Le chapitre parle principalement du changements climatiques

Le chapitre parle principalement du changements climatiques. Il souligne de grandes idées sur la manière de s’adapter.Il développe et reconnaît que le réchauffement climatique est causé par l\’homme et l\’augmentation de la population mondiale ainsi que personne ne se souci de l’environnement mais plus de l\’activité économique. Il insiste davantage sur l\’émergence de nouvelles technologies susceptibles de réduire les effets de serre. Il suggère également les actions et les choix des citoyens qui peuvent contribuer de manière significative à en modifier l\’intensité des émissions à effets de serre.La Convention Cadre des Nations Unies sur le changements climatiquesAussi connu sous CCNUCC, formé au Sommet de Rio, cette conventiona permis de signer un accord entre plusieurs pays ainsi d’établir un plan d’action propre à chaque pays pour la réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Le but est que chacun respecte son engagement ainsi que de s’adapter aux changements climatiques tout en répondant aux besoins des citoyens.Défis des hommesD’après les experts, l’impact du réchauffement climatique sera réellement visible dans les 30 prochaines années. Puisqu’il est impossible d’éliminer les émissions à effets de serres, il faut retarder son accroissement. Auparavant, l’être humain avait plus d’adaptabilité, maintenant avec une telle population, chacun est motivé par son confort. L\’urbanisation est devenue primordiale. En tant que communauté, il est crucial de trouver des techniques capables de ralentir la hausse des émissions de gaz à effet de serre afin que tous puissent s’adapter.Stratégies à long termePour arriver au but commun, certaines stratégies à long terme doivent être établies dans tous les secteurs de la société. En excluant la photosynthèse, peu de stratégies permettront de réduire le CO2 sur une longue période de temps. Puis l’océan, considérer comme un puits de carbone car il permet une dissolution du carbone, n’est plus aussi efficace en raison du réchauffement de sa superficie par le réchauffement climatique. Clairement il est impossible d\’éliminer ses effets de serres mais il est possible d’en réduire sa production. Certaines des stratégies à long terme énumérées dans ce chapitre pourraient prévenir le pire dont les suivants: programmes d’éducation pour sensibiliser la population, introduire de nouvelles technologies (ex: éolienne) mais aussi de nouveaux équipements, instauré des mesures d’adaptation, rajouter et renforcer les outils économiques (ex: les taxes sur le carbone) ou encore des programmes de développements durables. Il faudrait présenter et incorporer le tout dans la société tout en répondant aux divers besoins des citoyens.Outils économiquesUne
des stratégies à long terme enveloppe les outils économiques puis ce dernier est divisé en trois concepts. Il est défini et introduit par des gouvernements. Le premier concept est les taxes, un type d\’impôts provenant du gouvernement. Ils permettent de diminuer et d’atteindre un objectif, dans ce cas qui consiste à diminuer la production et libération du CO2 (dioxyde de carbone). Cependant elle n’est pas aussi efficace puisque certaines personnes qui résident en banlieue, par exemple, ne peuvent pas prendre avantage du transport en commun mis à la disposition de la société et doivent donc payer les taxes imposées. Le deuxième concept est les permis échangeables. Il s’agit d’un instrument économique qui provient du protocole de Kyoto concernant les changements climatiques et qui vise les entreprises. C’est un permis qui accorde un certain droit d’émissions par le gouvernement aux industries et ces derniers doivent assumer et payer le coût. Ces droits peuvent être transférés entre secteurs économiques ou même entre pays. Puis le troisième est les énergies renouvelables aussi dite énergie verte. Ceci contient tout outils économiques capables d’utiliser les éléments naturels et de les transformer en électricité comme le vent (éolienne), l’eau (hydroélectricité) ou même le soleil (panneau solaire aussi appelé plaque photovoltaïque). L’inconvénient de ses outils est qu’ils sont très coûteux et assez difficile d’extraire une grosse quantité d’électricité. Quoiqu’ils aient certains points positifs, l’économie reste un grand facteur qui empêcherait l’utilisation de ces techniques mais autres facteurs inclut leur impact sur l’environnement par exemple la modification d’écosystèmes.La biomasse, énergie importanteUn autre type d’énergie présent et qui contribue à la limitation des émissions de gaz à effet de serre est la biomasse. C’est l\’utilisation de matière organique (plus précisément d’hydrocarbure qui est composé de molécule de carbone et d’hydrogène)par combustion dans le but de former de l’électricité grâce à l’énergie tirer. Elle produit du carburant, de l’électricité ou même de la chaleur. Cependant elle aussi coûte extrêmement cher puisqu\’il faut prendre en compte le transport de matière, l’entreposage, l’entretien de celle-ci puis la transformation ou manipulation pour ressortir cette énergie.L’efficacité énergétiqueL’efficacité énergétique souligne un concept élaboré qui permet à la population d’utiliser une bonne quantité d’énergie ainsi que de la bonne énergie pour favoriser la lutte contre le réchauffement climatique. Il propose qu’en améliorant l’efficacité de la transformation d’énergie, en minimisant la consommation d’énergie pour le même rendement, il est possible de réduire une quantité élevée d’émissions de gaz à effet de serre. Son plus gros avantage est qu\’il sensibilise et motive puisqu’il touche une grande population. Son inconvénient est qu’il coûte beaucoup trop cher. Un secteur qui démontre bien le concept de l’efficacité énergétique est celui du transport qui est libère une grande source d’émission. C’est un secteur qui pose problème pour trois raison principales. La première soit le choix d’automobile, il y a une association avec le statut social ce qui fait que la population se tend plus vers l’achat de voiture de luxe et néfaste à l’environnement pour représenter leur richesse. Le deuxième problème est le transport des camions qui est devenu une grosse norme dans l’industrialisation afin de bien distribuer les produits fabriqués en grande quantité d’un endroit à un autre. Puis finalement en but de réduire il faudrait investir dans les transports en commun mais ceci demande beaucoup d’argent. Une combinaison du secteur d’efficacité énergétique et de nouvelles technologies entraînera la réduction de la consommation d’énergie et favorise la lutte contre le réchauffement climatique.Le rôle des villesMalgré le fait que le gouvernement entreprend les grandes décisions au niveau du grand changement pour la réduction d’émission, ceci demande la participation des villes étant donné qu’ils ont une plus grande facilité de sensibiliser et d’atteindre les citoyens. Les villes ont une autorité au niveau municipal où ils ont le pouvoir d’instaurer des lois ou règles. Les villes peuvent s’engager à instaurer des changements au niveau de l’urbanisation, sensibilité les communautés et éduquer la population sur l’importance de l’engagement dans cette campagne.Technologies permettant de contrôler les émissionsIl existe une variété de technologies permettant la réduction d’émission. En but de les réduire, il faut utiliser des composé chimique, combustible, qui comprend le moins de carbone possible. Il faut plus utiliser les énergies vertes capables de libérer un minimum de gaz toxique. Finalement il faut réduire la consommation des combustibles dans différents secteurs.Cimenterie et centrales thermiquesLes secteurs industriels qui émettent le plus d’émissions sont la cimenterie, aciéries et les centrales thermiques. La cimenterie est une industrie qui se spécialise en la fabrication du ciment. L’aciérie est une industrie de fabrication d’acier et les centrales thermiques permettent la production d’électricité grâce à la chaleur. En réduisant le taux d’émissions de ces industries, ilpermet d’atteindre les objectifs élaborer lors du protocole de Kyoto, par le CCNUCC, en but de ralentir le réchauffement climatique. Ces trois industries fonctionnent vraiment par demande et consommation au niveau de la population. Le secteur le plus important est celui des centrales thermiques. Une réduction de ce secteur aura un impact majeur cependant elle est nécessaire à tous citoyens non seulement au niveau du confort mais aussi de la sécurité. Quelques méthodes qui pourraient réduire ses émissions seraient de faire changer le type de combustible utiliser, les outils de production puis l’efficacité de la transformation des combustibles.Innovations technologiqueDe nouvelles technologies pourraient apporter de grands changements pour l’environnement. Il existe une variété telle que les automobiles hypers efficaces qui permet l’introduction d’automobiles hybrides qui réduit l’utilisation de carburant et ajoute un moteur électrique. Les filières hydrogènes permet le fonctionnement de la voiture par hydrogène et une pile de combustible qui produit de l’électricité et libère de la vapeur. Il y a aussi les carburants alternatifs qui remplacent les carburants pétroliers (soit de l’essence) par des biodiesels (composés d’huile végétale et alcool). Par contre d’autres technologies permettent l’enlèvement du CO2.Il s’agit d’extraire tous combustibles fossiles et de le déplacer dans une autres zone de l’écosphère (soit biosphère, lithosphère, hydrosphère ou l\’atmosphère) Le captages du CO2 ainsi que son stockage est une autre innovations qui consiste à détenir du CO2 au fonds de l’océan, dans la nappe phréatique, en utilisant des pipelines pour le déplacement. La prochaine est la séquestration dans les océans. Il permet de mettre le carbone à au moins 1000 m de la surface de la mer puis ceci contiendrait du co2 liquide. Finalement il y a la séquestration, un stockage de carbone dans des puits de pétrole, il va permettre d\’empêcher la libération du CO2 dans l’atmosphère et le stocker dans le lithosphère (croûte terrestre). Malgré la proposition de toutes ces nouvelles technologies, leur rendement n’est pas 100% il existe plusieurs défit soit économique, environnemental ou même au niveau de la technique car elle doit être délicate et pouvoir durer à long terme.Recyclage du CO2Une méthode technologique qui semble être en tête est le recyclage du CO2, il consiste à capter tout en augmentant la fertilisation d’algues unicellulaires du CO2 (retrouver dans des centrales thermiques) puis de réutiliser ces algues comme combustible. Autre possibilité est la captation du CO2 en utilisant une enzyme, un catalyseur, qui le combine avec d’autres matières en vue de créer des produits utilisés par certaines industries. En utilisant l’enzyme on réduit l’énergie nécessaire.Ces deux méthodes de séparation de CO2 sont encore au niveau d’expérimentation mais s\’avèrent prometteur pour le futur.Fixer le carbone dans les arbresLe concept de carbone dans les arbres provient de la photosynthèse. Par la photosynthèse on désigne le processus par lequel les plantes absorbent le carbone pour libérer de l’oxygène. Cependant il existe certains problèmes qui nuit à cela comme la déforestation (action de réduire la quantité d’arbres pour exploiter un terrain), afforestation (le fait de planter des arbres sur un terrain n’ayant pas eu d’arbre pendant des années) et la reforestation (consiste à ajouter des arbres suite à une coupe à blanc). Les forêts ont une grande importance à long terme qui permettra d\’atténuer le réchauffement climatique. En ayant une bonne gestion des forêts, ceci maximise l’emmagasinage de carbone et permet la durabilité des plantes.Perspective de réductions et points importantEn conclusion le Protocole de Kyoto visent à réduire les émissions de tous les gaz et même si plusieurs techniques démontrent un avantage, il faut que la technique soit financièrement possible et non néfaste à l’environnement. Chaque pays doit être capable de d’établir des stratégies adapté à leur situation, tout en prenant compte des obstacles économiques, sociaux et comportementaux.Commentaires (2 pages)Les informations retirées du chapitre XIII sur le changement climatique étaient en fait très intéressantes. Personnellement, je trouve que j’étais déjà bien informé surle changement climatique, telles que les effets des émissions de gaz à effet de serre, les différentes mesures prises par les Nations Uniesou des méthodes susceptibles de contribuer au changement climatique, telles que la biomasse ou les éoliennes.En ce qui concerne le sujet de discussion, le changement climatique, j’ai trouvé le chapitre très intéressant. Il nous a donné les avantages et les désavantages de différentes méthodes afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre. J\’ai aimé le fait que l\’auteur donne des exemples de ce que certains pays ont décidé de faire, comme le Canada, la Chine, l\’Allemagne, etc. De même, lors de la lecture d\’un sujet épineux, surtout lorsque certaines personnes ne le prennent toujours pas au sérieux, l’auteur a présenté une longue file d’information qui comprenait des statistiques, des pourcentages, des tableaux etc. Ceci à rajouter à la validité et crédibilité des informations données. J\’ai appris davantage sur différentes manières de réduire les émissions de gaz à effet de serre dont on ne parle pas souvent dans les nouvelles, comme la capture de la séquestration de CO2, les avantages et les inconvénients de l\’énergie renouvelable, les puits agricoles et les exploitants agricoles. Bref, cela m\’a permis de mettre les choses au clair, mettre en perspective et réaliser l’importance que doit être apportée sur ce sujet pour éviter d’aggraver la situation mondiale et en tant que citoyen,d\’être plus conscient de ce qui se passe autour de nous.Globalement, ce chapitre n’a pas été si facile à comprendre mais il n’était pas difficile non plus. La terminologie était scientifique mais aussi accessible à la majorité des gens. L’auteur a fait un excellent travail en expliquant le sujet discuté en profondeur tout en incluant de nombreux exemples afin que tout le monde puisse en extraire le sujet principal et tous les autres sous catégories pertinentes.La seule difficulté que j’ai vécue en lisant ce chapitre était qu’avoir trop d’exemples me faisait perdre l’idée principale. À un moment donné, j\’ai trouvé que certains exemples étaient trop détaillés, ce qui peut favoriser certaines personnes, mais pour moi, avoir trop de différentes perspectives me fait perdre le fil des idées. Je préfère plutôt les idées directes, soit un ou deux par sujet.Dans l’ensemble, je peux affirmer que j’ai appris beaucoup d’informations que je ne connaissais pas avant de lire ce chapitre. De mon point de vue personnel, la question est certainement une question à aborder et doit faire plus la une des journaux. Il semble que certains pays aient en fait pris des initiatives dans ce domaine, mais bien que certaines actions aient été prises, cela n\’a pas apporté de changement dites majeur. Les informations fournies pourraient certainement inciter la population à changer de mode de vie et à s’adapter en utilisant, par exemple, davantage de transports en commun.BibliographieVilleneuve C. et François R. (2007), Vivre les changements climatiques Réagir pour l\’avenir, Sainte-Foy (QC), Canada