La solidarité entre les peuples apparait dans les trois œuvres : Le fils du pauvre, L’enfant noir et L’incendie.
D’abord, dans Le fils du pauvre de Mouloud Feraoun on voit la solidarité entre les membres da la famille de Fouroulou. Le père et l’oncle partagent les tachent entre eux et veillent sur l’un et l’autre jusqu’au dernier grain de blé, même quand Lounis part pour travailler en France, Ramadan garde un œil sur sa famille. La solidarité entre les voisins durant les malheurs et les bonheurs, ils sont unis par les liens du voisinage et du sang.
Ensuite, nous voyant avec Camara Laye comment le peuple Géniens s’organise malgré la pauvreté et la misère mais le peuple est soudée et se protègent sous le drapeau de la « SOLIDARITE » et s’entraident mutuellement comme ils nous le montrent pendant la culture du coton dans les champs, ou bien durant la confection des bijoux l’attention, l’aide et le respect que donne les apprentis à leur maitre dévoile l’union de ce peuple.
Enfin, Mohamed Dib nous montre dans sa trilogie et précisément dans « L’incendie » la solidarité entre les Fellah Algériens et le dure travail qu’ils font tout cela sous de dure conditions durant de longues journée, leurs vies dépendent de l’agriculture, Cela n’empêchent pas aux citadins de leurs offrir leurs aide. Une fois de plus on voit que la solidarité entre un seul et même peuple existe toujours.
En conclusion, les Africains et les Maghrébins partagent le même destin, les mêmes problèmes : la misère, la pauvreté, l’injustice, la domination du pouvoir qu’exercer la colonisation française sur ces peuples. Tout cela poussent une élite d’auteurs à écrire des œuvres dans certains dénoncent le colon d’autres servent de témoignage sur la vie et l’identité des peuples