Les effets du réchauffement planétaire

Les effets du réchauffement planétaire
Le changement climatique s’immerge dans l’incertitude qui affecte l’individu en tant que la société. La politique qui est mise en place est le Protocole de Kyoto, c’est un protocole qui vise à réduire les émissions de gaz à effets de serre. Même si aujourd’hui la population commence à prendre des mesures pour limiter l’intensité des émissions de gaz à effets de serre, les effets ne pourront pas être complètement changés, car le dommage est déjà fait. Le facteur primaires du relâchement des gaz à effets de serre sont reliées au développement économique. Les politiques doivent suivre les droit des gens donc le droit des personnes pour satisfaire leurs besoins matériels, leurs besoins sociaux, avec le but d’augmenter la qualité de vie. Ainsi, certain pays peuvent voir le changement climatique comme un avantage d’autre le voit comme un désavantage donc une limitation d’émission de gaz à effets de serre semble être un défi pour les gens en politiques. Si aucune action ne survient, la plupart des effets du changement climatique se produiront en 30 ou 50 ans. Donc, en conséquence va laisser la prochaine génération subir les conséquences. Dans le passé, l’être humain c’était constamment à leurs environnements. De nos jours avec l’augmentation de la température moyenne, l’adaptation est possible si la population humaine n’était pas si grande, cela n’est pas le cas. La population est environ six milliards et les habitudes de consommation sont motivées par le confort dans une société industrielle.
Stratégie a long terme
Les émissions de gaz à effet de serre ne peuvent pas être arrêtées instantanément ou complètement. À l’exception de la photosynthèse, il y a peu de mécanismes pour extraire le CO2 de l’atmosphère. Les spécialistes vise à appliquer des stratégies à long terme qui n’affecterait pas le développement économique des pays, mais changer les effets du réchauffement planétaire et qui est supporter par la population. Car sans l’acception et l’implication de la population les stratégies seront impossibles. Selon le degré du problème, il n’aurait pas de solution miracle.
Des plans d’action
Chaque pays qui signe le mandat doit préparer un plan d’action pour la réduction de sa propre situation. En 2002, Le Canada propose un plan qui vise à réduire 240 Mt par année, ce plan ne réussira pas, car les détails sont très vagues. En 2006, il observe qu’au lieu de réduire les émissions au Canada ça a augmenté et croit qu’il continuerait
à augmenter jusqu’en 2015. Le gouvernement examine les taxes sur le carbone, le mécanisme de permis échangeable et l’adoption des énergies vertes. Il présente des avantages et des désavantages, mais a trouvé leur place tranquillement dans notre société.
Les taxes
Plusieurs pays ont pris la décision d’imposer des taxes sur l’usage du carbone. Les taxes en général sont utilisées pour répartir la richesse, mais dans ce cas son utilisé pour démontrer l’usage responsable de certains services. Dans les années 90, la Norvège a placé une taxe sur le carbone pour encourager l’usage rationnel. Cela a fonctionné, car les gens on commencé a utiliser des méthodes de transport qui sont plus efficaces ou ont même commencé à prendre les autobus. La taxe imposée par le Québec avait de nombreux défauts, car ça punissait les consommateurs qui vivant hors de la ville et n’avaient aucune autre méthode de se rendre au travail. Les permis échangeables ont commencé aux États-Unis. Il s’agit à renforcer aux industries de respecter la limite d’émissions. L’énergie renouvelable en principe est de créer l’énergie à partir du vent, l’eau ou le soleil. L’énergie renouvelable aide à diminuer les émissions, mais on quelque désavantage par exemple une plaque photovoltaïque ne fonctionne seulement lorsqu’il y a suffisamment éclairé par le soleil, mais en général une bonne substitution. Les experts croient que l’énergie renouvelable est très bon pour l\’environnement et pourrait constituer 25 % de la production électrique en 2030. L’objectif des Européen sont d’utiliser plus d’énergie renouvelable avec le but de réduire les émissions par 400 Mt par année.
Biomasse
Une des première source d’énergie exploitée par les humains. De nos jours, la biomasse est une source importante d’hydrocarbure. Les hydrocarbures peuvent être utilisés plusieurs chose tels que pour se chauffer, produire de l’électricité, produire des carburants et des produits chimiques. Les services énergétiques crée par la Biomasse sont considérés neutres lorsque sa vient au problème climatique. Il peuvent remplacer des hydrocarbures fossiles et limiter les émissions responsables au changement climatique.
L’efficacité énergétique
En principe, c’est un concept qui vise à démontrer l’usage efficace de l’énergie. En autres mots l’efficacité énergétique cherche à toujours utiliser bonne quantité de bonne façon, sur la bonne chose pour avoir le plus efficace usage. Plusieurs spécialistes croient qu’il est possible d’améliorer l’efficacité énergétique de 10 % à 30 %. Comme première essaye le Canada, cible les secteurs résidentiels et commerciaux pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Par exemple il y a un projet proposé qui vise à changer les lumières à des lumières fluorescentes ou à des lumières photovoltaïques. Le secteur du transport est le secteur où l’efficacité énergétique aurait la plus grosse impact. Ils suggèrent de changer le pétrole pour l’électricité, car le pétrole est sources les plus importantes d’émission leur émission varie de 25 % à 40 % des émissions d’un pays. Ce secteur cependant semble être difficile à diminuer, car les voitures sont vues comme symbole social. Un avantage de ses programmes est qu’il aiderait l’économie avec la création de plusieurs emplois au même instant qu’il améliore les problèmes du changement climatique. Cependant, un désavantage est que ces projets coûtent très cher et prends du temps pour accomplir.
L’auto climat
Les automobiles ont un très gros impact sur le réchauffement climatique, plusieurs pays essayent de réduire leurs émissions avec plusieurs méthodes comme les taxes comme l’Angleterre et Londres qui a mis en place une taxe sur la circulation dans le centre de villes pour les gens qui font le trajet chaque jour. Ainsi autre pays récompense les gens avec les automobiles hybrides et encourager le transport commun en offrant les coût déductibles aux impôts. Plusieurs villes adoptent le programme nommé « Green Fleet » qui est un programme qui encourage l’usage de l’automobile qui consomme le moins d’essence et relâche le moins de gaz à effet de serre.
Technologie permet de controler les émissions
Le GIEC croit que la technologie permet de contrôler les émissions, ainsi que l’état devrait jouer avec les limitations de consommation des automobiles. Les automobiles hyperefficaces sont un bon exemple, car ils consomment moins d’essence donc en résultats produisent moins d’émission, donc permettent aux citoyens de faire leur part dans la réduction des émissions. Le concept des automobiles hyperefficaces combine la diminution du poids avec un moteur électrique. Les désavantages de ce type de véhicule est qu’ils sont normalement plus chers et typiquement peut ajouter entre 4000 $ à 6000 $ au prix, mais aussi que le pouvoir est moins fort donc en conséquence ce n’est pas utilisé beaucoup par le secteur industriel. Pour essayer de compenser pour les désavantages le gouvernement du Québec offre une réduction aux taxes de 1000 $, le gouvernement canadien on adopter cette loi quelques années plus tard. Un autre avancement technologique qui pourrait aider à réduire les émissions sont les voitures à hydrogène donc moteur à eau, cela semble être un projet très difficile qui prendrait plusieurs années pour accomplir.
Carburant alternatif
Les spécialistes essaient de trouver des façons de diminuer les émissions dans le secteur du transport et croit la méthode du carburant alternatif peut les aider. Les carburants alternatifs sont formés à partir de la biomasse. Donc en ajoutant de l’éthanol à l’essence pour remplacer le carburant diesel par du biodiesel produit par l’huile végétale ou graisse d’animaux. Cette méthode aide avec la diminution des émissions. Le Brésil est le pays le plus avancé dans ce domaine, ils ont même des voitures qui utilisent uniquement l’éthanol.
Technologie d’enlèvement du CO2
Les gens croient que pour combattre le réchauffement climatique c’est de seulement réduire les émissions qu’il produit. Oui, c\’est vrais, mais pas entièrement, car il y a des technologies qui peuvent capter le CO2 même avant que cela rejoigne l’atmosphère. L’extraction des combustibles fossiles comprend de faire passer le CO2 dans un compartiment spécifique qui force le CO2 à réagir avec une autre molécule. Il faut utiliser beaucoup d’énergie, car les molécules de CO2 sont très stables. Une autre méthode est de capter et stocker le CO2, les scientifiques ont observé que l’océan naturellement absorbe une partie de CO2 dans l’atmosphère et le dissout. Avec cette information la méthode propose de pomper le CO2 mille mètres ou plus dans l’océan, il doit le pomper au moins mille mètres profonds, car sinon le gaz va remonter et rentrer dans l’atmosphère. Pour ajouter, les chercheurs ont découvert que lorsqu’ils ont ajouté du fer dans l’océan ça augmente la photosynthèse du plancton donc qui absorbe le CO2. Cette méthode a des limites, car le problème d’acidification reste toujours possible.

Séquestration dans des puits de pétrole et de gaz naturel épuisé
En concept, cela agit comme une zone de stockage terrestre. Dans l’industrie du pétrole, les travailleurs ajoutes du CO2 dans le puits, c’est utilisée pour améliorer le rendement. Le désavantage de cette méthode est qu’avec le temps le CO2 commence à s’échapper et rentre dans l’atmosphère. Une solution pour ce problème est d’ajouter l’eau dans les réservoirs pour dissoudre le CO2 sous pression et même le disperser.
Recycler le CO2
Il y a plusieurs méthodes pour combattre le changement climatique, avec cette méthode des mécanismes naturels tels que la photosynthèse son utilisé, plus spécifiquement les algues, ils sont utilisés pour transformer le CO2 en biodiesel et nourriture d’animaux et ensuite récolter, les algues sont sécher pour qu’il agisse comme combustible. Ce concept semble être très utile durant le jour, mais durant la nuit les plantes ne peuvent pas faire la photosynthèse, car il n’y a pas de soleil donc il faudrait un éclairage assez puissant pour remplacer le soleil.
Fixation le carbone dans les arbres
La première ligne de défense naturelle contre le CO2 est les arbres et autres plantations, car ils font la photosynthèse. Dans les régions tropiques, les arbres peuvent absorber plus de 175 tonnes de carbone par hectare. La plantation des arbres est essentielle contre la lutte du CO2. Le Protocole de Kyoto reconnaît 3 types d’intervention : la déforestation qui est de couper plusieurs arbres, afforestation qui est de planter de nouveaux arbres pour combattre la déforestation et la reforestation qui est de planter des arbres à un endroit qui a subi une déforestation avant 1990. Aujourd’hui, il y a plusieurs programmes mis en place pour protéger les écosystèmes, car le changement climatique produit un gros stress sur les arbres, car il y a une plus grande fréquence d’incendie ou autre évènement qui affecterait les arbres. Si les gouvernements plantent des arbres, les effets seront très bons, car ils sont utiles pour ralentir le réchauffement planétaire global, mais aussi le problème de déforestation.
Enfouir le CO2 Dans le sol
Cette méthode a le même concept que la méthode ou il pompe le CO2 dans l’océan, le but est de garder le CO2 dans le sol. Les effets de cela auraient aussi des avantages pour les agriculteurs, car ça augmente la rétention de l’eau. Il faut garder compte que cette méthode est pas infinie le sol pourrait seulement contenir environ un milliard de tonnes de CO2 en total.
Perspective de réductions
En conclusion, les réductions visées par le Protocole de Kyoto atteignable. Il faut tenir compte qu’il n’y a pas une recette miracle pour chaque pays, mais que chaque pays doit s’adapter à leur problème et que dans cette lutte il aurait beaucoup d’obstacle à surmonter. La réduction ne peut pas se faire également à travers chaque pays. Tout pays doit mettre leurs objectifs sous forme de loi plus générale comme par exemple le smog. Le message du GIEC est clair il est possible mais vous devez agir vite.