L’eau est donc une réelle exigence humanitaire même si dans les pays développés tel que la France, elle a été banalisée avec le temps. Le continent Africain est le plus touché par ce manque d’eau et cette crise révèle une catastrophe humanitaire que l’on peut encore résoudre, mais avec la crise écologique et le réchauffement climatique les populations sont privées de tout accès à l’eau et cette crise est doublée du fait de l’impossibilité d’être capable de satisfaire des besoins fondamentaux.
Au jour d’aujourd’hui, rien ne semble bien parti pour acquérir un accès universel à l’eau potable et à l’assainissement, surtout dans les pays victimes de catastrophes naturelles ou de guerres.
D’un point de vue économique ;
L’accès à l’eau potable est un défi humain mais aussi un défi économique. Sur terre il y a toujours plus d’êtres humains qui consomment toujours plus d’eau. Et cette ressource n’est pas partagée de façon égale.
Depuis les années 80, la consommation d’eau à augmentée de 1%. Trois humains sur dix n’ont pas accès à de l’eau potable, notamment en Afrique Subsaharienne ou 4 milliards de personne vivent 1 mois dans l’année privé d’eau. En Europe, la couverture des services en eau potable s’établit à 94% contre 24% en Afrique Subsaharienne. L’agriculture est produite à 90% avec de l’eau. Avec une population sans cesse croissante, il faut produire toujours plus pour subvenir aux besoins alimentaires des populations. Sans eau il n’y a pas d’agriculture, donc pas de nourriture.
En Afrique, l’eau coûte 10 fois plus cher que pour ceux qui ont l’eau courante, plus elle est rare plus elle est coûteuse.
Les conséquences économiques : si il n’y a pas d’eau, il n’y a plus d’emploi. L’eau est un élément essentiel de l’économie. La moitié de la main d’œuvre mondiale travail dans les industries relié à l’eau et aux ressources naturelles (agriculture, énergie, pêche.) Les trois quarts de la main d’œuvre mondial dépendent de cette ressource.