Logiciel comptailité pour sci a l’is

Remerciements& introductionJe tiens d\’abord à remercier tout particulièrement M. Gérard MARY pour m\’avoir accepté au sein de son entreprise en tant que stagiaire alors que toutes mes recherches étaient restées infructueuses et que la date limite de début du stage approchait à grand pas. Je le remercie d’autre part pour avoir accepté de m\’encadrer en tant que tuteur et pour l’aide qu’il m’a apporté dans la rédaction de ce rapport.Je remercie aussi Christelle BOUDRIAS, Isabelle JUIF, Yannick BAVOUX, et tous les autres employés du cabinet, qui ont tout fait pour que mon stage se déroule dans les meilleures conditions possibles. Ils ont eu la gentillesse et la patience de répondre à mes questions tout au long de cette période, et ont pris sur leur temps de travail afin de m\’expliquer les différents points importants à comprendre.Enfin, j’adresse mes remerciements à mon professeur, Madame Maria MANSANET-BATALLER, professeur à l’université SJEPG, qui a su répondre à mes différentes questions et être à mon écoute.Dans le cadre de ma formation à l’UFR Sciences Juridiques, Economiques, Politiques et de Gestion de Besançon, j’ai effectué un stage d’une durée de mois au sein du cabinet d’expertise comptable CECAM à Besançon. Ce stage se déroulait du jeudi 2 mai au Vendredi 28 juin 2019 et m’a permis de découvrir les différents métiers ainsi que les missions réalisées par ce type d’entreprise.Ce cabinet regroupe deux activités l’expertise comptable et le commissariat aux comptes L’une des activités est contractuelle : l’expertise comptable, et l’autre légale : le commissariat aux comptes, qui est exercé à titre individuel par M. Gérard Mary.J’ai choisi d’effectuer ce stage dans un cabinet comptable car j’avais envie d’appréhender les spécificités des métiers de l’expertise comptable. En effet, le domaine de la comptabilité des entreprises est un domaine qui m’intéresse et qui pourrait guider mon choix dans la poursuite de mes études.L\’objectif de ce stage est non seulement de mettre en pratique les connaissances acquises durant mes études, mais aussi de découvrir la vie et le mode de fonctionnement d’un cabinet d’expertise comptable.Mes missions les plus courantes tout au long de ce stage ont été la saisie de facture d’achats, de ventes puis de relevés bancaires. Pour ce faire, j’ai dû utiliser plusieurs méthodes comptables, tels que le lettrage des comptes et la technique de l’état de rapprochement bancaire. De manière plus marginale, j’ai aussi été amené à réaliser avec l’aide de Mme BOUDRIAS
une déclaration de TVA, que je détaillerais plus loin dans ce rapport.II) Présentation du cabinet comptable.1) Historique.M. Alain MARY débuta sa carrière dans l\’expertise judiciaire puis décida en 1969 de créer son propre cabinet comptable, CECAM.En 1972, la Société à Responsabilité Limitée fut transformée en Société Anonyme. C\’est en 1994 que M. Gérard MARY prit la succession de son père et devint alors le Président du Conseil d\’Administration.Fin 2006, le cabinet se transforme en S.A.S. (Société par Actions Simplifiée) et Madame Judith BRULEBOIS, Expert-Comptable, rejoint le cabinet en tant qu’associée. Peu après son départ en 2010, Madame Christelle BOUDRIAS est embauchée pour occuper le poste vacant de Responsable des dossiers. Le PDG est désormais M. Gérard MARY, et Mme Christelle BOUDRIAS est la Directrice Général.Le cabinet emploie aujourd\’hui dix salariés et compte à peu près 250 clients, répartis dans l’agglomération bisontine et ses environs. Les clients sont principalement des TPE et des PME, ce sont des Entreprises Individuelles, des Sociétés à Responsabilité Limitée (S.A.R.L) et des Sociétés Civiles Immobilières (S.C.I). La société CECAM est inscrite à l\’Ordre des Experts-Comptables (O.E.C) à Dijon et est immatriculée depuis sa création au Registre du Commerce et des Sociétés.Le Chiffre d\’Affaires du cabinet CECAM est estimé à environ 680 000 euros HT tous les ans. Actuellement le capital social de l’entreprise est de 50 000 euros, détenu en intégralité par Mr. MARY.M. Gérard MARY exerce deux activités, celle de commissaire aux comptes et celle d\’expert-comptable. L\’activité de commissaire aux comptes est exercée par M. Gérard MARY à titre individuel (mandat de CAC). Le commissaire aux comptes ne dépend pas de l’Ordre des Experts Comptables mais de la Compagnie des Commissaires aux Comptes.2) Présentation des métiers du cabinet.Le cabinet CECAM propose deux activités bien distinctes, d’un côté l’expertise comptable et de l’autre le commissariat aux comptes.Le métier d’expert-comptable et de commissaire aux comptes sont intimement liés puisqu’un commissaire aux comptes (CAC) doit posséder non seulement d’excellentes compétences en comptabilité et gestion mais aussi des connaissances juridiques précises.C’est pourquoi dans la plupart des cas, le commissaire aux comptes est également et avant tout un expert-comptable. En effet, après un Diplôme d’Expertise Comptable, un expert-comptable peut décider de faire un stage de deux ans auprès d’un commissaire aux comptes pour le devenir à son tour. C’est pourquoi le cabinet CECAM regroupe ces deux activités, Mr. MARY ayant décidé durant sa formation professionnelle d’opter pour cette double casquette.Néanmoins il est très important de distinguer ces deux activités. Le commissaire aux comptes doit être totalement indépendant de la société. Cette indépendance est garante d’une bonne certification, elle permet d’éviter fraude et abus. Il ne viendrait à personne l’idée d’accepter que le commissaire aux comptes soit directement lié à la société dont il certifie les comptes annuels.Plusieurs règles d’incompatibilité contraires au métier du commissaire aux comptes ont été précisées. Un CAC ne pourra ainsi exercer une activité salariée (hors exception) ou commerciale. Si le commissaire aux comptes continue à exercer malgré une incompatibilité, il risque une peine de prison.Le commissaire aux comptes ne peut donc pas être en même temps l’expert-comptable de la société qu’il audite.En tant qu’observateur libre, le commissaire aux comptes est responsable de la qualité et de la sincérité de l’information financière et comptable vis-à-vis des associés et des tiers. Il a donc pour mission de s’assurer, selon les règles comptables, de l’authenticité des opérations effectuées par une entreprise lors d’un exercice. Il intervient à ce titre sur des comptes déjà établis par la direction financière ou un expert-comptable198628055486303003555310505CUENOT Anne-fleurApprentieCUENOT Anne-fleurApprentie2908304548505BAVOUX YannickCollaborateur ComptableBAVOUX YannickCollaborateur Comptableleft1157605003) Organigrammedu cabinet CECAM.4) La clientèle du cabinet.EURL : Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité LimitéeSA : Société AnonymeSARL : Société à Responsabilité LimitéeSCI : Société Civile ImmobilièreSCM : Société Civile de MoyensIII) Le métier d’expert-comptable.a) L’histoire du métier.Un expert-comptable est un professionnel de la comptabilité. En France, la profession d\’expert-comptable est réglementée par l\’ordonnance no 45-2138 du 19 septembre 1945 et le décret no 2012-432 du 30 mars 2012.L\’expert-comptable tient, contrôle, surveille, redresse la comptabilité des entreprises et entités juridiques. Il établit les comptes annuels (bilan, compte de résultat et annexe), des entreprises, des artisans, des établissements, des agriculteurs, etc.L\’organisation de la profession est récente, en effet elle date du début du XXe siècle avec la création en 1912 de la Compagnie des Experts-Comptables de Paris. Puis, après la Première Guerre mondiale d\’une fédération d\’experts-comptables ainsi que de deux diplômes en 1927 et 1931. Depuis la Seconde Guerre mondiale, les experts-comptables sont réunis au sein de l\’Ordre des experts-comptables qui règlemente la profession, auquel tout expert-comptable exerçant en France doit être inscrit pour pouvoir exercer son activité en toute légalité.b) Ses missionsLes missions de l’expert-comptable ou réviseur comptable sont définies par l\’article 2 de l’ordonnance du 19 septembre 1945, modifiée par la loi du 8 août 1994. Ainsi, l\’expert-comptable :• doit « tenir, centraliser, ouvrir, arrêter, surveiller, redresser et consolider les comptabilités des entreprises et organismes », avec lesquels il n’est pas lié par un contrat de travail,• peut « organiser les comptabilités et analyser la situation des entreprises sous leur aspect économique, juridique, financier et social »,• fait « rapport de ses constatations, conclusions et suggestions »,• peut aussi « accompagner la création d\’entreprise sous tous ses aspects comptables ou à finalité économique et financière ».En outre, « les membres de l\’ordre et les associations de gestion et de comptabilité peuvent assister, dans leurs démarches déclaratives à finalité fiscale, sociale et administrative, les personnes physiques qui leur ont confié les éléments justificatifs et comptables nécessaires auxdites démarches ».c) Les règles de la profession.Les missions de l\’expert-comptable doivent être assumées en respectant un certain nombre de règles acceptées par la profession. En 1966, l’O.E.C. (ex OECCA ou Ordre des Experts-Comptables et Comptables Agréés) a adopté des recommandations relatives aux missions professionnelles. En 1990, il y eut une refonte complète des normes professionnelles. Les normes générales constituent les règles de bases : comportement professionnel, travail, rapport.Quant à ces différentes missions citées, la responsabilité de l’expert-comptable se situe à quatre niveaux :• responsabilité civile : inexécution d’une obligation contractuelle, faute ou négligence commises dans l’exercice de sa profession, conduisant à un dommage. L’expert-comptable a une obligation de moyen.• responsabilité disciplinaire : prononcée par l’OEC en cas de non-respect de la déontologie.• responsabilité pénale : en cas de délit ou de complicité, non-respect du secret professionnel, abus de confiance, faux.• responsabilité fiscale : elle est mise en cause en cas de délit d’omission d’écriture ou de passation d’écritures inexactes ou fictives, de délit d’organisation de fausse comptabilité, de délit de fraude fiscale. La responsabilité fiscale de l’expert-comptable n’est pas engagée, si malgré des vérifications conformes aux usages et aux données acquises de la science comptable, il n’a pas été en mesure de découvrir l’irréalité des chiffres transmis par son client.Les normes spécifiques viennent en complément des règles générales : présentation, examen limité, audit et autres missions (établissement des comptes, procédures convenues…).IV) Mon travail au sein du cabinet CECAM durant ce stage.1) La saisie comptable.Le premier jour de stage, Mr. MARY, mon tuteur, m’a d’abord expliqué comment fonctionnait le cabinet et de quelle manière s’organisait la tenue des dossiers comptables des clients.Il m’a ainsi montré comment rechercher les informations essentielles dans ces dossiers, qu’il est nécessaire de savoir avant de commencer à saisir les écritures. Ces informations se composent de l’objet social de l’entreprise, du régime d’imposition des bénéfices et du régime de TVA. Il faut aussi vérifier la façon dont sont répartis les bénéfices ou pertes de l’entreprise, grâce à une copie du rapport d’assemblée générale, afin de procéder à l’affectation du résultat de l’exercice précédent.a) L’organisation des dossiers comptables.Pour chaque client, il existe trois ou quatre dossiers qui se subdivisent en dossiers permanent et en dossiers d’exercice.• Les dossiers permanents se constituent :- Du dossier juridique (vert)- Du dossier général et permanent (bleu)• Les dossiers d’exercice se constituent :- Du dossier comptable (rouge)- Du dossier d’informations (jaune)PERMANENT :Le dossier juridique (vert) donne toutes les informations relatives à la vie de l’entreprise.Le dossier comptable (bleu) est important car il comporte tous les éléments à long terme, il est utile pour l’établissement du bilan.EXERCICE :Le dossier comptable (rouge) est un dossier de contrôle qui est obligatoire. On connaît rapidement les points important du compte de bilan et du compte de résultat, et il formalise les dossiers qui ont été fait.Le dossier d’informations (jaune) est constitué de toutes les informations à propos du client.A la fin de la saisie et du lettrage, il faut remplir le dossier de contrôle qui se divise en trois parties avec :- Une partie avec des dossiers roses (Comptes de bilan)- Une partie avec des dossiers verts (Comptes de résultats)- Une partie avec des dossiers jaunes. (Contrôle des annexes et de certaines obligations légales)Cela permet l\’explication des soldes des comptes. Il faut faire toutes les copies des documents importants nécessaires à la compréhension du dossier et elles seront classées dans les rubriques correspondantes.b) La saisie des factures et des relevés bancaires sous le logiciel ISACOMPTA.La mission principale que j’ai dû réaliser durant ce stage a été la saisie des écritures comptables d’un certain nombre de dossier client sous le logiciel ISACOMPTA. Dans un premier temps, j’ai effectué la saisie comptable des opérations provenant des relevés bancaires de plusieurs clients BNC (bénéfices non commerciaux) afin de prendre le logiciel en main. Les bénéfices non commerciaux (BNC) constituent une catégorie de l\’impôt sur le revenu, applicable aux personnes qui exercent une activité professionnelle non commerciale, Par conséquent les écritures sont généralement moins complexes que dans le cas d’une comptabilité de rapprochement, les opérations comptables sont donc moins nombreuses, vu que la saisie comptable se base que sur les relevés bancaires du client.Donc au premier temps j’ai attaqué le dossier d’un médecin libéral (Dr Mesnier). Il y avait des écritures (charges) à enregistrer de type : règlement des honoraires, des charges et des immobilisations liées à son activité ainsi que les cotisations, … Mais je devais saisir uniquement les relevés bancaires, et chaque fin du mois, je vérifie si le solde final du compte courant du client correspond à celle du grand-livre calculé par le logiciel. J’ai été basé dans la saisie sur la balance de l’exercice passée pour être sure des comptes des charges et des produits qui étaient utilisés. Comme son activité constitue une profession qui entre pleinement dans le champ d’exonération de la TVA, l’entreprise n’était pas soumise à cet impôt. Les produits sont comptabilisés généralement dans un seul compte, le compte de prestation de service (7061), sauf exception, on peut avoir d’autres comptes de produit dans ce type de dossier, comme par exemple le compte « produit des activités annexes (708) » quand le client encaisse les argents sur une activité autre que son activité principale.Par la suite, j’ai été amené à travailler sur le dossier d’une association du théâtre universitaire, Au niveau de la saisie des relevés bancaires, il n’y avait guère de différence par rapport à ce que j’avais déjà accomplis. J’ai commencé, à partir de ce dossier, à saisir les factures de charges dans le Journal d’Achat, puis la saisie des factures de ventes dans le journal de vente, vu que c’une association, y avais des charges de type honoraires, salaire personnel, placement mission et réception, fournitures de bureau et publicité et autres. Au niveau du produit, l’association organises des festivals et vente les billets, donc on trouve des comptes de type prestation de service (billetterie), aussi le type des produits qui peut avoir une association est la subvention, et y avais pas mal de subvention que j’ai saisie dans ce dossier. Une fois mes pièces comptablesSont saisie, je fais le rapprochement entre les opérations d’encaissements et de décaissements saisies des relevés bancaires et les opérations d’achats et de ventes saisies des factures (lettrage), ça m’aidé à savoir si j’ai commis des fautes au niveau du saisie. Petit changement dans ce cas précis,Les journaux d’achat et de vente contiennent d’une partie le compte de charge ou de produit, et d’autre partie le compte client si c’est une vente ou le compte fournisseur si c’est un achat (comptabilité d’engagement), et quand les relevés bancaires sont passé , je dois lettrer les journaux vente et achat avec le journal banque pour solder les comptes des clients et fournisseurs qui sont déjà réglé, et l’apparition du solde au balance pour savoir les comptes clients et fournisseurs qui sont pas encore soldé, et j’ai créé des comptes pour chacun des fournisseurs et clients pour avoir les soldes des comptes détailler dans la balance pour chacun.A l’aide de ma collègue Isabelle, la responsable du social au cabinet, j’ai dû passer quelques opérations de la paie, J’ai commencé l’enregistrement des écritures relatives aux salaires, qu’on retrouve dans le Journal de Paie. L’association théâtre universitaire compte deux salariés, tous les deux travaillent à temps partiels. J’ai réalisé cette tâche par l’intégration du journal de paie du logiciel ISAPAYE, et en même temps j’ai saisi les opérations passé par la banque, qui sont généralement des charges sociaux et salaires nets à payer, donc j’ai saisi tous les opérations qui passent par la banque en classe 4, et j’ai intégré du logiciel ISAPAYEles écritures du classe 6 , il me reste qu’à vérifier et lettrer les écritures passée par la banque et les écritures intégrée du logiciel. J’ai pu m’appuyer sur l’exercice précédent afin de vérifier l’exactitude des écritures que j’avais passé, voici d’ailleurs un exemple type d’écriture que je devais saisir :31/01/18N° de compte Libellé Débit Crédit64100000 REMUNERATION PERSO BRUT 3444.18 64510000 COTISATION URSSAF 355.36 43100000 SECURITE SOCIALE URSSAF 1114.0164540000 COT AUX ASSEDIC 144.66 64530000 COTIS. CAISSE DE RETRAITE 413.3064560000 COT PREVOYANCE MUTEX 16.46 43750000 PREVOYANCE MUTEX 32.9242100000 SALAIRES-NET A PAYER 2613.97Total 4174.20 4174.20JOURNAL COPIE DU LOGICIEL ISACOMPTAUne fois ce dossier est terminé, Mr Mary m’as parlé d’un autre type de saisie des dossiers clients, est que le client fait sa comptabilité de l’exercice tout seul, puis il nous ramène une balance saisie sur un tableau Excel, donc là je dois en premier temps vérifier si le client n’as pas commis des fautes au niveau du saisie, puis je dois intégrer la balance rectifié au logiciel,Une fois ce dossier terminé, je me suis attelés à la saisie d’un dossier client qu’on le traite a jour, Mr Di DOMZIO Philippe, est un plombier, qui appartient au régime BNC, à la fin de chaque mois, le client nous ramène tous les pièces comptables du mois précédant pour qu’on puisse les saisir, ce dossier est un peu compliqué parce que il est parmi les BNC qu’on applique la comptabilité d’engagement et soumis aux TVA, donc j’ai eu la tâche de saisir le relevé bancaire du mois d’avril, aussi les factures d’achats, puis j’ai lettré mes achats avec les paiements qui correspond, mais j’ai pas eu l’occasion de calculer la TVA de l’exercice en cours parce que le client a choisi le paiement par semestre, mais quand même je me suis retourné à l’exercice précédent pour voir comment a été saisi, j’ai trouvé le journal suivant :31/12/2018N° compte Libellé Débit crédit44571201 TVA collectée 20% 6260.37 44571301 TVA collectée 10% 10435.90 4456600 TVA déductible ABS 10215.914456500 TVA déductible148.694455100 TVA à décaisser 6331.67SCI (société civile immobilier)Mais la plupart du temps, j’ai été amené à traiter des dossiers des SCI, y avais beaucoup de dossier de ce type ce qui m’as donné la curiosité de chercher les raisons qui poussent les entrepreneurs a créé ce type de société, j’ai commencé par le dossier DU SCI GRANDS CHAMPS, j’ai dû saisir tous les relevés bancaires, j’ai passé des charges de type : intérêt et échéances des prêts, travaux et entretien immeuble, honoraires, charge copropriété, primes d’assurance, charge foncière, charges notaires, services bancaires, provisions charges, et d’autres qui varient du dossier à l’autre. Et un seul produit pour les SCI, qui représentent l’activité principale, la perception des loyers.Comme toutes autre dossier, je me suis basé sur la balance de l’année dernière pour voir quelques écritures comment étaient passées, et j’ai commencé par la saisie du banque à l’ordre chronologique, y a pas mal d’opération bancaires qui sont pas claire, dans ce cas, je dois noter dans une feuille tous les points du suspens , et puis la transmettre à Mr Mary pour qu’il contacte le client et lui demander des explications de ces opérations, et généralement on reçoit un mail de la part du client dans 2 jours maximum, J’ai aussi appris à utiliser le compte 471 « Comptes transitoires ou d\’attente » pour enregistrer les chèques dont je n’arrivais pas à identifier le lien entre le montant du règlement et une ou plusieurs factures. Les nombreuses mises en demeures et règlements aux huissiers de justice compliquaient aussi quelques peu la tâche car il fallait retrouver le nom du fournisseur à qui la SCI devait de l’argent, afin de solder le compte 401 une fois le paiement effectué. Et beaucoup de ces montants étaient majorés de frais divers (coût de l’acte, pénalité de retard,…) ce qui rendait très difficile la traçabilité des montants réglés. Une fois cette étape terminée, j’ai continué en enregistrant les frais de remboursement du chef d’entreprise. La plupart de ces charges étaient constituées de frais de restauration mais aussi de diverses charges personnelles. Il fallait donc faire attention à différencier ces charges non nécessaires à l’exploitation, afin de débiter correctement le compte 445 « Associés – Comptes courants ». En effet, comme une entreprise peut déduire la TVA sur les achats utiles à son activité, les entrepreneurs pourraient être tentés de s’abstenir de payer l’impôt sur la consommation en déduisant leurs charges personnelles. Dans le cas d’une SCI, il est possible d’utiliser le compte 455 ou débiter le compte 108 « Compte de l’exploitant ».Je vais détailler une opération de produit laquelle j’ai trouvé la plus compliqué dans les SCI.23/05/18N° DE COMPTE LIBELLE DEBIT CREDITLOYER MAI 706100 Loyer perçus 775.00708100 Provisions charges locatives 65.00616000 Prime d’assurance 16.8 622610 Honoraires gérance extérieur 45.38 512110 HSBC (banque) 777.82 Total 840.00 840.00Journal copié du logiciel ISACOMPTAAu début, j’ai eu de mal à comprendre ce journal, jusqu’à Mr Mary m’as informé qu’il me manquait un document comptable qui détaille le loyer perçus du client, ce document vient de l’agence qui s’occupe de la SCI, dès que j’ai eu ce document, j’ai compris que les honoraires du gérances extérieur sont 4% du montant du loyer plus les charges, et la différence avec la banque est la prime d’assurance , il me reste qu’à saisir les autres mois.J’ai vu d’autre type d’opération de produit dans les SCI qui ne sont pas soumis aux agences de gestion extérieur et j’ai passé le journal suivant qui est plus simple :02/05/2018N° DE COMPTE LIBELLE DEBIT CREDITLOYER MAI 708311 Loyer T2830.00708511 Charge T2 50.00512107 Crédit mutuel (banque) 880.00 Total 880.00 880.00Source : logiciel ISACOMPTAEt j’ai trouvé le montant des charges prévisionnel aux contrats de bail qui sont dans le dossier permanent du client.Passant à l’opération la plus fréquente dans une SCI est la comptabilisation de l’échéance de l’emprunt, j’ai appris qu’il sera pas possible de saisir une échéance d’un emprunt sans le tableau d’échéances fourni par la banque a son client , et qu’il devait nous ramener une copie, ce document on le trouve dans le dossier permanent du client, donc avant de commencer la saisieDe l’échéance de l’emprunt il faut le sortir et vérifié si les échéances se correspondent avec le relevé bancaire ou pas, parce qu’après une négociation avec la banque, ce tableau peut être modifié, donc il faut demander le nouveau du client et le ranger avec les documents de la SCI.Voici une opération du remboursement d’emprunt que j’au dû saisir :05/04/2018N° DE COMPTE LIBELLE DEBIT CREDITECHEANCE PRET AVRIL 164110 EMPRUNT (principal) 983.47 661110 INTERET EMPRUNT 356.25 661110 ASSURANCE EMPRUNT 53.60 512107 CREDIT MUTUEL (banque) 1393.32Total 1393.32 1393.32Source : logiciel ISACOMPTAUn petit souci sur cette opération est que j’ai saisi l’assurance de l’emprunt au compte 616 « prime d’assurance », mais Mr MARY m’as expliqué que le plus intéressant pour nous et pour le client est de savoir les frais réelles de l’emprunt, c’est pour ça qu’on le regroupe avec les intérêts de l’emprunt, ça nous affiche au balance à la fin de l’exercice, un solde qui détermine les intérêts versé et les assurances de l’emprunt.c) Le contrôle des écritures saisies.Une fois l’étape de la saisie franchie, il fallait absolument vérifier l’exactitude des montants enregistrés. En effet, la comptabilité est un domaine très rigoureux, qui nécessite un contrôle important des écritures comptables afin d’éviter des erreurs d’impositions ou encore des défauts d’informationsDéjà pendant la saisie, j’ai été amené à effectuer la vérification d’un point important de la saisie, les montants facturés par la SCI. En effet, il était indispensable de contrôler que les montants des loyers et ses charges correspondaient bien aux montants mentionner aux contrats de bail. Durant l’enregistrement des écritures, je pouvais aussi vérifier que je n’avais pas fait d’erreur en contrôlant chaque mois les soldes en début et en fin de période des relevés bancaires à celui calculé automatiquement par le logiciel de comptabilité ISACOMPTA. Quand il y en avait une, je devais rectifier cette erreur obligatoirement.En dernier, une fois toutes ces tâches effectuées je devais m’assurer que j’avais utilisé les bons comptes durant la saisie. Je devais aussi solder le compte 471 « Compte d’attente », car on ne peut pax clôturer un exercice comptable en laissant des montants dans ce compte. En effet, toutes les factures d’achats doivent pouvoir s’intégrer dans un compte de charges et vice-versa pour les factures de ventes ou les virements reçus sur des loyers. Enfin, il est essentiel de vérifier quelles factures étaient réglées et ainsi identifier les factures en attente de paiement, ou dont le règlement ne correspond pas au montant prévu.Pour ce faire, il faut procéder à un lettrage comptable. Cette opération consiste à affecter un repère à une écriture comptable et à affecter ce même repère à une autre écriture. Le but est d\’associer ainsi les deux opérations, et de constater quelles opérations restent sans association. Le repère utilisé est souvent une lettre de l\’alphabet, d\’où le nom de « lettrage ».Une fois cette opération finie, ils ne restent que des montants non-lettrés ce qui permet de rendre plus facile la répartition des montants du compte 471 dans les autres comptes. De plus, j’ai pu rectifier quelques erreurs entre des comptes de charges, j’avais par exemple inclus plusieurs charges dans le mauvais compte client. Et enfin, j’ai pu assurer le suivi des charges et produits non réglés, non parvenues ou encore non facturé, autant pour les comptes fournisseurs que clients. En, effet si un compte de banque n\’est pas lettré avec un compte d\’achat, cela veut donc dire que nous n’avons pas saisi cette facture, donc le client ne nous l’a pas fait parvenir. Il suffit alors de lui envoyer un e-mail lui désignant le numéro, et le montant de la facture, pour ainsi la récupérer et l\’enregistrer dans la comptabilité.d) La clôture de l’exercice comptable.A la fin de chaque année, il est nécessaire de clôturer l’exercice comptable. Cette opération consiste à \”bloquer\” l\’exercice terminé de l\’année dernière et d\’imprimer la totalité des documents (journal centralisateur, grand livre, balance…). Le dossier sera alors encollé par la secrétaire pour être ensuite envoyé au client. Pour procéder à cette clôture, il faut d\’abord vérifier si le résultat comptable est identique sur support papier et sur le logiciel ISACOMPTA pour ainsi vérifier si des écritures n’ont pas été saisies entre temps. Les comptes de charges et de produits seront soldés automatiquement dans un compte de solde à nouveau sur l\’exercice suivant.Lors de mon travail au sein du cabinet comptable, la plupart des dossiers que j’ai traité étaient des SCI, ce qui m’as donné l’idée de développer en deuxième partie de mon rapport l’avantage de la SCI et l’intérêt de tenir sa comptabilité.V) La tenue de la comptabilité d’une SCISociété civile immobilier SCIUne société civile immobilière est une forme juridique d’une société par laquelle deux associés ou plus décident de mettre un ou plusieurs bien immobilier en commun au but partager des bénéfices et d’autre avantage que je vais détailler ultérieurement.La société est gérée par le gérant, il est désigné par les statuts ou par un vote des associés.Le gérant appartient aux statuts de définir les limites de ses pouvoirs. Les statuts peuvent prévoir que les opérations d\’achat et de vente d\’un immeuble sont conditionnées à l\’accord anticipé des associés.Ils disposent d\’un droit de vote en assemblée générale dans le cadre de décider collectivement. Les conditions de vote sont définies au sein des statuts. En cas de bénéfices réalisés dans l’exercice, les associés reçoivent un montant proportionnel à leurs droits dans la société.a) Tenir la comptabilité d’une SCILes sociétés civiles immobilières ont notamment des obligations comptable comme toute autre société, et ça dépend de leur régime fiscale, de leur taille, de leur activité, des disposions statutaires, ou encore de leur associés.Elles peuvent avoir une comptabilité de trésorerie (simple) ou comptabilité de double partie (commerciale) tout en respectant le plan comptable général.Prenant exemple d’une SCI soumise au régime de l’impôt sur le revenu, elle n’a aucune obligation de tenir une comptabilité, mais elle a néanmoins tout intérêt à se conformer à certaines obligations comptables. Pour des raisons que je vais les détailler dans une autre partie, Il est préférable dans ce cas, d’effectuer une comptabilité de trésorerie, pour un formalisme beaucoup plus souple et allégé. Comment tenir une comptabilité de trésorerie ?Comptabilité de trésorerieLa comptabilité de trésorerie d’une SCI soumise à l’IR est très simple, il suffit de saisir les relevés bancaires de la société durant l’exercice comptable, en vérifiant le solde à la fin de chaque mois, généralement les comptes comptables utilisés sont limités, les recettes sont toujours en fonction des loyers perçus, et les charges sont des travaux d’entretien ou d’amélioration d’un immeuble, rémunération du gérant, charges financières, remboursement d’emprunt, charges locatives, et autres qui changent d’un dossier à l’autre. Ça c’est le cas de passer par un expert-comptable, ou plus simple, le gérant de la société peut noter les recettes et dépenses dans un tableau Excel, il doit créer quatre colonnes, deux colonnes pour les recettes et dépenses, et les deux autres pour les dates et numéros des pièces comptables, puis il doit insérer chronologiquement tous les mouvement de la société tout au long de l’exercice. Sachant qu’il doit conserver toutes les pièces comptables en vue de répondre favorablement aux demandes d’administration fiscale et éviter ainsi toutes formes de taxation d’office.Une SCI soumise à l’impôt sur revenu n’a aucune obligation de publier son bilan ni de déposer ses comptes annuels au greffe de tribunal du commerce.Comptabilité partie doubleAu contraire qu’une comptabilité de trésorerie, et a certaines conditions, les SCI sont obligé de se conformer aux règles du plan comptable général (PCG) de la comptabilité commerciale.Les obligations comptables d’une comptabilité commerciale sont plus lourdes.Les conditions qui obligent la comptabilité commerciale dans une SCI :- Lorsque un des associés est soumis au régime fiscal des bénéfices agricoles (BA), des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) ou de l’IS.- Lorsque la SCI dépasse 2 des seuils suivants :*Chiffre d’affaire annuel dépasse 3 200 000€.*Effectif des salariés supérieur à 50.*Total bilan annuel dépasse 1 500 000.- Lorsque la société civile immobilière a opté pour l’impôt sur société IS.- Lorsque La SCI exerce une activité commerciale.- Lorsque la SCI est assujetti à la TVA.La comptabilité commerciale possède un mode d’emploi particulier :La SCI doit déposer ses comptes annuels au greffe du Tribunal de commerce et publie son bilan annuel.-Le gérant établit et tient à jour plusieurs journaux comptables.-Toutes les écritures comptables doivent être enregistrées dans le FEC (fichier des écritures comptables) et le transmettre à l’administration fiscale.b) Intérêt de tenir la comptabilité d’une SCIL’utilisation d’une comptabilité dans les SCI présente l’avantage de permettre de profiter de tous les avantages patrimoniale ou fiscale possible toute en respectant la loi.Tenir une comptabilité commerciale dans une SCI sert a :Déduction des intérêts versés aux associés ou banques.Exclusion des créances de la plus-value de cession lors de la cession du part social.La comptabilisation et la déduction des amortissements ce qui diminue le résultat comptable.La comptabilité sera nécessaire pour la détermination des droits de chacun des associées (les droits ne sont pas le même selon le mode et la quantité de financement).Déterminer une prime d’émission lors de l’augmentation du capital.conserver une trace lors de l’affectation du résultat, et surtout quand les associés décident de mettre en réserve le montant qui manque pour la trésorerie de la SCI, dans ce cas il faut éviter la double taxation (taxation du bénéfice et puis la taxation sur paiement).Justification des recettes, dépenses et rémunérations dans le cadre de répondre à la demande de l’administration fiscale.VI) Avantage de tenir la comptabilité d’une SCI :La transmission du bien immobilier aux enfants et conserver la capacité de le gérerLa SCI permet de transmettre un patrimoine aux enfants des propriétaires au but de minimiser les droits de successions et les parents gardent leur pouvoir de gérer ce patrimoine. Cette opération peut-être utile en présence des enfants et quel que soit la valeur des biens immobiliers.Bien organiser l’usage commun des biensLes héritiers qui souhaitent conserver un patrimoine lors d’une succession peuvent se retrouver au blocage de l’indivision du bien, et tout indivisaire peut sortir d\’une indivision du à tout moment. Dans ce cas il faut racheter la part de celui qui souhaite se retirer, ou la seule solution reste de vendre le bien.A cette instabilité, s’ajoute le problème de la gestion de l’entretien du bien, travaux, location. Les blocages sont plusieurs et ne peuvent pas être résolu sans le recours au juge. Au contraire et a l’existence d’une SCI, les acteurs peuvent nommer un gérant qui va décider de toutes gestion du bien, entretien de l’immeuble, travaux, location.Les associés peuvent sortir de la SCI en vendant leurs parts sociales, mais qu’avec l’accord de tous les autres. C’est eux qui ont la priorité de racheter les parts des sortants, et ils peuvent octroyer un crédit pour le rachat.Conserver la résidence principale des concubins en cas de décès de l’autreDans le cas d’achat ou de construire une résidence principales par deux concubins, le décès de l’un peut générer des problèmes lors de l’existence des héritiers de la part de décédé, ils seront propriétaires avec le concubin survivant, ils peuvent l’obliger à vendre, et si c’est le cas, les biens héritiers sont taxés à 60%.Mais à l’existence d’une SCI, le décès de l’un permet à transmettre le bien au concubin survivant toute en évitant la taxation du 60%.Parmi les avantages du SCI est que l’un des partie peut-être nu-propriétaire de sa part et usufruitier de l’autre part avec l’accord de l’associé bien sûr, ce qui lui donne le droit de gérer le bien même après le décès de l’autre partie.Démembrement de propriété pour un chef d’entrepriseLe démembrement immobilier consiste à séparer la jouissance d’un bien immobilier des murs (l’usufruitier et la nue-propriété), sur toute la période de l’usufruit, par la création d’une SCI et puis donner l’usufruit a une autre personne morale ou physique. Par exemple un chef d’entreprise peut créer son patrimoine personnel, par l’acquisition d’un bien immobilier, rendre l’entreprise l’usufruitier de ce bien, et non l’inscrire au bilan de l’entreprise, ce qui donne la pleine propriété au chef de l’entreprise même à la cession de l’entreprise, et le droit de propriété qui permet de jouir le bien par l’entreprise. Parmi les avantages fiscaux et comptables qui peuvent être rapporté par cette stratégie a l’entreprise : la déduction des intérêts d’emprunt (emprunt pour l’acquisition du bien), les déductions des frais d’acquisitions d’immeuble (frais notaire, frais agence), amortissement de l’usufruit sur toute la période de démembrement au but d’optimisation fiscale, (ce qui est pas le cas quand l’entreprise loue le bien immobilier).Et le chef d’entreprise a tous les avantages de constituer un patrimoine privé avec les capacités bénéficiaires de l’entreprise, sans être fiscalement pénalisés. Et en cas de cession de cession de l’entreprise, la valeur de celle-ci ne sera évidemment pas alourdie par l\’immobilier comme c\’est le cas lorsque l\’immeuble est inscrit au bilan, et le propriétaire du bien percevra des loyers.Conclusion SCIComme nous venons de le voir, la SCI est un outil non négligeable de gestion patrimoniale et d’optimisation fiscale à la disposition du particulier ou du chef d’entreprise. Soit par tenir la comptabilité d’une SCI ou par l’exploitation des avantages fiscaux, patrimoniaux, et juridique d’une SCI. La multiplication des enjeux liés à la création de la SCI confirme que le client utilisateur doit inscrire sa stratégie dans un objectif purement financier mais global, ou de s’adresser aux expertises comptables et financiers. Ce derniers retiendront utilement qu’il est préférable lors de la création d’une SCI de bien tenir sa comptabilité et de profiter de ses avantages après une analyse financières et juridique du cas et de l’intérêt de la SCI.VII) Analyse et conclusionD’une manière générale, les différentes missions d’ordre comptable que j’ai effectué durant ce stage m’ont permis d’acquérir une vision très claire du rôle d’un cabinet d’expertise.Pour ce qui est de l’analyse personnelle, la saisie comptable m’a permis dans un premier temps de développer mon sens de l’organisation. En effet, il est essentiel d’être ordonné dans le traitement d’un dossier complet, comme j’ai eu à le faire.La présence de nombreuses pièces comptables importantes pour l’enregistrement des écritures doit être assimilé assez rapidement afin d’éviter de perdre du temps dans le processus de saisie.Une des qualités essentielles pour être un bon comptable au sein du cabinet CECAM reste indéniablement la rapidité. En effet, mon tuteur m’a très vite expliqué que la société facturait leurs prestations en calculant le temps passé sur chaque dossier. Je me suis donc adapté à ce mode de fonctionnement en perfectionnant ma concentration fasse au travail et en essayant d’être le plus efficace possible tout au long de ce stage.Je devais remplir comme chaque salarié une feuille de travail qui détaillait le nombre d’heures passé sur un dossier client, le type de travail effectué (facturable ou non) ainsi qu’un résumé très court de la tâche réalisée. J’ai pu développer grâce à ce stage une troisième qualité, mon sens des responsabilités et j’ai appris à devenir plus sérieux sur un plan professionnel. Je me suis habitué à traiter un dossier complexe de mes propres moyens. Dans certain cas, je me suis entrainé à contrôler certaines écritures que j’avais eu à saisir et je me suis entièrement conformé aux différentes règles régissant la vie des employés du cabinet.Le seul point négatif qui ressort de ce stage reste la répétitivité de certaine tâche, mais heureusement pour moi je n’ai pas uniquement travaillé sur ce type de mission. L’intérêt et le plaisir que j’ai ressenti à traiter un dossier comptable complet de mon propre chef compensent largement la pénibilité et les inconvénients de ces petites tâches.Professionnellement, j\’ai pu remarquer que les connaissances théoriques acquises jusqu’alors sont encore bien insuffisantes pour exercer dans les métiers de comptabilité et de finance. En effet il faut une maîtrise parfaite des pratiques comptables, juridiques mais aussi fiscales. Ces compétences sont nécessaires au traitement des dossiers, comme j’ai pu le constater en travaillant avec Mr BAVOUX, comptable.Un cabinet comptable nécessite également une rapide adaptation, et beaucoup de flexibilité car je suis passé très rapidement d\’un dossier à un autre au cours de ce stage.Sur le plan personnel, ce stage a vraiment été très enrichissant car on m’a donné de nombreuses responsabilités. En effet, j’ai été rapidement amené à travailler en autonomie sur un dossier complet et complexe, mon tuteur ne pouvant pas pleinement s’occuper de moi en cette période très chargé. Il était donc essentiel de rester extrêmement vigilant et sérieux dans mon travail quotidien.Je suis très satisfait de ce stage car j’ai pu, pour la première fois, approcher de près les métiers de la comptabilité privé. J’avais jusqu’alors effectuer un stage dans le domaine de la comptabilité publique, qui restait relativement différent de ce que j’avais pu étudier durant mes années d’études. J’ai vraiment pris plaisir à travailler dans ce cabinet qui m’a permis de découvrir l’univers de l’expertise comptable.