Normalement cet outil est développé avant le début du projet parce qu’il démontre comment le projet sera effectué et est utilisé pour guider l’élaboration en démontrant les ressources exigé pour chacun des objectifs à court et moyen terme. Considérant que le but ultime d’un projet en développement est souvent ambitieux par exemple un des dix-septs objectifs du développement durable, cette illustration assure donc une crédibilité et une démonstration logique simplifié du déroulement de ce projet. Le M.L. organise et priorise aussi l’information afin de démontrer les ressources qui seront requises pour réaliser le projet et en illustrant les objectifs et résultats désirés. Pour un projet en développement international, les acteurs déterminé par Giovalucchi et Olivider de Sardan (2009) considéré dans le M.L. sont le maître d’ouvrage, le maître d’oeuvre, les bénéficiaires et le bailleur de fonds.
Il a cinq facteurs qui sont considéré dans le modèle logique: les activités et moyens (intra), les réalisations (extra), les objectifs, les hypothèse et le but ultime (Giovalucchi et Olivider de Sardan, 2009). Les activités et moyens sont ce qui est investi dans le projet tel que les fonds, ressources et technologies. Les réalisations sont ce qui est accompli concrètement à l’aide de chaque investissement. Les objectifs sont ce qui est désirée de chaque activités et réalisations, ils sont spécifique et peuvent être des objectifs à court et moyen terme. Les hypothèse sont les informations disponible mais aussi les conditions nécessaires pour réaliser le projet. Finalement le but ultime du projet est la finalité par exemple, réduction de la pauvreté et des inégalités. Chacun de ces facteurs doivent y avoir un indicateur quantifiable qui est associé, ceci permet de démontrer l’impact et les effets concret du projet.
Giovalucchi