Qu’est-ce que l’intimidation?

L’intimidation est lorsque tu as l’intention de blesser une ou plusieurs personnes avec des comportements répétés, que ce soit des attaques physiques, verbales, sociales et électroniques, mais de nos jours le nombre victime d’intimidation augmente à chaque année. En jetant un regard sur l’intimidation à l’école, c’est un sujet problématique qui ne cessera jamais. Les lieux scolaires est censée être un lieu sécuritaire et un endroit de protection pour éviter des troubles. Sauf que, comment se fait-il que l’intimidation affecte l’éducation des étudiants et étudiantes. Comment est-ce un problème? En Ontario, l’intimidation en milieu scolaire est un comportement agressif intentionnel qui mène à des conséquences à long terme, qui nuit à l’apprentissage scolaire et au bien être des étudiants et étudiantes. Pour traiter de ce sujet, les problèmes au niveau de la santé mentale est un élément important qui influe le corps et risques de mener ces jeunes vers des idées néfastes qui les affectent à long terme. Puis, les difficultés au niveau scolaires chez les étudiants et étudiantes est un facteurs cruciale qui est également affecter et rend l’apprentissage de l’étudiant(e) compliqué. Enfin, la diminution de la confiance affaiblit la vie quotidienne de l’étudiant(e), au point que leur socialisation à l’école et même leur santé physique est affecté.

Dommage sur la santé mentale
En premier lieu, l’intimidation subie à l’école causent des dommages sur la santé mentale et affecte le fonctionnement chez les jeunes victimes. Par exemple, la dépression est l’une des principales causes d’invalidité dans le monde, qui peut entraîner des conséquences immédiate. La dépression est une maladie qui se caractérise particulièrement à cause d’un sentiment de désespoir, tel que, la perte de motivation et la perte d’intérêt. En parlant des pertes de motivation, Tracy Vaillancourt, est une psychologue à l’Université d’Ottawa et membre de la Chaire de recherche du Canada en santé mentale des enfants et en prévention de la violence à fait une étude auprès des jeunes victimes d’intimidation.
Les résultats de ses travaux démontrent que l\’intimidation entraîne un sentiment de dépression, dérègle le taux de cortisol (hormone du stress), ce qui a un effet néfaste sur la mémoire et sur la performance scolaire. Ces élèves sont donc moins performants, non seulement parce que les victimes fuient l\’école et leur agresseur, mais parce que leur cerveau s\’en trouve atteint. (Coup de pouce, 2011)

Dans ce but, selon les recherches de Tracy Vaillancourt, elle a découvert que ces élèves intimidés ont

eu un impacte sur la mémoire et sur la performance scolaire car, leur cerveau n’était pas en bonne état, ce qui rend leur participation et leur apprentissage moins bonne, malgré ces effets. Vu que les victimes d’intimidations sont tellements déprimés ils ont tendances à avoir des idées noires, dans ce cas, il s’agit du suicide, alors l’élèves commencent à avoir des idées suicidaires, ainsi que des tentatives de suicides. D’après une étude de l’Académie de médecine, 5 à 20 % des patients déprimés se suiciderait. (la.depression, 2014) D’après eux, ils cherchent à mettre fin à leur souffrance, alors le suicide paraît comme le seul moyen de l’arrêter. Par ailleurs, être victime d’intimidation entraîne une grande variété de conséquences nocif. Par exemple, des troubles d’anxiétés peut en grande partie affecter la santé mentale qui affecte ensuite l’apprentissage académique. Étant donné que, l’anxiété est un trouble psychologique et physique difficile à gérer, les effets de l\’intimidation se font souvent sentir jusqu\’à l\’âge adulte, par exemple, Faustine Malaisé qui est une étudiante à la mineure en arts et sciences ressent également une anxiété marquée dans ses cours, elle dit: « Les oraux me stressent énormément, j’ai peur de me couvrir de ridicule. Dans les travaux de groupe, je n’arrive pas à prendre ma place, chaque fois que j’essaie d’ouvrir la bouche pour parler, quelqu’un parle plus fort que moi alors je me tais. » (Quartier L!bre, 2016) En gros, elle reconnaît que l’intimidation dont elle a souffert au cours de sa scolarité a toujours une influence sur ses travaux. Pour cela, c’est dure pour elle de participer lors de ses cours, malgré ses troubles anxiétés.
En conclusion, les problèmes de santé mentale, tel que, la dépression et les troubles anxieux, peuvent sérieusement nuire à l\’apprentissage et à la capacité de bien fonctionner dans ses études, ainsi qu’en salle de classe, car ceci empêche le cerveau de bien acquérir de l’information.

Difficultés scolaires
En second lieu, les élèves victimes d’intimidation sont à risques de vivre des difficultés scolaires, comme l’absentéisme à l’école peut mener une démotivation, une désaffiliation et une aliénation face à l’école. De même, l’intimidation vécue pendant l’enfance peuvent se traduire par des troubles de l’apprentissage et, dans certains cas, provoquer le décrochage scolaire. Selon le psychologue scolaire Rémi Côté il dit: « L’étudiant peut notamment perdre sa motivation et développer des troubles de concentration, de mémoire. Des troubles mentaux comme un état psychotique peuvent provoquer des difficultés au point que l’étudiant lâche ses études. » (Quartier L!bre, 2016) Pour cela, certains élèves ne sont pas convaincus par l’importance et l’utilité des études, qu’ils seront moins intéressé et chercheront plutôt des activités en dehors de l’école. D’ailleur, l’intimidation joue un rôle important sur la performance académique des jeunes, comme les résultats scolaires diminue à grande échelle. Selon la Croix Rouge canadienne « Les personnes qui se font harceler montrent une perte d’intérêt pour les activités scolaires et un plus grand taux d’absentéisme, présentent des travaux scolaires de qualité inférieure et obtiennent des notes inférieures, et ont plus tendance à sauter ou abandonner des cours. » (Croix-Rouge canadienne, 2018) De surcroît, les jeunes qui ont de moins bons résultats sont plus à risque d’être victimes d’intimidation et les victimes d’intimidation peuvent, pour cette raison, vont moins bien réussir à l’école. Surtout si l’intimidation à lieu à l’école, ceci peut changer l’attention sur la réussite scolaire vers autre chose. En vérité, « Les élèves qui sont victimes d’intimidation à plusieurs reprises ont de moins bons résultats et participent moins aux discussions en classe. Certains élèves peuvent être étiquetés à tort comme des élèves en difficulté parce qu’ils ne veulent pas parler en classe de peur d’être victimes d’intimidation. Les enseignants peuvent mal interpréter leur silence, pensant que ces élèves ne sont pas motivés à apprendre. » (RIRE, 2010) Bref, si les élèves qui ont un faible rendement scolaire ils/et elles sont plus à risque d’être intimidés, on pourrait diminuer l’intimidation en intervenant pour réduire le taux d’échec. Ensuite, malgré que l’intimidation à l’école causent des problèmes au niveau des résultats scolaires. Les jeunes intimidés ont souvent la difficulté de supporter et de fonctionner à cause de leur intimidateur, que certains jeunes trouvent que la solution à ce problème est la drogue et toute substance alcoolique afin de réduire leur douleur. Mais, en réalité ils ne sont pas en train de réduire leur douleur, ils font que l\’aggraver et abîmer le cerveau car, le cerveau est en pleine croissance. « Une étude démontre que les victimes sont six fois plus à risque de développer un trouble psychiatrique, de devenir fumeurs ou d’être atteints d’une maladie grave que les personnes qui n’ont pas été touchées par l’intimidation », écrivait M. Bernier. ( Notre Santé, s.d ) De surcoît, la dépendance peut provoquer des problèmes au niveau du cerveau tel que, la perte de mémoire, l’incapacité de se concentrer, un manque de sommeil, un manque d’énergie, un changement de comportement, un saute d’humeur etc. Par exemple, « le cannabis accélère le rythme cardiaque, rend le consommateur plus vulnérable aux infections pulmonaires et affaiblit le système immunitaire, puis elle détruit les neurones au point de déranger leur fonctionnement, ce qui produirait des troubles mentaux » , ( s.a, s.d ) non seulement cela modifie la structure du cerveau, mais leur hippocampe qui joue un rôle sur la mémoire sera effectivement abîmé.
En somme, l’intimidation est une expérience traumatisante pour les adolescents qui en sont victimes. Ces problèmes peuvent influer la capacité de l’élève face à ses études, et peut empirer le cerveau au point qu’il n’est pas capable de fonctionner correctement.

Diminution de la confiance
Finalement, la diminution sur la confiance est un problème qui peut avoir des répercussions sur la scolarité d’un étudiant(e), car c’est l’âge ou l’élèves est en train de se construire donc, la construction identitaire sera affecter. Par exemple, être intimidé dans le milieu scolaire peut évidemment rabaisser l’estime de soi. De ce fait, ils ont tendances à être plus négatives, au point que l’élèves va croire qu’elles n’a pas de valeurs et se sentent incapable puisqu’ils craignent que les autres ne les aiment pas. Par conséquent, ce sentiment affecte sa capacité de socialisation. « Les répercussions de l\’intimidation sont énormes sur l’estime de soi, à l’âge ou un enfant est en train de se construire. À force de subir les sévices d’un de ses pairs, l\’enfant en vient à croire qu’il ne vaut pas grand-chose ». ( Coup de pouce, 2011 ) Notamment, lorsque l’estime de soi est forte, elles sont mieux confiant et la capacités de réussir est élevé, ainsi que les chances de se sentir motivé par l’école. Cela pourrais augmenter les chances de réussites. Par contre, une faible estime de soi peut augmenter les risques d’affecter le fonctionnement social sur les normes de son environnement, de s’évaluer et donc de juger de sa valeur en tant que soi. Ensuite, certains on tendance à se juger sévèrement et