Relations entre les États-Unis et l’Iran

Au courant des années deux nations soulève des événements qui reflètent sur les autres sociétés aujourd’hui, ce sont les États-Unis et l’Iran. «Le risque de rupture est réel, estime François Heisbourg, conseiller spécial du président de la Fondation pour la Recherche stratégique, qui note que les États-Unis et l’Iran tentent chacun d’impressionner l\’adversaire en surestimant la volonté de l’autre d’éviter un embrasement.» (Bourdillon, 2019) Les premières relations politiques et commerciales entre ces deux nations sont devenues négatives. Au courant des années, il y a eu des nuances graves qui ont contribué à l’état de leurs relations présentement. Ces événements sont, l’histoire de leurs premières relations, la révolution iranienne de 1979, les tensions nucléaires sous trois présidents américains, puis les conséquences qui abordent ces conflits.

Historique des premières relations
Malgré l’état des deux nations aujourd’hui, les premières relations entre la République islamique de l’Iran et des États-Unis ont été réalisées avec une entraide amicale. Deux missionnaires américains du ‘Américain Boards of Commissioners for Foreign Missions’, Justin Perkins et Asahel Grant ont été recrutés pour avancer l’industrialisation de l’Iran en 1834 (Maloney, 2019). Les missionnaires ont été établi une douzaine d’hôpitaux ainsi que des écoles à travers du pays. Ceci a eu un impacte favorable pour former des générations éduquées et avoir la chance aux ressources requises. Plus tard, en 1883, Samuel G.W Benjamin a été nommé par les États-Unis le premier diplomate envoyé en Iran. Les relations ambassadeurs ont été établies en 1944. En ajout à la fin du XIXe siècle, les États-Unis avait grandement aidé avec l’évolution industrielle de la Perse pour une mise en place d’un système de chemin de fer pour relier le golfe Persique à Téhéran. Cela a grandement impacté et privilégié les transports commerciaux à travers du pays.
Les États-Unis ont continués à avoir peu d’intérêt aux affaires perses. Des demandes aux États-Unis ont été faites pour aider la Perse avec leurs problèmes financière à la suite de la Première Guerre mondiale. Cette demande a été opposée, puis les États-Unis retire de cette tâche. À la suite de cet événement, les États-Unis n’avaient aucune préoccupation avec l’Iran jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.

La Seconde Guerre mondiale
Le commencement des tensions politiques entre les deux nations a débutées durant la Seconde Guerre mondiale. Au cours de la guerre, l’Iran était envahi par le Royaume-Uni et l’Union soviétique, tous les deux des alliés de l’États-Uni. Ces relations ont demeuré positives jusqu’aux dernières années

du gouvernement de Mohammed Mossadegh, le premier ministre de l’Iran. Il a été renversé par un coup d’État organisé par le CIA et M16, des services de renseignement extérieurs du Royaume-Uni. Le but de cette invasion était principalement pour sécuriser les champs pétroliers britanniques à Abadan, Iran. Cette route a été garanti vers l’URSS, engagée par une intense lutte contre l’Allemagne nazie sur le Front de l’Est.
Durant cette occupation, le Shah Reza Pahlavi (roi de l’Iran), a été jugé coupable de trop de sympathie avec l’Axe puis fut déposé et remplacé sur le trône par son jeune fils Mohammad Reza Pahlavi (La Presse, 2019).

Politique du pétrole en 1950
La nationalisation du pétrole iranien, en 1951, a soulevé de l\’irritation aux entreprises britanniques. Selon le dictionnaire Larousse,« la nationalisation est un ensemble d’opérations par lesquelles une ou plusieurs entreprises privées sont soustraites par voie d’autorité au régime capitaliste, déclarées propriétés de la nation et dotées d’une structure et d’une organisation nouvelles» (Larousse, 2019). Les États-Unis et le premier ministre de l’Iran, Mohammad Mossadegh on essayer de convaincre le Shah Reza Pahlavi à bord de la nationalisation. Il se solde par l’arrestation du premier ministre en 1953. La nationalisation a été annulée puis une nouvelle entente était réalisée avec les compagnies de l’ouest. Malgré le déséquilibre, l’augmentation des profit pétroliers permettent à l’Iran d\’actualité son économie. (Perspective Monde, 2019). Plusieurs crises entre les deux pays ont empêché au gouvernement iranien de mettre en place une politique extérieure.

La Révolution de 1979
Il y a eu une prise de pouvoir islamique renversant l’état impérial d’Iran dans la dynastie du roi Pahlavi. (Dellavalle, 2012). Donc, cette révolution a mené que la plupart des lois est maintenant basée sur le Coran.

Figure 1 Crise d’otage à l’ambassade américaine

‘Mort à l’Amérique, le grand Satan’, était un slogan qui avait débuté dès les premières manifestations massives qui ont menées à la victoire de l’évolution islamique en février 1979. Le geste met le feu a réclamé « la ligne de l’Imam Khomeiny. », le premier guide de la révolution qui a pris en otage les 52 diplomates qui se trouvaient à l’ambassade américaine, à Téhéran. Le gouvernement les ont détenus pendant quatre cent quarante-quatre jours avant de les libérer en janvier 1981, le jour de l’élection de Ronald Reagan comme président des États-Unis (Kodmani, 2019). «Officiellement affirmé le 1er avril 1979, la République islamique avait l’intention de trouver des ennemis pour mieux s’affirmer qui était, principalement, les États-Unis et l’Irak». Cela est une République théocratique, qui est «un gouvernement par un souverain considéré comme le représentant de Dieu.» (La Toupie, 2019) En novembre 1979, l’ambassade américaine à Téhéran était prise de force et les otages étaient libérés en 1981. Les quelques principes démocratiques étaient vite restés réprimée par l’autoritarisme religieux. Le régime de l’ayatollah Imam Khomeiny est devenu exclusivement religieux. (Dellavalle, 2012).

Destruction de l’avion Iran Air 655 de 1988
« Le peuple iranien n’oubliera jamais ce crime», a affirmé le porte-parole de la diplomatie iranienne, Bahram Qassemi. «Le comportement des États-Unis à l’égard de l’Iran et de la nation iranienne tout comme à l’encontre des pays qui refusent leur diktat est bien expressif: un pays qui n\’hésite jamais lorsqu’il s’agit de prendre les mesures les plus inhumaines pour parvenir à ses objectifs.» ( PressTv, 2018).
Le 3 juillet 1988, USS Vincennes, un croiseur américaine s’est localisé proche du détroit d\’Ormuz, pour une mission prétendument à protéger les navires de commerce dans le golfe Persique. Le président de l’Irak est confronté par les États-Unis pendant la guerre brutale de huit ans contre l’Iran en leur accueillant de l’argent, des armes et du renseignement militaire.( PressTv, 2018).

Figure 2 Carte d\’où s’est située le navire Vincennes et l’avion Air Iran 655

«Le Vincennes envoyera de multiples avertissements à l’avion sur des canaux militaires, mais comme il s’agissait d’un avion civil il était impossible que celui-ci réagisse à de tels avertissements. Lorsque le vol 655 fut 20km du croiseur, le navire tira deux missiles sol-air SM-2MR qui tous deux touchent l’avion, le firent exploser en vol. tuant tout le monde à bord.»(Williamson, 2014) Cet événement tragique a eu un effet catastrophique qui a affecté la sécurité de centaines de citoyens Iranien. Ceci a formé une image négative envers les État-Unis à travers du monde, en montrant qu’il n’hésite pas de prendre des mesures inhumaines.

Relation commerciale
Les relations entre l’Irak et l’Iran sont limités depuis leur guerre en 1988. La guerre marine entre les deux états dans le Golfe Persique avait causé aux États-Unis de bombarder des plates-formes pétrolière de la National Iranian Oil Company en 1988. « La même année, Reagan promulgua un ordre exécutif soumettant les échanges commerciaux en matière de pétrole à un embargo. Ces bombardements firent l’objet d’un arrêt de la Cour internationale de justice, qui appréhende l’affaire sous l’angle de la liberté de commerce garantie par un bilatéral de 1955, prononcé en 2003.», (Williamson,2014).
Le fait que les avoirs iraniens ont été gelés à causer du trouble financière pour le gouvernement iranien. Suite à l’arrêt de l’ambassade américaine à Téhéran en 1979, les États-Uni ont gelé environ 12 milliards de dollars d’avoirs, en comptabilisant les comptes en banque, l’or et autres biens. Selon des officiels Américains, la plupart de ces avoirs ont été rendus en 1981 en échange de la libération des otages qui avaient été capturés lors de la prise de contrôle de l’ambassade.(Wikipédia, 2019)

Les Tension nucléaire sous trois présidents américains

1, George Bush
Bush a cru que l’Iran faisait partie de ‘L’Axe du Mal’. Une organisation qui implique la Corée du Nord puis l’Irak. Cela était une organisation qui ‘supportait’ le terrorisme et cherche des armes de destructions massives. Ces allégations de Bush a provoqué de l\’indignation en Iran.
En 2002, un groupe d’opposition iranienne a révélé que l’Iran développait des installations nucléaires, en spécifique une usine d’arme nucléaire clandestine, que l’Iran déclarait une fausse nouvelle. Ceci avait une décennie d’activités diplomatiques et d’intermittent de l’Iran auprès l’engagement de surveillance nucléaire de l’ONU suit. (BBC, 2018).

2. Barack Obama
En septembre 2013, un mois après l\’entrée du nouveau président iranien, Hassan Rohani a eu une entente au téléphone avec le président Barack Obama. Ceci fut la première conversation de niveau supérieur que ses deux nations ont démarré et fait elles depuis 30 ans.
En 2015, après une vague activité diplomatique, l’Iran a conclu un accord à long terme sur son programme nucléaire avec un groupe de puissance mondial connu sous le nom de P5+1: les États-Unis, le Royaume-Uni, la France, la Chine, la Russie et l’Allemagne. En vertu de cet accord, l’Iran a accepté de limiter ses activités nucléaires et d’autoriser d\’inspecteurs internationaux en contrepartie de lever des sanctions économiques paralysantes.

3 Donald Trump
En mai 2018, le président Trump a abandonné l’accord nucléaire avant de rétablir les sanctions contre l’Iran et les pays qui commerçaient avec eux. Les relations entre Iran et États-Unis se sont détériorées. Les États-Unis envoyait un groupe de ‘air kraft striqués carrier’ et des bombardiers B-52 dans le Golfe à cause de ce qu’ils appellent des ‘indications inquiétantes qui escalade’ liées à l’Iran. L’Iran a depuis menacé de dépasser les limites d’enrichissement autorisées par l’accord nucléaire et est accusé par les États-Unis de prendre des mesures à travers le Moyen- Orient, dans le but de faire pression au gouvernement Trump.(BBC, 2018)
«Le 20 juin, les forces iraniennes ont abattu un drone de l’armée américaine au-dessus du détroit d’Ormuz. […] Les États-Unis a clamé que c’était au-dessus des eaux international, mais l’Iran a dit que c’était au-dessus de leurs territoires.» (BBC, 2018)
L’attaque du drone américain n’était que la dernière d’une série de provocations entre les deux pays. Les États-Unis ont également imputé à l’Iran des explosions sur deux pétroliers la semaine dernière sur l’une des routes de navigation stratégiques les plus vitales du monde, le détroit d’Ormuz, ainsi que sur quatre navires de commerce au large des côtes d’Émirats arabes unis le mois dernier. L’Iran a catégoriquement nié toute responsabilité dans les attaques de navires. (Britton, 2019)
Les tensions dans la région a affecté les prix du pétrole et si le détroit était fermé en raison de la menace d’attaques, cela pourrait avoir un impact considérable sur les économies mondiales. Les relations entre les deux pays semblaient prendre une tournure dangereuse, lorsque l’administration Trump a annoncé le déploiement de 1 000 soldats supplémentaires et de ressources militaires supplémentaires au Moyen-Orient. (Britton, 2019).

Conséquences des conflits
La dernière fois que les États-Unis sont entrés en guerre au Moyen-Orient, c’était en 2003 en Irak. Cependant, une guerre avec l’Iran aurait probablement un aspect différent, l’Iran utiliserait éventuellement ses réseaux de mandataires régionaux pour cibler les États-Unis et leurs alliés loin de Téhéran. Tandis que chaque métrique militaire conventionnelle devancerait l’Iran, la plus grande vulnérabilité de l’Amérique est la stabilité régionale et le coût pour l’économie mondiale, c’est cela sur quoi l’Iran compte.
Bien que les États-Unis puissent compter sur Israël, l’Arabie Saoudite et les Émirats arabes unis s’ils veulent réagir aux récentes tensions avec l’Iran, ils ne trouveront pas beaucoup de volontaires enthousiastes, rapporte Ben Wedeman de CNN. L’administration Trump a aliéné les alliés européens en s’éloignant de l\’accord avec l’Iran l’année dernière. Les Français et les Allemands en particulier sont peu susceptibles de soutenir une action militaire. Et le Royaume-Uni n’aura probablement pas l’appétit non plus, a déclaré Wedeman.
L’Iran dispose de nombreuses ressources potentielles, notamment les Hezbollah au Liban, les Houthis au Yémen et de nombreuses milices en Irak. Téhéran
pourrait également faire appel à ses liens étroits avec la Syrie.
La tendance
Les États-Unis et l’Iran sont en tension politique depuis leurs premières interactions. S’il eut une guerre entre les deux pays, ça sera une guerre graduelle puis soudaine. Étant donné que les États-Unis à des alliés dans le Moyen-Orient, ils ne voudront pas aller l’Iran, car ils savent qu’Iran à un système nucléaire, ainsi qu’un militaire très fort et destructif. Si une guerre fut arrivée, cela impactera non seulement deux pays, mais de plus les alliés de ces pays, ce qui aboutira à une destruction massive dans l’industrie pétrolière, les programmes nucléaires et d’argents. La seule façon que ces deux nations sortent de leur impasse est si Donald Trump revient sur l’accord de 2015, ayant des avantages pour les deux parties.