La pollution est l’un des signes indiquant que les humains

Plus des deux tiers de la surface de la Terre sont recouverts d’eau ; moins d\’un tiers est occupé par voie terrestre. Comme la population mondiale continue à augmenter, ces populations exercent une forte pression sur les ressources en eau de la planète. Apparemment, les activités humaines ont abusé l’usage de ces ressources par pollution. On sait que la pollution est un problème créer par les humains parce que la pollution a été introduit récemment dans l’histoire de planète. Lors la progression de l’industrie, personne ne pensait que la pollution ne poserait jamais un problème grave parce qu’ils étaient beaucoup moins nombreux. Les gens pensaient autrefois que les océans sont trop grands pour qu’ils soient infectés par cette pollution créer par l’industrie. Aujourd’hui avec 7 milliards de personnes sur la planète, c’est devenu évident qu’il existe des limites pour tout. Heureusement il existe des gens qui veulent protéger notre planète et lutter contre la pollution par créer des projets qui aident à réduire les déchets marins. On va discuter et présenter 3 projets OCEAN CLEANUP, PLASTIC ODYSSEY et SEA CLEANERS.
1. The Ocean Cleanup

Figure 1: Projet Ocean Clean Up.
Ce projet a été proposé par un jeune néerlandais nettement à l’âge de 18 ans en 2013. Ayant le mal de mer il a quand même trop réfléchi à une solution pour lutter contre la pollution des mers. Il a fait un TEDTalk en 2013 et il a reçu un aide de 2 millions de dollars pour commencer à réaliser son projet. Ce projet est censé à enlever 50 % de déchets plastiques en cinq ans. Ce n’est pas un grand pourcentage mais c’est mieux de débarrasser d’une partie de Le fameux septième continent situé entre la Californie et Hawaï.
1.1 Fonctionnement
Ce projet consiste de 600 m de tubes de polyéthylène haute densité (HDPE), c’est un long tube de 2 km de longueur avec une profondeur de 3 m qui prend le forme U (fer à cheval). Ce tube est devisé en deux, chaque système est équipé par des lanternes, réflecteurs radar, GPS, balises anticollisions, caméras. Le système dépend 100% sur l’énergie verte puisque tous les éléments électroniques sont alimentés par l’énergie solaire. Comme le système est « free-floating » comme le plastique il suit le même chemin de plastiques flottant sur l’océan. Ce système se déplace grâce à trois forces naturelles

; Le vent, les vagues et le courant d’eau comme indiqué en figure 2. Il utilise 0 énergie polluante ce qui le rend un avantage. Le système a une vitesse basse pour qu’il soit capable de capter les plastiques mais pour être plus précis le système bouge un peu plus vite que les plastiques pour les mieux capter. La vitesse du jupe (profondeur) est équivalent au celle des plastiques pour bien maintenir les plastiques capter cependant la partie de la surface se déplace plus vite grâce aux vagues et au vent.

1.2 Evacuation des déchets.
Quand le système est plein, les capteurs envoient un signal à la base, ils envoient un navire pour ramasser ses déchets plastiques comme la figure 3.

Figure 3 : le processus de ramasser les déchets.

Après qu\’ils ramassent les déchets, ils retournent pour les trier et les recycler. Ensuite, ils le vendent pour gagner d\’argents pour financer leur projet.
1.3 Flexibilité de projet et durée de vie
Le tube est fabriqué à partir de polyéthylène haute densité ce qui le rend souple et flexible. Ils ont fait plusieurs essais pour tester la flexibilité du tube contre les fortes vagues. Dans la figure ci-contre

Figure 4 : l\’essais de prototype en mai 2018 dans l\’océan pacifique.
On voit un des essais qu\’ils ont déjà fait dans l\’océan pacifique pendant les fortes vagues et après beaucoup des essais ils ont réussi à bien construire le projet qui était mise en place en septembre et il s\’appelle le système 001, et il est sur son chemin vers le patch des déchets. Son chemin est suivi par les satellites et mise à jour chaque second, on peut même le regarder sur leur site internet.
1.4 Protection de vie marin.
Comme notre but est de protéger l\’océan et tous les mammifères marins, ils ont construit ce projet de sorte qu\’il ne gêne pas les animaux marins de quatre manières.
1. La jupe (profondeur) étant impénétrable, le courant d\’eau circulera sous la jupe, guidant avec lui les organismes qui ne peuvent pas se déplacer activement, tandis que le plastique (qui flotte) reste à l\’intérieur du système.
2. Le système se déplacent dans l\’océan avec une vitesse extrêmement basse, raisonnablement lentes pour permettre aux animaux de l\’éviter.
3. La jupe n\’étant pas un filet, la vie marine ne peut pas être capter ou gêner.
4. Ils ne retirèrent le plastique de l\’eau que de temps en temps, ce qui signifie que les gens seront toujours présents pour vérifier la vie marine avant que le plastique ne sorte de l\’eau.

1.5 La navigation marine
En cas ou un bateau se trouve bloqué devant le patch, ils ont assuré la sécurité des navires par equiper chaque système lanternes, de réflecteurs radar, de signaux de navigation, de GPS et de balises anticollision. Le système AIS transmettra en permanence l’emplacement de système aux navires qui passent et le GPS suivra l’emplacement de système, s’ils quittent le patch. Les garde-côtes américains définiront la zone en tant que zone d\’opérations spéciales et publieront un avis aux navigateurs concernant la présence de nos systèmes.
2. The Sea Cleaners \”Manta\”

Figure 5 : Le navire Sea Cleaners

Un projet qui a été créé par Yvan Bourgnon en 2016 pour lutter contre la pollution en mers. Un grand navire ce projet présente l\’idée de \”Manta\”. Ce projet va prendre place en 2022 avec le cout de 25 millions d\’euros.
2.1 Fonctionnement
Ce bateau mesure une longueur de 70 m et 49 m de largeur. Ce bateau pourra stocker jusqu’à 250 tonnes de déchets compactées en balles de 1 m3 dans ses coins. Il a fixe un objectif que ce bateau être autonome au niveau d\’Energie a 75% du coup il a dissocié deux phases de production
La première ou le bateau collecte les déchets à faible vitesse à 3 nœuds, le bateau fonctionnera avec des moteurs électriques alimentes par des panneaux solaires et des éoliennes.

Figure 6 : la production d\’énergie à partir d\’éoliennes.

La deuxième phase de production, c\’est le retour des déchets collectées à terre, c\’est la phase plus vite ils partent a 9 ou 10 nœuds environ de vitesse de croisière et ils utilisèrent quatre grandes mains avec des voiles pour pouvoir rejoindre le port le plus rapidement possible.

Figure 7: les voiles.

2.2 Capture des déchets
Afin de capter les gros déchets qui se trouve dans la mer, ils ont installé une grosse a l\’arrière du bateau pour capturer les gosses nets, les filets de pécheur et ils pourront le stocker à l\’intérieur du bateau dans des grands conteneurs.

Figure 8 : capture des nets.

Pour les petits déchets, ils seront piégés entre les coques du bateau par des tapis roulants qui feront remonter les déchets à bord du bateau.

Figure 9 : le tri des plastiques.

Après qu\’ils remontent bord, une équipe d\’operateurs va les trier pour séparer les plastiques et les matières organiques qui repartiront à la mer directement ensuite les déchets plastiques vont continuer leur chemin pour être compactée dans des balles de 1 m3 et ils peuvent alors les stocker à l\’intérieur du bateau 600 balles de 1 m3 soit l\’équivalent de 250 tonnes de plastique avant de les ramener a terre afin de suivre une filière de recyclage.

Figure 10 : les plastiques compactés.

Pour augmenter l\’autonomie du Manta, ce bateau sera équipé d\’une pyrolyse ; un incinérateur qui génère du carburant à partir de plastique non recyclable.

3. Plastic Odyssey
C’est un projet qui a été créé par SIMON BERNARD. On a projeté un navire qui peut traiter les déchets plastiques dans l’atelier de recyclage, les déchets recyclables vont être tries quand le bateau s’arrête à bord, ceux qui ne sont pas recyclables vont être transformé en carburant (en diesel et en essence) pour alimenter le moteur.

Figure 11 : Image latéral de plastique Odyssey

On voit que les compositions de bateau à l’extérieur. Un routage météorologique pour prévoir la météo et sentir la direction du vent, avec ce logiciel, on peut aussi minimiser la consommation parce qu’il permettre de s’aider des vents et des courants favorables. Une filtration des gaz d’échappement pour purifier des gaz polluants.

Figure 12 : la structure principale dans le bateau

Panneaux solaires est une des sources d’énergie pour maintenir le fonctionnement quotidien de bateau. Les structures principales pour traiter les déchets, broyage et stockage de déchets plastique, espace atelier du recyclage, unité de plastique-carburant. Lorsqu’on collecte les déchets, on va les trier soit recyclable soit non recyclable. Les déchets recyclables vont transmettre dans espace atelier du recyclage. Les machines de recyclage seront y installées : des extrudeuses, des presses, des métiers à tisser et autres pour recycler ou réutiliser les déchets. Mais cet espace est aussi servi de lieu de vie à l’équipage. Les déchets non recyclables, notamment les plastiques, vont être déchiquetés avant le stockage dans un espace de 20 ㎡. Ils sont récupérés pour qu’on puisse les transformer en carburant. Dans l’unité de plastique-carburant, on fait des processus pour transformer les plastiques en noir de carburant, en diesel et en essence.

Figure 13 : processus de transformation du plastique en carburant.

① Boyeur : déchiqueter des plastiques
②Réacteur pyrolyse : réagir à 430℃ sans oxygène pour casser les molécules de plastiques et les transformer en carburant (des vapeurs d’essence, des gaz synthèses et le noir du carbone). Cette unité (noir de carbone inclus) sera développée puis utilisée à bord.
③ Catalyseur : casser les grosses molécules en petites pour obtenir plus d’essence.
④ Condensateur : deux colonnes de condensation travaillent dans les différents températures pour séparer et récupérer le diesel et l’essence. De 320℃ à 200℃ pour le diesel et de 200℃ à 20℃ pour l’essence.
Réservoir : récupérer séparément le diesel et l’essence.
⑥Récupération de gaz et usage : Les gaz non condensable et inflammable qui ne sont pas liquéfiés sont aussi récupérés puis les bruler à l’air pour alimenter le réacteur de pyrolyse en chaleur.

Théoriquement, ces processus permettent de produire 45L de diesel et 15L d’essence tous les 3 heures. Dans ce projet, on considère que les plastiques ne sont pas le gaspillage mais aussi une source d’énergie. Plastic Odyssey est un projet qui est vraiment raisonnable, on a réussi à traiter parfaitement les déchets. Il va partir de Marseille en septembre 2019 et faire un tour dans les nombreux pays qui sont plus pollués pendant 3 ans. Il n’est pas pour ramasser des déchets de mer mais plutôt utiliser l\’Energie de plastiques pour le réduire.

4. Méthode simple

A bord de la mer, on sait que les plages ont toujours plein de plastiques parce qu’on a accueilli des voyageurs. Mais aussi on a bien sur les gens qui veulent bien protéger notre terre, ils font ce qu’ils peuvent pour réduire les plastiques. Par exemple, il y a des magasins à la plage qui proposent les voyageurs de ramasser les plastiques et les récupérer au magasin après leur donnent un café, il y a aussi des gens qui flotte dans la mer tous les jours pour ramasser des déchets flottants et autres.
Il y a aussi deux jeunes qui ont inventé une petite poubelle qui s’appelle SEABIN pour récupérer les déchets.
4.1 SeaBin

Le Seabin monte et descend avec la plage de marée collectant tous les déchets flottants. L’eau est aspirée de la surface et passe à travers un sac collecteur à l\’intérieur du Seabin, avec une pompe à eau submersible capable de déplacer 25 000 LPH (litres par heure), branchée directement dans une prise 110/220 V. L’eau est ensuite pompée dans la marina, laissant les déchets et les débris piégés dans le sac de récupération pour être éliminés correctement. Cette poubelle a une petite taille, on peut l’installer n’importe où.