Montréal : top des choses à faire au Parc Jean Drapeau

La Biosphère, figure emblématique de la ville de Montréal, est l’œuvre du célèbre architecte, inventeur et ingénieur américain Richard Buckminster Fuller. Initialement construite pour abriter pour accueillir le pavillon de Etats Unis lors de l’expo 67, ce dôme a la structure exceptionnelle est aujourd’hui dédie à l’environnement. En effet, depuis 25 ans, un musée de l’environnement y siège. Chaque année, le musée accueille des douzaines d’expositions mettant en jeux différentes technologies vertes, animations scientifiques pour mettre en lumière les enjeux environnementaux actuelles. (Tourisme Montréal, s.d.). Il serait temps de donner une nouvelle allure a la biosphère. Le bail du musée se termine à la fin de cette année et nous voulons proposer un projet pour revaloriser cette dernière. En vue de ce qui précède et pour mener à bien ce travail, présentons tour à tour l’état actuel de la biosphère, les contraintes et priorités qui guideront notre travail, deux projets de revalorisations de la biosphère, notre choix parmi les deux projets après comparaison et enfin les exigences de la subvention FID.

1 La biosphère
1.1 États des lieux

La biosphère de Montréal est un musée entièrement dédiée a l’environnement qui permet au public de visualiser ce à quoi notre planète est exposée et les innovations sociales et environnementales qui permettront d’y remédier. Au départ, cette structure était faite pour accueillir le pavillon des États-Unis lors de l’expo 67. (Tourisme Montréal, s.d.)
La Biosphère propose aux visiteurs des expositions informatives tel que Planète MTL, Écho 67, Habitats 2067. Ces différentes expositions tournent toutes autour de l’importance de la protection de l’environnement, la mise en place d’innovations en accord avec l’environnement et la nature et la météo terrestre (Parc Jean-Drapeau, s.d.).
Cependant la fin de ce magnifique dôme approche. Il est désormais question de proposer des projets qui remplaceront la biosphère dans le cas où celle-ci est enlevée.

1.2 Contraintes et priorités

Afin que le projet soit validé il devra respecter plusieurs contraintes
La première contrainte consiste notamment aux dimensions, du prochain projet qui ne pourra pas dépasser 61m afin de pouvoir être contenu dans le dôme.
La société du Parc Jean-Drapeau impose également des contraintes ; les orientations 3 et 4. Conformément a l’orientation 3, le projet devra viser le développement d’offres touristiques et de loisir afin de faire du parc un endroit plus dynamique et plus attrayant.
Selon l’orientation 4 des critères tel que développer de nouveaux revenus et investissements issus du positionnement durable devront être respectées (Elli, 2017) .

Cette contrainte est intimement liée a celle abordant la rentabilité du parc jean drapeau. Plus le public est attiré par le projet, plus la rentabilisation est facile.
En addition aux contraintes, des priorités sont à mettre en avant dans nos projet. La principale priorité est le règlement pour la subvention FID qui doit être respectes afin de permettre un accès au financement. . On y ajoute l’énergie renouvelable ou durable suivi de la gestion et de la réduction des déchets auquel on ajoute la diversité culturelle, la facilite d’accès et de circulation.
Cependant tout ceci doit se faire dans le respect des ressources qui sont déjà présentes dans le parc.

2 Présentation des deux projets
2.1 L’Ècoco
Aujourd’hui le réchauffement climatique et la pollution sont des problèmes qui nous concernent tous. De plus en plus d’écosystèmes sont détruits, les mers polluées par les déchets et les glaciers en antarctiques ne cessent de fondre créant ainsi de désastreuses conséquences. De nombreuses personnes essayent de se mettre à l’écologie ce qui n’est pas toujours évident à faire quand on ne sait pas comment s’y prendre. De nombreux conseils sont disponibles sur internet mais combien d’entre eux fonctionnement vraiment ? Combien d’entre eux sont rédiger par de experts ? C’est en vue de tout ceci que nous comptons, pour notre premier projet, créer la première école écologique du monde. Dans ce lieu majestueux, les gens de tout âges viendrons apprendre, découvrir et même enseigner des informations et méthodes pour un monde plus écologique.
Dans l’optique de bien détailler notre premier projet, nous présenterons deux principales étapes de sa mise en place : le site de construction et le futur bâtiment.

SITE DE CONSTRUCTION
Le site de construction est la base même d’un projet. Nous tenons à souligner deux points important en rapport avec notre chantier.
D’une part, nous comptons détruire le bâtiment occupant présentement la biosphère pour la mise en place de notre projet car nous pensons que celui-ci n’optimise assez pas l’espace disponible dans le dôme.
D’autre part, nous tenons à faire de notre chantier une construction écoresponsable. En effet, faire attention à l’environnement est un point essentiel de notre projet donc cela doit refléter dans chaque étape de notre construction. Il est possible de rendre un chantier le plus écologique en respectant certaines règles plus ou moins faciles. Parmi celles-ci, on peut citer l’utilisation de peinture n’émettant pas de COV, utilisation des matériaux durables locaux, la privilégiassions de l’éclairage naturel ou encore des petits gestes tels que la réduction et la réutilisation des eaux usées. (Terra verde, 2011).

LA BÂTISSE
Pour ce projet, nous comptons construire un bâtiment de trois niveaux plus sous-sol. Nous nous sommes inspirées de la structure cascadeuse des fontaines pour créer ce bâtiment a l’architecture exceptionnelle. La figure 2 est un croquis du bâtiment.

Figure 2 : Croquis du bâtiment vu de face (© Nghoko,2019).
Au sous-sol, nous avons des réservoirs de biogaz connectés aux latrines de la structure. Si possible, nous aimerions connecter ces réservoirs aux latrines des structures environnantes pour leurs faire découvrir la magie du biogaz. De ce dispositif résultera de l’énergie qui alimentera la nouvelle structure en énergie et de l’engrais que nous pourrions utiliser plus haut (potagers) et à des fins commerciales. Des visites coordonnées par un encadreur seront permises.
Le premier niveau est le cœur de l’Écoco. Grâce à sa structure inspirée des stades de football, il dispose de suffisamment d’espace pour installer de grandes salles. C’est dans ces dernières que se tiendront les différents ateliers écologiques. Nous pouvons en citer quelques :
• Atelier de recyclage
• Atelier de réutilisation
• Atelier de fabrication des produits d’entretien et d’esthétique
• Atelier prendre conscience du mal de la terre
• Sensibilisation sur la pollution
• Et de nombreux autres qui s’y installeront avec le temps
A ce niveau, nous retrouverons également des potagers et des cuisines ou les invites pourrons apprendre les bases de l’agriculture, récolter leurs propres aliments, et apprendre à cuisiner ceux-ci dans les cuisines aménagées à cet effet. Également une un shop-eco qui commercialisera différents produits biologiques.
Enfin, nous aurons une grande table ronde autour de laquelle les personnes pourront se retrouver et partager des repas, discuter. Au centre de cette table ronde se trouve un arbre qui sera plante à l’ouverture de l’Écoeco et dont on pourra suivre l’évolution au fil du temps.
La façade extérieure du premier niveau dispose de cellules photovoltaïques placées à des endroits très stratégiques pour optimiser leur rendement énergétique.

Au niveau 2, nous retrouvons un espace détente assez particulier : une cabane suspendue coupée du monde. En effet aucun signal ne sera disponible dans cette cabane et les invites seront comme coupé du monde extérieur. Cette cabane est subdivisée en trois lieux de détentes. Premièrement un café a chat. C’est un concept exportée d’Asie qui consiste à prendre des cafés entourés de chat que l’on peut caresser, chouchouter, nourrir et dans notre cas même adopter ! Deuxièmement nous avons une bibliothèque conscience dont les livres ne porterons que sur l’ouverture d’esprit, l’acceptation des autres et l’acceptation de soit même. La troisième pièce sera dédiée à la découverte de nouvelle techniques de détente. Chaque semaine, les visiteurs auront la chance de découvrir de nouvelles méthodes de détente provenant des différents coins du globe.

Le niveau 3, le dernier est une terrasse avec un plancher de verre inspirée de la CN Tower. De ce point d’observation, les invites pourront observer le merveilleux paysage du Parc Jean Drapeau

2.1 Écocentre
Mon projet consiste en un centre commercial écoresponsable. Les centres commerciaux, sont très présents en Amérique du Nord. La femme américaine passe en moyenne 190 heures par année à magasiner, ce qui correspond à environ 4 heures par semaine (Johanson, 2015). La mise en place d’un centre commercial au sein du parc Jean-Drapeau permettrai de dynamiser celle-ci. Cependant le centre commercial sera construit dans le respect de l’environnement et des différentes contraintes qui nous ont été imposées.
Une étape primordiale consiste au choix de matériau de structure. Contrairement a un centre commercial classique, l’écocentre sera construit a base de bois, plus précisément de bois lamellé croise (CLT).

Le bois lamellé croisé est un matériau de construction développés avec des techniques d’ingénierie. Ce matériau a vu le jour en Europe durant les années 90. Ce sont des panneaux massifs pouvant être utilise comme matériau de structures ou de finition. Ce matériau est fabrique par l’assemblage de plusieurs planches de bois dans un sens puis dans l’autre afin d’assurer sa stabilité (Cecobois, CWC, QWEB, s.d.).
Selon The Economist, les constructions à base de bois seraient le futur des grandes villes (2018). De nombreux bâtiments dont la structure est faite de bois lamellé croise ont déjà vu le jour, nous pouvons notamment citer le ‘’tall wood residence’’ de Vancouver qui est long de 53m (Mills, 2017). D’autres projets sont en cours de conception, c’est l’exemple du ‘’tree tower’’ de Toronto qui a d’ailleurs été inspiré par le ‘’Habitats 67’’ de Montréal (Luxford, 2019).
Le bois peut être perçu comme un matériau très inflammable, cependant ce n’est pas réellement le cas. Le mécanisme employé par le CLT pour éviter un feu est le même que celui d’un arbre. Lorsqu’il est exposé a un feu, l’isolant qui le constitue lui permet de bruler d’une lenteur extrême ce qui implique une minimisation des dégâts.
En plus de sa capacite a resister au feu, le bois est beaucoup plus que les materiaux de constrictions classiques ; le beton et l’acier.
Le bois lamelee croisee arrive sur le chantier en etat prêt pour l’assemblage ce qui permet de reduire le temps de construction du batiment (The Economist, 2018).
Le CLT est de base un produit ecoresponsabke, sa commercialisation a pour but ultime de reduire l’utilisation ciment qui en plus de son cout energetique de fabrication, est un facteur important de pollution. Il est l’acteur principal du secteur du batiment qui dailleurs est reponsable d’environ 13% de l’emission annuelle de dioxyde de carbone (Futura sciences, s.d.).
Le CLT sera jumelee a plusieurs autres techniques afin de permettre une forte absorption de dioxyde de carbone, ou autrement dit d’assurer le minimum de pollution dans l’air possible. La premiere est le toit vert qui comme son nom l’indique est un toit qui abrite un jardin. Ensuite le jardin verticale qui sera constitué cette fois-ci de plantes grimpantes qui seront placé le long du batiment permettant en plus de rendre le batiment plus attractif. Enfin il y aura des marches vegetalisés au sein du centre.
Il y aura un toit vert, qui comme son nom l’indique est un toit qui abrite un jardin, ensuite on ajoutera tout au long du bâtiments des arbustes et pour finir, au sein du centre des marches végétalisées seront implantées. Toute cette verdure a en fait pour but ultime d’apsorber le maximum de CO2 possible, autrement dit, de reduire la pollution dans l’atmosphere.

L’autre facade du projet porte sur L’energie et la gestion de dechet.
La source d’énergie du centre commercial est d’une importance capitale car si elle n’est pas choisie correctement, elle peut être source de pollution.
La source d’énergie durable la plus facilement accessible est notamment l’énergie solaire. Des panneaux solaires accompagnés d’un système de stockage seront installée en parallèle avec le toit vert. Une partie de l’énergie sera récupérée et une autre partie sera stocké pour les jours ou il n’y en aura pas assez, notamment durant l’hiver. En plus de cela des marches génératrices d’énergie seront jumelées aux marches végétalisée. Ces marches permettront de récupérer l’énergie dépensée par une personne qui marche et la stocker afin qu’elle soit réutilisée pour aliment le centre . comme l’a dit Lavoisier ‘’ rien ne se perd rien ne se crée tout se transforme’’ (1789, p.107). Afin de maximiser les sources d’énergies des éoliennes seront également installée sur le toit, afin de générer de l’énergie à l’aide du vent .
Les déchets aussi doivent être gérer selon un système, autrement elles peuvent être source de pollution. Nous allons d’abord aborder les déchets du chantier. Comme je l’ai mentionner dans la première partie, le bois lamellé croise arrive sur le chantier prêt à être assemblée, ce qui implique que les déchets du chantier seront moindre. Dans le cas ou il y’en aurait beaucoup, cet excédant pourrait être utilisé pour fabriquer des bancs publics. Lorsqu’il s’agit des déchets du centre en soit, ils seront divisé en plusieurs catégories. Une première partie de déchets réutilisables, ceux-ci seront placés dans une boutique qui proposera des matériau réutilisable. Ce qui ne seront pas vendu seront offert à des organismes qui en auraient besoin. Quand a ce qui ne sont pas réutilisables, en général les déchets du grand public, ils seront recyclés après être placé dans des bacs de triage. Ceci permettra de réduire en grande partie les déchets, il restera uniquement les ordures, ceci seront renvoyés dans une usine de gestion d’ordure.

Afin d’être écoresponsable jusqu’au bout, différentes politiques seront imposés dans ce centre. Les boutiques seront en priorités louées a des marque écoresponsables, aux autres marques un cout de location plus cher sera imposé.
Il y’aura également une interdiction de l’usage de sachet plastiques. Ceux-ci seront substituées par de sacs composables et/ou biodégradables.

L’ensemble de ce qui a été développée fait du projet de centre commercial, un projet en total accord avec les différentes priorités et contraintes qui ont été imposées. Ce respect des conditions impliquent également le respect de l’environnement c’est à dire une construction qui permet d’illustrer le fait qu’un centre commercial peut être construit sans un cout environnemental conséquent.

3 Projet adopté
3.1 Tableau de comparaison

Les deux projets présentés précédemment sont très captivant et remplissent tous les deux les différentes contraintes posées au début de notre devoir. Maintenant comparons ces deux projets suivant les priorités pour voir lequel réponds le mieux à celles-ci. Le tableau suivant fait état de cette comparaison
Tableau 1 : tableau de comparaison des deux projets
Priorités L’Écoco Écocentre
Énergie renouvelable et biogaz biogaz et cellules photovoltaïques Énergie solaire
épanouissement différents ateliers magazinager
Les trois R atelier recyclage et réduction des déchets Système de gestion déchets
Facilite d’accès de de circulation 2 ascenseurs
3 ascenseurs
escalator
Période hivernale 75% disponible 100% disponible
Diversité culturelle rencontre et ouverture facile Non applicable

Après études de ce tableau, nous pouvons conclure que les deux projets répondent bien aux priorités mais le projet 1 se démarque plus. En effet l’Écoeco dispose de plus d’énergie renouvelable et est plus accessibles aux maximum de personne venant de toute horizon.
Une école écologique est une première au Canada. Ce projet est une innovation dans le monde de l’enseignement, de l’écologie et de la recherche. De par sa structure unique, l’Écoco constituera également un lieu de tourisme s’intégrant parfaitement à la couche touristique du parc Jean Drapeau.

Conclusion

Nous avons donc vu que la biosphère est un emblème pour la ville de Montréal et pour le remplacer nous avons proposé deux projets qui respectent les priorités et les contraintes auquel on est soumis, nous avons vu que le projet de l’école du savoir et celui du centre commercial écoresponsable. Puis lorsque nous les avons comparés nous avons déceler que le meilleur projet est celui de l’école car il répond le mieux aux critères.
Nous pouvons donc conclure que ce dernier assurera un maximum de potentiel lorsqu’il s’agit du parc.

Références :
 Antoine lavoisier. (s.d.). Dans Wikiquotes. Consulté le 19 novembre 2019, Tiré de https://fr.wikiquote.org/wiki/Antoine_Lavoisier
 Biosphère (Montréal). (28 aout 2019). Dans Wikipédia. Consulté le 30 Octobre 2019, tiré de https://fr.wikipedia.org/wiki/Biosph%C3%A8re_(Montr%C3%A9al)
 Cecobois (s.d.). Bois lamellé-croisé (CLT). Tiré de https://cecobois.com/bois-lamelle-croise-clt
 CWC (s.d.). Bois lamellé-croisé (CLT). Tiré de https://cwc.ca/fr/comment-construire-en-bois/produits-du-bois/bois-massif/clt/
 Futurasciences (s.d.). Réduire les gaz à effet de serre pour stopper le réchauffement ?. Tiré de https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/rechauffement-climatique-reduire-gaz-effet-serre-stopper-rechauffement-1084/
 Gouvernement Canada. (2016). Système géothermique de la Biosphère. Tiré de https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/biosphere/a- propos/batiment-ecologique/systeme-geothermique.html
 Gouvernement du Canada. (09 septembre 2019). Renseignements généraux sur la Biosphère. Tiré de https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/biosphere/renseignements-generaux.html
 Johanson E. (15 janvier 2015). The Real Cost of Your Shopping Habits. Forbes. Tiré de https://www.forbes.com/sites/emmajohnson/2015/01/15/the-real-cost-of-your-shopping-habits/#6baa4a7c1452
 Mills F. (4 octobre 2017). Top 5: The World’s Tallest Timber Buildings. The B1M. https://www.theb1m.com/video/top-5-the-world-s-tallest-timber-buildings
 Nadeau J.( 22 février 2019). Quel avenir pour la Biosphère de Montréal? Tiré de https://www.ledevoir.com/societe/548358/quel-avenir-pour-la-biosphere-de-montreal
 PARC JEAN DRAPEAU. elli. (30 novembre 2017). Réflexion stratégique de développement durable.Tiré de www.parcjeandrapeau.com/files/publications/3_3_3_rapport_developpement_durable.pdf
 Luxeford C. (18 Avril 2019). This Breathtaking ‘Tree Tower’ Is the Changing Face of Toronto’s Cityscape. Tiré de https://theculturetrip.com/north-america/canada/articles/this-breathtaking-tree-tower-is-the-changing-face-of-torontos-cityscape/
 QWEB (s.d.). Bois lamellé-croisé (CLT). Tiré de https://quebecwoodexport.com/produits/construction-bois/bois-dingenierie-et-ossature-en-bois-massif/bois-lamelle-croise-clt/
 Terra verde. (17 aout 2018). Construction écoresponsable. Tiré de https://www.terra-verde.ca/construction-ecoresponsable/
 Tourisme Montréal. (s.d.). Biosphère, Musée de l\’Environnement. Tiré de https://www.mtl.org/fr/quoi-faire/musees-et-culture/biosphere-d-environnement-canada
 The Economist. (1 fevrier 2018). Wooden skyscrapers could be the future for cities [vidéo en ligne] tiré de https://www.youtube.com/watch?v=2DPp2NcnTb0