Le créateur industriel au service de l’économie circulaire

Le modèle économique occidental fait face à de nombreux enjeux sur la scène international et politique. Plusieurs notions ont été étudié et ensuite émergé depuis le siècle dernier. Ces notions ont été clarifiés et expliqués (Hervé Ross-Carre, 2016) ce qui a permit à la planète de regarder différemment son propre modèle de consommation. De nombreux auteurs ont défini ce qu’était l’économie circulaire tout d’abord ses enjeux et ses apports tout en rappelant les dégâts occasionnés à notre planète et surtout la nature par notre fonctionnement depuis des années. Grâce à des personnes engagées littérairement parlant (Brieuc Saffré et Nicolas Buttin, 2015).

Pour notre revue de littérature, nous avons cherché des textes et articles académiques. Le sujet de l’économie circulaire met plutôt d’accord beaucoup d’auteurs sur ses bénéfices. Nos analyses se basent sur des recherches approfondis et pertinentes sur les sujets que nous vous présenterons juste en dessous. Nous confronteront ces textes (lorsque c’est nécessaire et possible) pour réussir à dégager une problématique.

Notre revue nous servira tout d’abord d’appui pour bien définir les débuts de l’économie circulaire, la définir ainsi que déceler ces caractéristiques pour mieux se familiariser avec ce nouveau terme. Nous aborderons les termes de biomimétisme, économie du savoir et de la nature pour pouvoir analyser les réels apports qu’un changement de système économique peut apporter.
Ensuite, nous nous baserons sur les éléments de discussion proposés par les auteurs pour mieux cerner en profondeurs les réelles thématiques et solutions qui pourraient voir le jour dans le futur, ainsi que celles qui ont déjà vu le jour.
Notre étude s\’oriente ensuite sur la comparaison en Europe de la France et des pays Scandinave, mais aussi sur les modèles de solution déjà existant, leur positivité, mais aussi leurs limites. L’Europe est déjà engagé dans ce processus de changement mais nous verrons que les actions diffèrent et que les résultats ne sont pas au même stade.
Pour cela, nous prendrons appui sur de nombreuses études et rapport traitant du sujet pour pouvoir recueillir un maximum d’informations.
Enfin, au suite de nos investigations, certaines limites et barrières se présenteront d’elles-mêmes
et nous pourrons évaluer les conséquences positives et négatives de ce modèle sur notre société ainsi que la possibilité réelle de son implantation.

Comprendre l’économie circulaire

Notre économie linéaire actuelle est à l’aube d’atteindre ses limites, ou bien ses limites de croissance.
Ce système fermé ne permet pas le renouvellement et cantonne les ressources à une simple et seule utilisation. Nous

ne sommes pas sans savoir que les ressources naturelles sont limitées et qu’un futur durable doit étendre sa vision aux générations suivantes et se tourner de plus en plus vers les énergies renouvelables et le recyclage de ses propres déchets pour retrouver une harmonie entre les hommes et la nature (Idriss Aberkane : l’âge de la connaissance, 2018).
En effet, nous utilisons des matières fini pour nos schéma économico-industriels, de ce fait, a matières finit, solution finit.
Les alertes ne sont pourtant pas nouvelles, et les limites du modèle linéaire avaient déjà été critiquées par le passé. De nombreux auteurs avaient exprimés leurs opinions peu optimistes sur notre futur commun et critiques sur notre mode de vie (Nathaniel Southgate Shaler “ Man and the Earth”). Notamment avec la publication par le club de Rome “Limits to Growth” qui prévoyait déjà les conséquences catastrophiques qu’une telle économie pouvait engendrer.

L’économie circulaire est un nouveau terme ayant l’envie de sortir du modèle linéaire comme nous l’explique de nombreux articles. Pour passer d’un système fermé à un système ouvert, plusieurs buts sont à atteindre et ce concept peut être défini de plusieurs manières.
Pour être plus concis, nous allons prendre la définition de l’ADEME (agence nationale de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) qui résume bien le terme : “un système économique d’échange et de production qui vise à augmenter l’efficacité de l’utilisation des ressources et à diminuer notre impact sur l’environnement. Il s’agit de découpler la consommation des ressources de la croissance du produit intérieur brut (PIB) tout en assurant la réduction des impacts environnementaux et l’augmentation du bien-être”.

L’idée est donc de sortir du modèle “fabriquer-consommer-jeter” afin de restaurer les ressources déjà utilisées pour pouvoir ensuite les recycler et les ré-utiliser. Ce modèle arrive à ses limites et pourraient imposer des changements drastiques quand au management environnemental (Hervé Ross-Carre, 2016). Cet auteur nous rappel que nous ressentons déjà grandement les impacts du gaspillage sur notre environnement et la biodiversité. L’économie circulaire est un objectif à long terme qui aspire à une réelle portée écologique mais qui est aussi une véritable stratégie économique. L’objectif est de combiner les deux à une échelle mondiale pour ressentir pleinement les bienfaits sur la planète et aussi contrecarrer les pénuries de ressources naturelles et trouver un mode durable de production (Rémy Lemoigne, 2018).

B. Lien avec plusieurs concepts

L’économie circulaire a mis en avant plusieurs concept qui se recoupent. Ces derniers ne sont pas tous partagés par les auteurs et professeurs mais certains sont tout de même cités de nombreuses fois. C’est le cas du biomimétisme, qui constitue une fondation importante dans cette nouvelle économie. Cette méthode consiste à imiter sciemment la nature et les appliquées aux activitées humaines (Mathieu, Andrée Lebel, Moana, 2015).
L’économie bleue est un autre concept lié à l’économie circulaire ; fondée par l’entrepreneur belge Gunter Pauli, cette méthode consiste à valoriser ce qui est disponible localement et s’inspire du vivant et de la nature, comme le biomimétisme.
Ces deux concepts n’aurait pu voir le jour sans l’apparition de l’économie du savoir notamment avec l’économiste Fritz Machlup (Machlup, 1962) qui fut un de ses premiers précurseurs. L’économie du savoir et de la connaissance est fondée sur l’intelligence humaine et sur tout ce dont elle est capable.
Ces différentes notions se regroupent toutes dans les travaux de Idriss Aberkane qui souhaite relier la nature à l’économie. En les faisant travailler ensemble et en s’appuyant sur les connaissances acquises par l’homme, il serait alors possible de créer un système de développement durable (L’âge de la connaissance; Aberkane ; 2018).

Suren Erkman quant à elle nous parle du concept “d’écologie industrielle”.
une expression qui peut dérange au vue de son côté contradictoire.
Les deux concept sont souvent opposé l’un à l’autre, une industrie ayant pour habitude d’avoir un impact négatif sur l’écologie.
Cependant aujourd’hui il s’agit bien de la d’un terme d’actualité.
trop souvent mit à côté de la biosphère, l’industrielle doit aujourd’hui être en harmonie avec son environnement et avoir un impact positif autour de soi.
aujourd’hui, il est possible de considérer le système industriel comme un cas particulier d\’écosystème.

Du point de vue de la majorité des auteurs, les bénéfices environnementaux et économiques seraient non négligeables. Ce système fermé peut permettre à la réduction de l’utilisation des ressources naturelles (Andersen ; 2007). Même si le recyclage et ce nouveau fonctionnement ne réduise pas à zéro les déchets, il pourrait conduire à de grandes avancées environnementales et ainsi favoriser la réduction d’énergie. De plus, pour nombre d’auteurs comme Remy Lemoigne (2014), ceci conduirait directement à une réduction des émissions de CO2 par la baisse d’utilisation des ressources naturelles sur Terre.

C. L’impact positifs sur l\’environnement et les outils de mesure

Les bénéfices comme dit précédemment seront aussi économiques et les deux convergent. La réduction de l’utilisation de l’énergie et des ressources naturelles conduisent à des économies réalisés par les distributeurs. Si l’on se base sur le scénario des auteurs et experts (Peter Hopkinson, Markus Zils, Philip Hawkins, Stuart Roper ; 2018) les résultats démontrent que les pratiques commerciales durables peuvent générer de nouveaux revenus et des gains de ressources et de productivité. Cet article présente une étude de cas qui souligne que l’équilibrage entre un système linéaire et circulaire pourraient faire face à des problèmes complexes tels que les nouvelles technologies du marché et sa volatilité.
Dans la continuité des bénéfices des entreprises se trouvent la création d’emplois. D’après les études de Cyril Adoue, Rémi Beulque, Laetitia Carré, Julie Couteau (2014), de nouveau métiers peuvent voir le jour dans la protection de l’environnement, collecte des déchets, la pollution et bien d’autres.
Les pertes des anciens métiers générés par l’économie cyclique seraient remplacés par des métiers dans le recyclage, la protection des ressources ou autres.
Les entreprises accentuerait leur réputation et pourrait versé l’argent gagné dans l’innovation ou bien dans la stratégie. Les bénéfices seraient donc un avantage autant pour les consommateurs que pour les entreprises.

II. Analyse de certains pays d’Europe du Nord

Premières alertes

La suède a la particularité d’avoir engagé de manière précoce sur son approvisionnement énergétique.
Pays ne détenant aucunes réserves fossile, la suède importait des quantités croissantes de produits pétroliers dans les années suivant la 2nde guerre mondiale. Mais, le gouvernement a vite eu la vision de cerner le risque géopolitique du a cette dépendance et développé un outil nucléaire lui permettant de réduire très vite la place du pétrole dans son économie après les chocs des années 1970.
Il s’agit ici d’un pays qui a réussi à valoriser ses ressources naturelles.
Jusqu’au années 2000, l\’hydroélectricité pouvait pénétrer le marché sans aide, mais le bois n’aurait pas conquis sa part actuelle sans un politique mariant soutiens publics à l\’investissement et pénalités pour les énergies concurrentes. La grave crise économique traversée par le pays entre 1991 et 1993 a données à ces pénalités la forme de taxes, notamment la taxe sur les émissions de Co2 dès 1991, qui a majoritairement contribué à recomposer le régime des prélèvement fiscaux nécessaires au modèle social suédois.
Cette épreuve a souligné la capacité du pays à dégager des orientations consensuelles.

Une de ces dernières a consisté à réagir immédiatement après les premières alertes sur la menace climatique. premièrement en renforçant sa politique d’efficacité énergétique, en structurant les actions sur le terrains par le biais d’agence nationale et de relais dans la collectivité locales, pour aider techniquement et économiquement les consommateurs, particuliers ou industriels. Elle a ensuite choisi un outil particulier pour la promotion de l\’électricité d’origine renouvelable, le système des certificats verts.
dès 2003, ce dispositif a stimulé le développement des sources les moins coûteuses, pour deux tiers environ éolien terrestre et un tiers biomasse le tout avec un coup remarquablement modéré.

B. Précurseurs du changement

Fin 2014 la suède pouvait déjà afficher un approvisionnement primaire ne comportant que 30% d\’énergies fossiles et une consommation en énergie finale à 52% d’origine renouvelable. La consommation d’énergie par habitant demeure élevée, mais rapportée au PIB elle se situe exactement à la moyenne de l’europe occidentale (UE 15). EN ce qui concerne les émissions de gaz à effet de serre, le pays présentait en 2013 la plus faible empreinte carbone de l’UE 15, aussi bien au regard de son PIB que mesurée par habitant. Par ailleurs, les taxes environnementales majorants sensiblement le prix du gaz pour les industriels, elles n\’affectent pas exagérément les prix des carburants, et n\’empêchent nullement les prix de l\’électricité de figurer parmi les moins chères d’Europe, pour les industriels comme pour les particuliers.

Au vue de la situation actuelle qui paraît excellente, les dirigeants politiques suédois ont choisi d’en conserver le soubassement et d\’entreprendre des évolutions que par petites touches. Ainsi, tout en montrant leur preferences pour les energies renouvelables,parce que la situation actuelle paraît excellente, les principaux partis politiques, les dirigeants politiques suédois ont choisi d\’en conserver le soubassement et de n\’entreprendre des évolutions que par petites touches. Ainsi, tout en affirmant leur préférence pour les énergies renouvelables, les principaux partis politiques ont trouvé un terrain d\’entente pour alléger la pression fiscale exercée depuis 2014 à l\’encontre de l\’énergie nucléaire. Démontrant une nouvelle fois leur sens du compromis, majorité et opposition ont signé en juin 2016 un accord qui permettra la modernisation du parc des réacteurs, une solution destinée à limiter la hausse des coûts de l\’électricité et allonger la période offerte aux sources de remplacement pour atteindre leur maturité. En complément, l\’accord prolonge les dispositions promouvant le courant d\’origine renouvelable, mais il insiste aussi sur la maîtrise de la puissance appelée et sur un usage efficace de l\’électricité, conférant un rôle actif au consommateur, aussi bien industriel que domestique.
En clair, la Suède semble avoir pris la mesure des difficultés qu\’affrontent déjà certains pays européens engagés dans une transition énergétique et tente de les éviter. Les acteurs politiques se gardent bien d\’adopter des objectifs de court terme trop contraignants et se contentent d\’orientations générales ; ils misent sur l\’innovation pour avancer. À cet égard la Suède détient un atout majeur avec l\’effort qu\’elle consent depuis plusieurs années, de façon très structurée, en faveur de la recherche et du développement, effort que le récent accord consolide.

Des concepts telle que “Le Ville Durable” (Cyria Emelianoff, 2007) ou même l’importation de déchets sont tentés ont été appliqué de la part du gouvernement suédois. Choses qui paraîtraient aberrante aujourd’hui dans bien d’autres pays mais malgré tout très efficaces sont nés récemment et continuent dans le sens de ce nouveau modèle qu’est “l’économie verte” ou “économie cyclique”.

III. Limites et barrières

Barrière Globale

L’économie circulaire est présenté comme la solution idéale aux problèmes environnementaux pour vivre en harmonie avec la nature. L’objectif futur est d’atteindre zéro déchet, mais la réalité nous fait reconnaître qu’il sera difficile d’atteindre un tel stade et de le maintenir à l’avenir. Certains voient ce nouveau phénomène comme un idéal à atteindre qui semble efficace mais qui serait difficile à mettre en place pour tout le monde (Gregson. 2015). Pour eux, ce changement est beaucoup trop important pour que les hommes réussissent à le mettre en place. Les bouleversements économiques demandent une grande détermination et notre système est encore un peu trop fragile. Pour arriver à ce changement, c’est une prise de conscience mondiale qui doit voir le jour, autant des consommateurs, des entreprises et gouvernement. Cet auteur réticent met en doute la capacité humaine vers cette transition contrairement à d’autres, plus optimistes (Idriss Aberkane, 2018).
Les barrières présentées ci-dessous ne sont pas applicables à tout les pays ou entreprises mais sont plutôt d’ordre générale car bien sur à chaque cas ses solutions. L’économie circulaire est un nouveau modèle qui s\’inscrit dans la démarche d’un développement considéré comme soutenable et positif. (Dominique Bonnet, Isabelle Petit, Agnès Lancini. 2015)

Il est cohérent de s’appuyer sur des mesures de performances spécifiques.
Certains indicateurs pour rendre compte de la performance sociétales des entreprises sont disponibles (réductions des consommations, réutilisation des ressources (eaux minéraux), recyclage des produits et utilisation de matériaux recyclé, gestion des déchets).
Cependant cette évaluation a ses limites et restes très sommaires. Il y a une nécessité d’aller plus dans les standards d’évaluation et de pousser la recherche encore plus en profondeur. L’application globale de l’économie circulaire étant récente, il faut tendre à mieux décrire ses impacts et la gestion de sa performance.
Les auteurs nous recommande donc d’étudier de nouveaux indicateurs pour compléter ceux déjà existants.
Au terme de leur recherche qui ont été menées dans le cadre de l’institut de l’économie circulaire, la conclusion nous montre une validation provisoire de cette économie circulaire, mais une limite quant à ses outils de mesure de performances, encore trop récent et pas assez développé.

B. Limites selon les domaines

Les limites de cette transformation sont à diviser en plusieurs catégories. Tout d’abord, la barrière conceptuelle. Le terme même du concept et sa compréhension ne sont pas bien défini et est souvent perçu comme trop compliqué. La théorie n’est pas assez profonde et les informations ne sont pas assez nombreuses (Cyril Adoue, Rémi Beulque, Laetitia Carré, Julie Couteau, 2014).
Les entreprises ne communiquent pas assez entre elles et ne renseignent pas suffisamment pour pouvoir changer leurs méthodes uniformément et ainsi impacter réellement l’environnement. Une formation, une certaine éducation est à pourvoir pour ainsi permettre un déliement de ces outils et connaissances pour permettre aux entreprises déjà de mieux connaître leur propre système de fonctionnement (matériaux,..) et créer un engagement populaire.

Vient ensuite la barrière économique qui est une des plus importantes. Les nouvelles machines et outils nécessaires à l’implantation de cette nouvelle économie sont pour la plupart très onéreux et plutôt compliqué à installer ce qui n’incite pas les entreprises à se renouveler (Cyril Adoue, Rémi Beulque, Laetitia Carré, Julie Couteau, 2014). De plus, puisque les machines et les logiciels sont nouveaux il faudra aussi former l’équipe en poste pour leur apprendre à s’en servir.
Les entreprises et employés devront complètement changer leur tâche quotidienne et se former presque à un nouvel emploi (pour les postes concernés). L’innovation fait peur et nombres d’entreprises ont peur d’être les précurseurs car les bénéfices financiers ne sont pas encore prouvés réellement.

Paul Sabourin, professeur de sociologie à l’Université de Montréal, est aussi pessimiste par rapport aux comportements des consommateurs. Il affirme que l’économie circulaire ne sera pas la solution : «si elle incite les gens à consommer plus : puisque les consommateurs sont le pivot du changement tant désiré, il faut chercher à mieux comprendre leurs pensées et leurs initiatives devant les contraintes écologiques anticipées, au-delà d’une vision en termes d’ingénierie sociale». La majorité des consommateurs sont pour le moment plus attiré par un produit/service moins coûteux que plus écologique. Pour les auteurs de “Circular Advantage: Innovative Business Models and Technologies to Create Value without Limits to Growth.” (Lacy, P., Keeble, J., & McNamara, R. 2014) les entreprises ont besoin de stabilité. Il faut redéfinir clairement les nouveau postes et le nouveau fonctionnement à adopter.
Avec ce dessin, les entreprises bénéficierait de l’aide nécessaire pour pouvoir se lancer dans l’expérience sans mauvaise surprise.
Nous savons aussi qu’une autre des limites se base sur les finances. Les entreprises engagées dans ce mouvement se trouve en difficultés lorsqu’elles cherchent des investisseurs. Ces demandes peuvent paraitrent trop risqué et spécialement pour les petites entreprises. L’accès est difficile, les résultats ne sont pas encore totalement prouvés ce qui rends réticent les potentiels investisseurs.
Le problème est que sans finance, les entreprises ne peuvent pas agir, il s’agit donc d’un problème de confiance et de preuves.

Nous allons maintenant nous intéresser aux barrières technologiques. Pour arriver à ces changements, des innovations, des processus et des infrastructures sont nécessaires. La progression est déjà grande mais pas suffisante. La technologie a énormément évolué au cours de notre siècle mais les innovations et les recherches se doivent de se perpétuer et atteindre tous les domaines. La recherche et le développement représente malheureusement un prix onéreux qui ne peut pas être entrepris par tout le monde. De plus les infrastructures des entreprises ne sont pas toutes compatibles avec ce changement ce qui requiert de grosses modifications. Les entreprises ont été façonné depuis des années au système linéaire et tout est à revoir (Cyril Adoue, Rémi Beulque, Laetitia Carré, Julie Couteau, 2014). Elles devraient changer leur stratégie, leur équipement, la technologie, sans parler des produits et des composants qui pour le moment ne sont pas fabriqué pour certains dans l’optique d’être recyclés.
Nous savons aussi qu’une autre des limites se base sur les finances. Les entreprises engagées dans ce mouvement se trouve en difficultés lorsqu’elles cherchent des investisseurs.

Enfin, le rôle du gouvernement a aussi un rôle très important à jouer ce qui nous mène aux barrières de restrictions légales. L’Etat doit pousser et encourager les entreprises à accéder à cette transition, la politique influe beaucoup sur l’économie doit prendre son rôle au sérieux (Lacy, P., Keeble, J., & McNamara, R. 2014). Le problème est que les réglementations sont souvent compliquées surtout pour les matériaux ce qui peut rendre difficile certaines actions comme le recyclage.

CONCLUSION

Nous avons pu conclure lors de nos recherches que la plupart des auteurs et chercheurs s’accordent quant aux bénéfices qu’apporte l’économie circulaire. Cependant, les recherches sont assez récentes et pas encore assez approfondi, ce qui limite la recherche de textes contradictoires. Les avantages économique, sociaux et environnementaux sont réels mais dépende d’une union et aide entre les entreprises, les consommateurs et le gouvernement.
Seul un usage de l’économie circulaire sur le long terme nous permettra d\’obtenir des résultats quantifiables et la possibilité d’en mesurer l’impact.
Dans l’immédiat, les entreprise peuvent effectuer des démarches qualitative pour limiter leur impact sur la planète, l\’économie circulaire, la blue économie, l\’écologie industrielle sont des concept qui vise, par le biais d’actions qualitatives, de réduire les émissions de carbone et toute forme de pollution sur le long termes, ces action permettront d\’établir une quantification de l’effort et de montrer le changement qu’il produit sur l’environnement en utilisant des indicateurs permettant de montrer l’efficacité des actions mises en oeuvres.
Nous avons pu déceler quelques complications concernant l’installation de ce système économique dans notre société. Celles-ci couvre plusieurs domaines mais nous avons pu constater dans certaines zones une avancée plus importante qui met de plus en plus en avant sa viabilité.