Le changement climatique

Qui est un problème que nous devons traiter sous peu, qui est causé principalement par l’émission des gaz à effet de serre. Ici, au Québec, la majeure partie de ces gaz sont émis par les véhicules à combustion, qui roulent grâce à l’essence. Une solution pour remédier à de problème majeur, c’est l’utilisation du véhicule électrique. Avec cette invention, nous pouvons réduire l’émission des GES . Le présent document, créé à l’aide de références fiables, tel que le Gouvernement du Québec, le CIRAIG, Hydro-Québec, le GIEC, l’émission Découverte, Équiterre, Le Circuit Électrique, La Presse, l’UNESCO, l’édition du soir, Climat.Be, Roulezélectrique.com, Surfrider, Fututa Sciences ainsi que Ressources Naturelles du Canada présentera la description des véhicules électriques, l’analyse d’un cycle vie d’un véhicule électrique, l’analyse de vie d’un véhicule conventionnel, la comparaison entre le véhicule électrique et le véhicule conventionnel, les impacts des GES sur la planète ainsi que la conclusion de la recherche, ce qui inclue les perspectives d’avenir et notre opinion sur le sujet.

DÉVELOPPEMENT

Le véhicule électrique est une invention permettant de réduire jusqu’à 65% les impacts sur les changements climatiques par rapport au véhicule à combustion, ici, au Québec. Une auto à l’électricité a trois composantes qui sont très distinctes à l’auto conventionnelle essentielles à la propulsion du véhicule. Celles-ci sont la batterie, dont la grosseur varie selon le modèle, l’onduleur, et finalement, le moteur électrique. La batterie envoi un courant électrique d’environ 300 volts dans l’onduleur, qui va transformer le courant continu, généré par la batterie, en courant alternatif. Ce circuit permettra de faire varier la vitesse de rotation du moteur, pour ainsi modifier la vitesse de mouvement du véhicule. Ces véhicules ont une autonomie de plusieurs centaines de kilomètres, allant de 100 kilomètres à 400 kilomètres, voire plus. Plus la batterie est grosse, plus elle peut stocker de l’énergie, et donc cela augmente l’autonomie.
La production d’un véhicule émet beaucoup de gaz à effet de serre. Cela est dû à une utilisation plus grande de carburant pour la production des différentes pièces de la voiture. Par la suite, le moteur et la batterie contient beaucoup de minéraux rares, ce qui ferait baisser significativement les réserves mondiales. Par exemple, nous avons présentement, selon nos connaissances actuelles sur nos réserves mondiales, encore pour environ 709 ans de lithium. Si nous produisons 15 000 000 véhicules électriques d’ici 2030, notre réserve baisserait à 537 ans. Cela mettrais énormément de pression sur les

producteurs de lithium. Par la suite, le transport du lieu de fabrication vers l’utilisateur a un impact minime sur la planète, soit d’environ 2% des impacts totaux possibles. Pour continuer sa vie, le véhicule électrique doit maintenant être utilisé. Sa phase d’utilisation s’avère elle aussi un impact minime sur tous les plans. En effet, au Québec, la production de l’hydroélectricité émet très peu de GES, soit de 20,27 grammes de CO2 par kilowattheure d’électricité produite. Au fil des cycles de recharge et des décharges des batteries, cette pièce en question se dégrade. Après 2000 cyclages de recharge, la batterie perd 25% de sa capacité optimale. En hiver, l’autonomie des batteries au lithium-ion diminue d’environ de 40%, selon les modèles encore une fois. Ce phénomène est dû qu’au froid, avec des conditions hivernales, l’autonomie baisse de 25%. De plus, si nous utilisons le chauffage, ce nombre peut baisser jusqu’à 40%. Finalement, vient le temps de l’élimination du véhicule à la fin de sa vie. Le problème, c’est que nous ne recyclons généralement pas le lithium et quelques autres minéraux. Au total, seulement 75% de la batterie est recyclée. On pourrait réutiliser cette parte du véhicule pour l’utiliser à d’autres fin, comme le stockage local d’énergie. Mais viendra un jour où nous devrons l’éliminer complètement.
La voiture conventionnelle, quant à elle, produit deux fois plus de CO2 qu’une voiture électrique. Le transport, tout comme la voiture électrique, aura des impacts minimes. Par contre, lors de son utilisation, nous devons brûler des hydrocarbures en grande quantité, soit d’environ 7,4 litres d’essence au 100 kilomètres. Les rejets de cette combustion sont composés de gaz indésirables, tel que le CO2, qui participe aux changements climatiques et à l’acidification des océans. Il y a aussi du monoxyde de carbone, qui est considéré comme toxique, des particules fines, qui peuvent causer des problèmes respiratoires, des composés organiques volatils, qui eux aussi forment le smog, sont toxiques et même cancérigène, et finalement, des oxydes d’azote, qui participe à la formation du smog, qui favorise des problèmes respiratoires, à l’acidification des océans et de la terre, ainsi qu’à l’eutrophisation des milieux marins.
Donc, si nous comparons les deux types de véhicules, la voiture électrique émet deux fois plus de gaz à effet de serre que la voiture conventionnelle durant sa fabrication, en plus de contribuer à l’épuisement des ressources minières. Oui, elle a pollué plus que le véhicule conventionnel à ce stade, mais elle se rattrape lors de son utilisation. Entre 29 000 kilomètres d’utilisation (soit environ deux ans d’utilisation) et 85 000 kilomètres d’utilisation (soit environ six ans d’utilisation), le véhicule électrique se rattrape pour la plupart des plans, sauf pour l’épuisement des ressources minérale. En effet, la voiture conventionnelle émet beaucoup de GES (17,02 kilogramme de CO2 aux 100 km) lors de son utilisation.
Les changements climatiques sont principalement causés par les gaz à effet de serre, dont le CO2. Ces hausses de température font varier la moyenne de température de la planète. Actuellement, nous avons déjà augmenté cette moyenne de 1oC depuis le début de l’industrialisation. Selon le GIEC, nous ne devrions pas faire augmenter ce nombre à plus de 1,5oC, sous peine d’aggraver des problèmes et possiblement de les rendre irréversibles. Les changements climatiques peuvent causer des précipitations très abondantes, des chaleurs extrêmes, des sécheresses, la désertification, la fonte de la neige au Groenland et en Antarctique, etc. La fonte de ces bancs de neige géants impliquerait aussi une hausse du niveau des océans, ce qui submergerait plusieurs villes sur le bord de cours d’eau. Les sécheresses rendraient l’agriculture plus difficile. Et vu que nous n’aurons mois de place où s’installer sur le bord des cours d’eau actuels, nous allons surement empiéter sur les terres agricoles. L’agriculture deviendra difficile ! Pour réduire ces impacts, nous devrons agie d’ici 2030 (baisser de 45% nos émissions de CO2 actuelle) et les bannir complètement d’ici 2050. Il faut agir dès maintenant.

CONCLUSION

En résumé, la voiture électrique marque plus de points au niveau environnemental qu’une voiture à combustion interne. Malheureusement, la voiture conventionnelle marque plus de points quant à l’épuisement des ressources minérales. La phase de fabrication du véhicule électrique est plus polluante qu’un véhicule conventionnel. Par contre, elle se rattrape lors de son utilisation. Selon nous, il faudra rapidement agir dans le bons sens pour la planète. Au Québec, 41,7% des GES proviennent des transports. L’électrification des transports feraient diminuer considérablement les émissions de GES, qui se sont élevés à 81 700 000 tonnes en 2015, dont 34 068 900 tonnes proviennent des transports. Nous devons agir pour la planète, pour le bien des océans, pour le bien des écosystèmes et des générations futures. Il faudra penser à une technique pour recycler le lithium dans les batteries pour sauver plusieurs tonnes de ce minéral. Même si les impacts environnementaux de sont pas totalement éliminés, sauf sans quelques pays, certains états des États-Unis, la voiture électrique est préférable à la voiture conventionnelle.