993) ces avancés qu’a connus la mesure du la mesure du bonheur contribuent aux analyses d’une autre façons pour les anciennes hypothèses ce qui contribue aux progrès dans l’études du bonheur comme finalité humanitaire par rapport aux autres variables tel que : les variables économiques , sociales ou institutionnelles (Easterlin 2000,Frey et Stutzer 2002a ,aswald 1997), toutes ces variables susmentionnée font l’objet des politiques économiques , l’objectif est d’assurer une certaine épanouissement aux ressortissant (citoyens ), donc l’Etat s’engage de mener a bien toutes les affaire et être présent pour trouver une solution

a leur préoccupations.

La revue de littérature sur la fonction de l’Etat discute pleinement ce qu’il faut faire et ce qu’il faut éviter mais des questions restent toujours l’objet de divergence entre plusieurs théorique surtout lorsqu’il s’agit d’un sentiment personnel individuel tel que le bonheur là on s’interroge s’il peut faire l’objet d’une politique en générale et politique économiques en particulier si la réponse et positive quelle politique faut-il mener afin de promouvoir le bien être individuel et d’atteindre le bonheur collectif ?

L’objectif de la politique économique et bonheur.

La politique économique vise à intervenir sur des facteurs instruments a pour une finalité bien définie choisie selon une préférence Etatique et aussi aux préférences des agents privés.

La mise en œuvre d’une telle politique économique doit obéir aux contraintes exogènes, il faut prendre en compte aussi la question institutionnelle ou technique selon le choix des agents et aussi en fonction des dysfonctionnements du marché, il se peut que l’État produise des biens publics dans les domaines où le marché est moins performant.

La mise en œuvre d’une telle politique économique exige une bonne connaissance des variables sur les qu’il faut agir et qui représente des instruments objectifs de leur interaction, de ce fait, l’efficacité est une condition à éprouver pour justifier l’intervention de l’État au lieu du marché.

Choix des instruments et les objectifs Le choix d’une telle politique économique et les instruments à mobiliser et aussi les objectifs à atteindre exigent premièrement une bonne compréhension de l’environnement économique, et afin de poursuivre l’évolution de cette économie, il semble nécessaire d’inventer un système de comptabilité nationale capable d’évaluer et orienter les actions publiques.

Le défi de l’intervention de ce système a été pris par deux économistes, il s’agit de Kuznet SIMON et Ston Richard sont des Lauréats de prix de Nobel d’économie respectivement en 1971 et 1984 pour leurs contributions au développement de ce système de comptabilité, en fait, les premières traces de la comptabilité nationale revient à l’économiste français.

Quesnay au XVIII siècle par l’imputation des données hasardeuses sans respecter une règle bien définie et stable de calcul , cette méthode d’évaluation été mise en doute par les économistes de XX siècle à cause de sa faiblesse, ils ont adopté une mesure de l’ensemble des activités et utilisent des données disparates ou partielles telles que la production d’acier ,de blé ….etc.

Après la Deuxième Guerre mondiale l’installation d’un système de comptabilité performant devient une priorité pour les économistes , l’objectif toujours est le même c’est-à-dire une bonne évaluation de la politique économique menée qui permettra la prise des mesures correctives en cas de besoin Selon l’économiste américain NIKOLA Kaldor la politique économique vise dans son ensemble 4 concepts à savoir la production (croissance économique mesurée par le PIB ), le chômage ; l’inflation et l’équilibre de la balance commerciale, les 3 premières variables a pour objet d’assurer un équilibre interne a lors que la quatrième vise en particulier l’équilibre extérieur, ces quatre éléments touchent les principales variables économiques, dans ce travail notre esprit se concentrera sur les 3 premiers objectifs en raison de notre convection d’absence d’une liaison systématique de l’équilibre de la balance commerciale et le bonheur car il ne s’agit pas d’une variable qui touche la vie quotidienne des gens surtout dans les pays auxquels ses ressortissants se combattent seulement pour assouvir ses besoins fondamentaux .